UN EMPLOI, DEUX EMPLOIS (3 ème partie)
Elle rentre chez elle honteuse, mais avec 150 euros en poche, elle n'y connaît rien dans les tarifs, est ce assez
pour ce qu'elle vient d'endurer !
Avec les billets, une adresse griffonnée à la hâte, il s'agit d'un centre esthétique pour qu'elle se fasse une épilation totale.
En rentrant dans son petit appartement, elle tente d'être joyeuse devant les garçons et la soirée s'écoule paisiblement, bien qu'elle ne peux réussir à oublier le studio, son patron et ses demandes perverses.
Le surlendemain, elle arrive au travail à 5h00, elle sait qu'il faut montrer son sexe épilé, depuis la veille, elle n'a plus le moindre petit poil. Curieusement tout s'est très bien passé, et elle ne déteste pas être ainsi, ses doigts ont longuement effleuré son sexe imberbe. Mais furieuse contre elle même, elle a vite remis sa petite culotte, pestant contre son patron, qui l'oblige à devenir quelqu'un d'autre.
Alors qu'elle est dans le vestiaire, une voix autoritaire se fait entendre derrière la porte
- Mademoiselle Hainaut, dans mon bureau, je vous prie .... IMMEDIATEMENT !
- Eh ben le vieux a pas l'air de bon poil ce matin, lui dit en riant sa collègue, Déjà là, celui là ! Y a un problème ?
- Je ne sais pas ce qu'il veux, réponds Maud rougissant
- Va vite, ou ça va barder
Maud quitte le vestiaire rapidement. Elle frappe au bureau, le directeur vient rarement aussi tôt. Elle seule, sait pourquoi il est là.
- Monsieur le Directeur
- Avancez Mademoiselle, enlevez votre petite culotte, relevez votre blouse et asseyez vous sur le bord de mon bureau les jambes écartées, ne perdons pas de temps, voulez vous !
Elle obéit, le string tombe sur l'épaisse moquette, elle remonte sa blouse, et s'assoit dans la position exigée.
Il détaille son sexe scrupuleusement, le caresse pour la féliciter sur la douceur.
- Repliez vos jambes et présentez moi ce sexe
Il se penche et hume la jeune femme avant de laper sa fente, Maud ne bouge pas, elle le laisse faire en se demandant combien de temps va prendre ce petit jeu, ses collègues vont se poser des questions.
La langue de l'homme la fouille longuement, juste le bruit de salive, de succion, il s'attarde sur son petit bouton qui gonfle malgré elle. Elle ferme les yeux, il suce son clito, c'est divin, sans les poils. Les sensations sont tellement plus intenses.
Son copain lui faisait peu de cunnis.
Elle voit le crâne chauve qui brille et la bouche qui s'active sur son sexe qui mouille, qui coule. Elle sent que son corps réagit à la langue, elle gémit, c'est si bon, impossible de résister, puis l'orgasme surgit, elle crie.
Honteuse d'avoir ressenti du plaisir, elle ne bouge plus, lui se redresse, le visage trempé de mouille, la bouche humide.
- Tournez vous vite Mademoiselle, que je vous baise.
Elle se place le ventre sur le bureau, aussitôt il la pénètre brutalement, bestialement.
- Vous êtes une bonne salope, toujours prête à me satisfaire, j'apprécie..... J'ai besoin de me vider les couilles, vous êtes brûlante mademoiselle, je ne regrette pas mon choix, Mmmm votre cul me tente, nous n'avons pas le temps, demain...... ! Ahhhh ma bite va gicler
Il s'active et s'immobilise dans un spasme de plaisir, puis s'écoule dans la petite chatte de Maud.
- Bien, nous en avons fini pour aujourd'hui ! Filez travailler, et demain 18h30 au studio, n'oubliez pas les consignes.
Elle se relève, rabaisse la blouse, remets son string qui immédiatement est auréolé d'une grande tâche de sperme, elle quitte le bureau.
- Vous n'oubliez rien, mademoiselle ?
- Euh pardon, au revoir, Monsieur le Directeur !
- Et c'est tout ? Ajoute t-il en haussant la voix
- Merci, Monsieur le Directeur
- Bien que je n'ai plus à me répéter, Mademoiselle, filez !
Sur la cuvette des toilettes, Maud se nettoie longuement avec du papier, avant de rejoindre ses collègues, en souhaitant que personne ne la questionne.
Le lendemain arrive beaucoup trop vite, elle doit réfléchir à sa tenue, elle opte pour une petite robe à fines bretelles, et comme prévu, ne mets aucun sous vêtements. Une heure trente à subir ce type, mais peut être encore 150 euros, seul cet aspect lui fait accepter tout ça !
18h30 sa clé ouvre la porte du studio, il est déjà là, nu entrain de regarde un film x, une fille qui se fait enculer par un noir au sexe proéminent, ce qui qui le fait bander, sa queue est droite, dure.
Elle n'a pas oublié les consignes, pourtant les mots ne sortent pas, les images obscènes la rendent muette, seul les cris de la fille raisonnent dans la chambre.
- Déshabillez vous, ne perdons pas de temps ! Exige t-il
Elle est nue en 3 secondes, il la regarde, se masturbe doucement.
Comment peut elle lui dire ce qu'il attend, elle n'y arrivera pas, son regard la transperce, elle pense à la fessée reçue, elle a eu les fesses douloureuses toute la soirée.
- Je crois qu'une nouvelle correction s'impose mademoiselle Hainaut, vous avez donc oublié les consignes !
- Non, s'il vous plaît monsieur le directeur ! Je ... J'ai envie que....... envie que vous me sodomisez
- Pas très convaincant, mademoiselle, mettez y un peu d'ardeur
- J'ai envie... envie que vous m'enculiez monsieur le directeur, très envie
- Mmmmm Sale petite pute, montrez moi votre croupe
Elle prend la même position que la fois d'avant, il caresse ses fesses et lui enfonce un doigt dans l'anus.
- Vous aimez donc ça mademoiselle Hainaut que votre patron vous encule ? dit il en agitant son doigt dans le petit trou
- Oui Oui monsieur le directeur
Elle le voit prendre une petite fiole et faire couler un peu de liquide sur sa raie
- Je vais vous enculer sans ménagement jeune fille, pas de pleurs, pas de cris...
La bite dressée et impatiente s'enfonce d'un coup dans l'anus, à la télé, le film X continue.
- Mmmm petite salope qui aime donner son cul, je vous défonce, bon sang que votre cul est bon mademoiselle Hainaut Ahhhhh ma chère, vous enculer est un plaisir.
Maud retient ses larmes, l'homme malgré son âge a une vigueur inouïe.
- Changeons de position, venez vous asseoir sur moi, vous allez la sentir passer, regarder comme elle est grosse !
Effectivement, le sexe lui semble énorme, elle n'ose pas s'asseoir sur son pieu, mais lui l'oblige rapidement à trouver place, et la bite disparaît dans son anus dilaté. Les mains de l'homme caresse ses seins
- Ahhh que vous êtes bonne
Il est tellement occupé à la besogner et elle, à supporter l'horrible supplice, qu'aucun d'eux n'entend la porte d'entrée qui s'ouvre.
Dans la pièce, une femme d'une cinquantaine d'année, revêtue d'un tailleur, est devant eux les yeux écarquillés.
Maud la première la voit, affolée elle tente de se soustraire à son bourreau. L'homme à son tour, voit la femme.
- Mmmmm Chérie, tu es venue, regarde comme je l'encule cette petite salope
- Je vois ça, mon ange, mademoiselle vous êtes assise sur la bite de mon époux
- Ahhh chérie, je suis proche de la remplir, ahhhh je viens, je jouis....... crie t'il dans un souffle.
Maud subit les derniers assauts de l'homme avant qu'il éjacule dans son petit trou dilaté.
- Eh bien, Louis, quel forme ! Mademoiselle, je sais que vous êtes la nouvelle pute de mon mari, je pense qu'il a omis de vous dire que parfois je viendrais moi aussi, prendre un peu de bon temps. Relevez vous que j'admire ce qu'a fait la queue de mon époux, tournez vous Mademoiselle !
Maud est incapable de réfléchir, comment peut elle en arriver à une telle déchéance, un couple pervers. La femme la retourne froidement et la penche.
- Mmm Louis, elle est bien ouverte, votre queue fait encore des ravages.
La femme du directeur retire lentement sa veste, dessous elle est nue, ses gros seins tombent un peu, la jupe est retirée également, comme Maud, elle est entièrement épilée. Quelques kilos en trop alourdissent son corps.
- Mademoiselle Hainaut, bouffez moi les seins, et quand vous me parlerez, vous me direz Madame. Tétez moi jeune fille. J'ai envie de sexe. Vous n'imaginez pas que vous allez être payé à ne rien faire...!
La forte poitrine aux tétons dressés se place devant sa bouche, le directeur se glisse derrière sa femme, s'empare d'un sein et ordonne à la pauvre Maud d'obéir.
- Mademoiselle, ma femme attend.
Avec les billets, une adresse griffonnée à la hâte, il s'agit d'un centre esthétique pour qu'elle se fasse une épilation totale.
En rentrant dans son petit appartement, elle tente d'être joyeuse devant les garçons et la soirée s'écoule paisiblement, bien qu'elle ne peux réussir à oublier le studio, son patron et ses demandes perverses.
Le surlendemain, elle arrive au travail à 5h00, elle sait qu'il faut montrer son sexe épilé, depuis la veille, elle n'a plus le moindre petit poil. Curieusement tout s'est très bien passé, et elle ne déteste pas être ainsi, ses doigts ont longuement effleuré son sexe imberbe. Mais furieuse contre elle même, elle a vite remis sa petite culotte, pestant contre son patron, qui l'oblige à devenir quelqu'un d'autre.
Alors qu'elle est dans le vestiaire, une voix autoritaire se fait entendre derrière la porte
- Mademoiselle Hainaut, dans mon bureau, je vous prie .... IMMEDIATEMENT !
- Eh ben le vieux a pas l'air de bon poil ce matin, lui dit en riant sa collègue, Déjà là, celui là ! Y a un problème ?
- Je ne sais pas ce qu'il veux, réponds Maud rougissant
- Va vite, ou ça va barder
Maud quitte le vestiaire rapidement. Elle frappe au bureau, le directeur vient rarement aussi tôt. Elle seule, sait pourquoi il est là.
- Monsieur le Directeur
- Avancez Mademoiselle, enlevez votre petite culotte, relevez votre blouse et asseyez vous sur le bord de mon bureau les jambes écartées, ne perdons pas de temps, voulez vous !
Elle obéit, le string tombe sur l'épaisse moquette, elle remonte sa blouse, et s'assoit dans la position exigée.
Il détaille son sexe scrupuleusement, le caresse pour la féliciter sur la douceur.
- Repliez vos jambes et présentez moi ce sexe
Il se penche et hume la jeune femme avant de laper sa fente, Maud ne bouge pas, elle le laisse faire en se demandant combien de temps va prendre ce petit jeu, ses collègues vont se poser des questions.
La langue de l'homme la fouille longuement, juste le bruit de salive, de succion, il s'attarde sur son petit bouton qui gonfle malgré elle. Elle ferme les yeux, il suce son clito, c'est divin, sans les poils. Les sensations sont tellement plus intenses.
Son copain lui faisait peu de cunnis.
Elle voit le crâne chauve qui brille et la bouche qui s'active sur son sexe qui mouille, qui coule. Elle sent que son corps réagit à la langue, elle gémit, c'est si bon, impossible de résister, puis l'orgasme surgit, elle crie.
Honteuse d'avoir ressenti du plaisir, elle ne bouge plus, lui se redresse, le visage trempé de mouille, la bouche humide.
- Tournez vous vite Mademoiselle, que je vous baise.
Elle se place le ventre sur le bureau, aussitôt il la pénètre brutalement, bestialement.
- Vous êtes une bonne salope, toujours prête à me satisfaire, j'apprécie..... J'ai besoin de me vider les couilles, vous êtes brûlante mademoiselle, je ne regrette pas mon choix, Mmmm votre cul me tente, nous n'avons pas le temps, demain...... ! Ahhhh ma bite va gicler
Il s'active et s'immobilise dans un spasme de plaisir, puis s'écoule dans la petite chatte de Maud.
- Bien, nous en avons fini pour aujourd'hui ! Filez travailler, et demain 18h30 au studio, n'oubliez pas les consignes.
Elle se relève, rabaisse la blouse, remets son string qui immédiatement est auréolé d'une grande tâche de sperme, elle quitte le bureau.
- Vous n'oubliez rien, mademoiselle ?
- Euh pardon, au revoir, Monsieur le Directeur !
- Et c'est tout ? Ajoute t-il en haussant la voix
- Merci, Monsieur le Directeur
- Bien que je n'ai plus à me répéter, Mademoiselle, filez !
Sur la cuvette des toilettes, Maud se nettoie longuement avec du papier, avant de rejoindre ses collègues, en souhaitant que personne ne la questionne.
Le lendemain arrive beaucoup trop vite, elle doit réfléchir à sa tenue, elle opte pour une petite robe à fines bretelles, et comme prévu, ne mets aucun sous vêtements. Une heure trente à subir ce type, mais peut être encore 150 euros, seul cet aspect lui fait accepter tout ça !
18h30 sa clé ouvre la porte du studio, il est déjà là, nu entrain de regarde un film x, une fille qui se fait enculer par un noir au sexe proéminent, ce qui qui le fait bander, sa queue est droite, dure.
Elle n'a pas oublié les consignes, pourtant les mots ne sortent pas, les images obscènes la rendent muette, seul les cris de la fille raisonnent dans la chambre.
- Déshabillez vous, ne perdons pas de temps ! Exige t-il
Elle est nue en 3 secondes, il la regarde, se masturbe doucement.
Comment peut elle lui dire ce qu'il attend, elle n'y arrivera pas, son regard la transperce, elle pense à la fessée reçue, elle a eu les fesses douloureuses toute la soirée.
- Je crois qu'une nouvelle correction s'impose mademoiselle Hainaut, vous avez donc oublié les consignes !
- Non, s'il vous plaît monsieur le directeur ! Je ... J'ai envie que....... envie que vous me sodomisez
- Pas très convaincant, mademoiselle, mettez y un peu d'ardeur
- J'ai envie... envie que vous m'enculiez monsieur le directeur, très envie
- Mmmmm Sale petite pute, montrez moi votre croupe
Elle prend la même position que la fois d'avant, il caresse ses fesses et lui enfonce un doigt dans l'anus.
- Vous aimez donc ça mademoiselle Hainaut que votre patron vous encule ? dit il en agitant son doigt dans le petit trou
- Oui Oui monsieur le directeur
Elle le voit prendre une petite fiole et faire couler un peu de liquide sur sa raie
- Je vais vous enculer sans ménagement jeune fille, pas de pleurs, pas de cris...
La bite dressée et impatiente s'enfonce d'un coup dans l'anus, à la télé, le film X continue.
- Mmmm petite salope qui aime donner son cul, je vous défonce, bon sang que votre cul est bon mademoiselle Hainaut Ahhhhh ma chère, vous enculer est un plaisir.
Maud retient ses larmes, l'homme malgré son âge a une vigueur inouïe.
- Changeons de position, venez vous asseoir sur moi, vous allez la sentir passer, regarder comme elle est grosse !
Effectivement, le sexe lui semble énorme, elle n'ose pas s'asseoir sur son pieu, mais lui l'oblige rapidement à trouver place, et la bite disparaît dans son anus dilaté. Les mains de l'homme caresse ses seins
- Ahhh que vous êtes bonne
Il est tellement occupé à la besogner et elle, à supporter l'horrible supplice, qu'aucun d'eux n'entend la porte d'entrée qui s'ouvre.
Dans la pièce, une femme d'une cinquantaine d'année, revêtue d'un tailleur, est devant eux les yeux écarquillés.
Maud la première la voit, affolée elle tente de se soustraire à son bourreau. L'homme à son tour, voit la femme.
- Mmmmm Chérie, tu es venue, regarde comme je l'encule cette petite salope
- Je vois ça, mon ange, mademoiselle vous êtes assise sur la bite de mon époux
- Ahhh chérie, je suis proche de la remplir, ahhhh je viens, je jouis....... crie t'il dans un souffle.
Maud subit les derniers assauts de l'homme avant qu'il éjacule dans son petit trou dilaté.
- Eh bien, Louis, quel forme ! Mademoiselle, je sais que vous êtes la nouvelle pute de mon mari, je pense qu'il a omis de vous dire que parfois je viendrais moi aussi, prendre un peu de bon temps. Relevez vous que j'admire ce qu'a fait la queue de mon époux, tournez vous Mademoiselle !
Maud est incapable de réfléchir, comment peut elle en arriver à une telle déchéance, un couple pervers. La femme la retourne froidement et la penche.
- Mmm Louis, elle est bien ouverte, votre queue fait encore des ravages.
La femme du directeur retire lentement sa veste, dessous elle est nue, ses gros seins tombent un peu, la jupe est retirée également, comme Maud, elle est entièrement épilée. Quelques kilos en trop alourdissent son corps.
- Mademoiselle Hainaut, bouffez moi les seins, et quand vous me parlerez, vous me direz Madame. Tétez moi jeune fille. J'ai envie de sexe. Vous n'imaginez pas que vous allez être payé à ne rien faire...!
La forte poitrine aux tétons dressés se place devant sa bouche, le directeur se glisse derrière sa femme, s'empare d'un sein et ordonne à la pauvre Maud d'obéir.
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