FANTASME VECU

22h30...   Encore une centaine de kms et je serais chez moi, le train avance dans la nuit noire, le compartiment est quasiment vide, à part un vieux monsieur qui somnole.
Moi même, je résiste pour ne pas m'endormir, la journée a été longue, je me languis d'être au chaud, tout au fond de mon lit. 
Le train ralentit, cet arrêt de quelques minutes me fait sortir de ma torpeur, les freins crissent dans le silence de la nuit, le froid pénètre le wagon, en ce mois de novembre, quand  deux hommes d'une trentaine d'années entrent, ils rient et parlent fort.
Je remarque tout de suite, qu'ils ont l'air bien énervés, ils s'esclaffent à tue tête pour des broutilles, finissent par s'asseoir et m'aperçoivent dans le  coin où je me suis réfugiée.

- " Et, t'as vu la nana, elle fait sa mijaurée, ou alors sa timide, viens on va faire  connaissance," dit le plus déluré, en se levant.

L'autre le suit, un sourire idiot sur les lèvres. Je les sens s'approcher de moi, je tremble intérieurement, il ne faut surtout pas leur montrer.
Ils ont l'air de deux voyous avec leur blouson de cuir, leurs cheveux longs, et voilà qu'une fois encore, je fantasme, toujours ce désir secret et inavouable de me faire prendre par des inconnus... 
Je suis folle, complètement folle, ces hommes sont peut être fous ou pire.

Une bouffée de chaleur me submerge. Mon imagination débridée ne peux s'empêcher de vagabonder !

- " Alors, c'est intéressant ton bouquin ? Pas envie de nous parler plutôt, ou y a peut être mieux à faire, pour s'occuper ! Pas vrai Louis " ?
- " Ah ça c'est sur ! Laisse tomber ton livre " dit l'autre, en me l'arrachant des mains 
- " Mais c'est qu'elle est plutôt bien balancée, moi c'est Manu et lui, Louis ! Mais t'es toute rouge, on te fait de l'effet ou quoi ? Enlève ton gilet ma jolie " !
- " Non merci, ça va " ! Dis je, d'une voix tremblante
- " Enlève, on te dit " répète t-il, et en joignant le geste à la parole, il me tire le lainage brutalement

Eux mêmes, ôtent leur blouson et le jettent sur la banquette, je vois leurs torses musclés sous le tee shirt, il fait un froid glacial dehors et je suis étonnée de les voir si peu vêtus, leurs bras sont couverts de tatouages

- " Mais c'est qu'elle nous matte ! Nous aussi, on aime reluquer ma belle, tu pourrais peut être te dé-saper, pour nous faire plaisir " 

Je m'agite sur la banquette, les fantasmes sont une chose, mais là, il s'agit bien de la réalité, ses hommes vont vouloir aller plus loin, je le sens.
Rapidement je regarde autour de moi, le wagon est désert, aucune aide à espérer du vieux monsieur, qui dort toujours. Mon portable à portée de main ne m'est d'aucune utilité.
Dans la nuit, personne pour me sortir de cette situation, qui étrangement m'excite autant qu'elle me panique. Ces  2 hommes ont une attirance animale, mon corps s'embrase malgré moi quand je laisse dériver mes chimères délirantes.

- " Allez, fous toi à poil, ou je t'arrache tes jolies fringues, ma beauté ! "

L'autre homme, celui qui se prénomme Louis ne réagit pas, il continue de sourire béatement, il me parait assez  stupide, puis je espérer un secours de sa part , je le regarde et le supplie :

- " S'il vous plaît, ne le ..."
- " Tu obéis, m'interromps t-il froidement ! Fais ce que te dit Manu, un bon conseil "

Leur regard impatient et lubrique me transperce, je décide de leur obéir, je me mets peut être des idées en tête. Je me lève et entreprends de retirer ma jupe et la veste assortie, rapidement je suis en sous vêtements. Je regrette d'avoir choisi ce matin, une guêpière rouge à jarretelles, un minuscule string de la même couleur, le tout avec des bas et des talons hauts. Ils me toisent sans vergogne, ils sifflent en me voyant dans cette tenue affriolante.

- " Psssss  Dis donc... On est tombé sur un beau petit lot ! Tourne toi un peu "

Malgré le roulis du train, je me retourne les joues rougies d'être ainsi exposée en pâture, pourtant, je sens mes seins qui se gonflent, la situation m'enivre malgré moi.

- " Mmmm, regarde ce cul " lance Manu à son pote, alors que je sens ses mains fraîches sur mes fesses
- " Regarde comme la ficelle lui rentre dans le cul, attends ne bouge pas ma jolie " !

J'entends un clic métallique, je tressaille, quelque chose de glacial me touche, je frémis en voyant la lame d'un couteau à crans d'arrêt, il sectionne l'élastique de mon string qui tombe nonchalamment à mes pieds, plus aucun doute maintenant, ses hommes vont abuser de moi, pas le temps de réfléchir que déjà j'entends le Manu qui enlève son jean et me somme de me placer à genoux sur la banquette

- " Non, s'il vous plaît ! ", je me retourne et les supplie à nouveau

Je vois alors le sexe du prénommé Manu, une queue bien droite, le gland brillant

- " Retourne toi, je ne le répéterais pas 3 fois, à genoux ! " Tonne t-il, impatient 

Je me place comme il exige, je vois notre reflet dans la vitre, il s'avance, me pétrit les fesses sauvagement

- " Mmmmm... Je vais te baiser ma belle, tu vas goûter à ma queue, je suis sur que ça t'excites de te faire mettre comme ça, t'en as envie ?

Je ne réponds pas, je reste silencieuse dans la posture dégradante, qui est la mienne
Son sexe en main, il se place à l'entrée de ma chatte et me pénètre, lentement sa bite s'enfonce en moi, je suis remplie de sa queue, il commence à me pistonner, je ne peux contrôler ma faim de sexe et je m'adapte à son rythme

-" Mmmm Ouii... T'as vu Louis, elle aime la queue, je m'en doutais, qu'est ce que tu attends, c'est pas 2 bites qui vont lui déplaire, hein ma belle ! Tu veux sa queue à lui aussi, envie de le sucer " ? " 

MMmmm t'es bonne..... Dis nous que tu veux le sucer " 

Il me laboure le vagin, c'est trop bon, j'ai rompu depuis  un mois avec mon mec et personne depuis. Autant en profiter de ses 2 là, ils auront  ce qu'ils voulaient et moi aussi

- " Ouiiii.... Lui dis-je en criant, stupéfaite de mon audace,  je deviens folle, incontrôlable

Louis a déjà son sexe  dans la main, il se présente à ma bouche, une verge épaisse et bien dure, pas le temps de la regarder plus, il me force les lèvres. 
Dans la vitre, je vois toujours mon reflet, ça m'excite grave, le cul en l'air, une queue dans la chatte et l'autre dans ma bouche


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- " MMMM.... Vas y , ma salope, suce le bien pendant que je te baise, tu vas l'avaler, t'es vraiment qu'une grosse salope, toi !

Moi qui ne supporte pas la vulgarité, là, j'adore ! Tout ça m'excite terriblement et je ne suis pas la seule vu l'ardeur avec laquelle, ils me baisent

- " Ahhh... Elle suce bien, je vais tout lâcher Manu, je peux pas me retenir Ah je gicle " ...

Je reçois son foutre, ce cochon se vide dans ma bouche, je déglutis sa semence au moment même ou je sens monter en moi, un orgasme qui me fait crier tant la jouissance est intense, le Manu se déverse à son tour, dans ma chatte

- " Ahh.... Prends ça, salope, je t'envoie le paquet...!  Ah t'es bonne

Enfin la queue ramollie, il se retire, sa bite est baveuse de mouille et de sperme, il s'assied sur la banquette, assouvi tout comme son copain

- " Bon sang, t'es drôlement chaude, dis donc ! T'as avais envie pas vrai ? Tu sais que je peux rebander très vite si tu y mets du tien, enlève ce truc que je vois tes nichons "

Après avoir joui, j'ai juste envie qu'ils me fichent la paix maintenant, je suis dégoulinante de sperme, j'aimerai m'essuyer et reprendre mes esprits toute seule, pour réfléchir...! Mais comment ai-je pu me donner comme ça, à ces deux individus

- " A poil, mignonne, on veux te voir nue " ! S'impatiente le plus bavard

A quoi bon, leur dire "Non" maintenant !

Je ne vais pas crier au viol, alors que j'ai aimé me faire baiser, qu'ils m'ont fait jouir.
Résignée, j'enlève ma guêpière, mes seins enfin libérés se dressent fièrement, les tétons saillent, j'ai un peu froid toute nue. Le tangage du train fait palpiter mes seins. Le dénommé Manu toujours assis, me fait avancer vers lui, mes tétons à quelques centimètres de sa bouche, il en prend un et le suçote

- " Mmmm... Ils sont bien gros tes bourgeons, goûte moi un peu ça, Louis, tu vas aimer " !

Louis s'installe à coté de son pote et lui aussi me prend un téton dans la bouche, leur tête se frôle, je ferme les yeux, savoure mon plaisir. Je suis toute émoustillée d'avoir une bouche sur chacun de mes seins, je sens le sperme qui coule sur mes bas, je pourrais presque jouir comme ça tellement c'est bon, je défaille, je gémis, j'ouvre les yeux.  Leurs sexes bandent à nouveau, j'ai cruellement envie qu'ils recommencent, qu'ils me baisent encore. 
Mais au fond du wagon, j'aperçois avec effroi, le vieux monsieur qui nous dévisagent  les yeux exorbités, il va appeler, c'est sur ! On va me trouver ici nue avec ses hommes, j'ai honte, tellement honte et pourtant tellement envie, encore....

- " Louis, allonge toi sur la banquette et toi petite pute, tu vas t'empaler sur sa queue " !

Encore affolée par le regard intense du vieil homme, je ne bouge pas. "Le Manu" jette un coup d'oeil vers l'endroit que je fixe et me dit froidement :

- " Fais ce que je te dis, il ne bougera pas, je te le garantis " !

 Il s'éloigne, la queue dressée vers l'homme, lui chuchote quelque chose et revient satisfait
Le dénommé Louis est allongé sur la banquette, sa bite droite et tendue n'attend plus que moi

- " Dépèche toi,  crie Manu, grimpe lui dessus "

Malgré le peu de place, j'arrive à me placer à califourchon sur son sexe, encore pleine de sperme, sa queue coulisse, noyée dans le foutre de son copain, il me pelote les seins. Manu, dans mon dos, me malaxe les fesses, puis enfonce un doigt dans mon cul, je n'aime pas trop ça, il s'agite dans mon petit trou bien fermé quand il l'enlève et me dit froidement

- " J'ai envie de ton cul, je vais t'enculer, trop envie de te trouer le cul et on va te baiser en double ! T'es tellement une bonne petite pute, que tu dois aimer ça " ?

- " Non, pas ça, je ne l'ai jamais fait " !

Je veux me retirer, jamais on ne m'a sodomisé. D'un seul coup, tout va trop vite, je prends peur.... Mais ils me maintiennent bien.
Et l'homme se fiche de mes supplications, son gland glisse sur mon anus, le sperme qui a coulé tout à l'heure facilite l'entrée, mais je hurle quand il commence à me pénétrer, je hurle pour qu'il s'arrête :

- " Nonnn, ça fait trop mal " !
-  " Tais toi, laisse toi prendre comme une chienne "

Il me force, je sens sa queue qui me défonce par palier. Je n'ose plus bouger, Louis non plus, fasciné par son pote qui m'encule, son sexe à quelque centimètres du sien. 
Des larmes coulent sur mes joues.

- " J'y suis presque ma belle, Hmmmm... voilà, ma grosse queue est entièrement dans ton cul, j'y vais doucement, là, ça te plait, 2 bites pour toi, tu vas prendre ton pied, hein ? Dis nous que tu aimes ça ???

Après la douleur, je me sens atrocement comblée par ces queues qui m'honorent :
- " Ouiiiii.... Baisez moi, continuez, c'est bonnnnn " !

Les hommes s'activent, me pilonnent comme des malades, c'est si bon, pourquoi ai-je toujours refusé la sodomie, la douleur est vite remplacée par  l'embrasement frénétique de mon corps. J'aime qu'ils me baisent, comme une chienne au milieu de la nuit.

- " C'est bon, venez M'ssieur !  Venez vite " crie soudain Manu, au vieil homme que j'ai complètement oublié

Je vois arriver le vieux monsieur, son sexe fripé en main, il a sûrement plus de 60 ans. Je n'y comprends rien ou plutôt, je ne comprends que trop, quand je le vois entrain de se masturber la queue

- " Nonnn, Mmmm non  "  ! Je refuse mollement ce sexe, alors qu'ils continuent d'aller et venir en moi "
- " Tais toi, grosse pute, suce  la bite du grand père "

Soumise, ma bouche s'ouvre pour  laisser le passage à la verge qui bande, aussitôt un soupir de délectation de sa part, les 3 hommes me pilonnent en cadence et toujours mon reflet dans la vitre. 
Je ne suis qu'une grosse salope qui aime se faire baiser, je sens venir un nouvel orgasme , ça vient encore, je vais jouir maintenant.........C'est si bon ! Je hurle !!!!!!
Mon cri est étouffé par la queue du vieil homme mais tous ont pu entendre mes gémissements et, à leur tour, ils jouissent en moi. Leur sperme  m'inonde le cul, la chatte et même le vieux frémit, décharge dans ma bouche et se soulage en m'envoyant son liquide épais, au fond de ma gorge.

Fourbus, vidés, nous reprenons nos esprits, la gare approche, chacun se rhabille et retrouve sa place, apaisés par cette sauterie inespérée.

Je ne remets pas la guêpière, j'enfile juste mes vêtements, mon manteau. 
Mon string gît sous la banquette.  J'ai l'anus en feu, sur mes bas qui ont filés, des traînées de sperme et ça coule encore. Dans ma bouche, le goût persistant du foutre.

Les crissements des freins me font sursauter, sans un regard pour moi, les trois hommes sortent du train.

A mon tour, je descend les deux marches, il fait froid cette nuit, je sens le vent glacial qui s'engouffre sous ma jupe.

Je me souviendrais longtemps de ce trajet.



 

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