LA MAISON DE LA DEBAUCHE

Samuel s’est finalement marié, cédant aux suppliques de sa future épouse, quand celle-ci lui a annoncé sa grossesse.
 
Bien qu’il aime Natacha, il n’avait pourtant  pas prévu, d’avoir si vite un enfant.
 
7 mois après le mariage, elle accouche d’un magnifique bébé, mais se révèle être une mère absente, dépourvue de sentiment maternel.
 
Samuel chirurgien réputé, n’a eu d’autre choix, que d’accepter une gouvernante pour s’occuper  du petit, à domicile.
 
Mais là, ne s’arrête pas ses soucis. 
Sa femme n’éprouve plus aucun désir sexuel depuis la naissance. Samuel, patient, lui a laissé du temps, il est bien placé, pour savoir, que certaines femmes perdent l’envie de faire l’amour, après un accouchement.
 

Pourtant les mois passent, et aucun changement dans l’attitude indifférente,  de son épouse.
 
Le petit Boris a 6 mois déjà,  Samuel n’a toujours pas touché sa femme.
Sa patience, sa gentillesse sont à bout.
 
Décidé à faire valoir son rôle de mari, il rentre chez lui ce mercredi, à 19h30, un énorme bouquet de fleurs en main, il invite Natacha au restaurant.
La soirée est agréable, mais comme toujours Natacha se montre distante.
 
Rentrés chez eux, dans leur chambre, Samuel fait rapidement comprendre à son épouse ses intentions. Ils se couchent, il se blottit contre elle, respirant son parfum.
Il lui chuchote des mots tendres, sa main caresse le satin de sa nuisette, elle soupire d’agacement et lui dit d’une voix traînante :
 
-        « S’il te plait, j’ai une migraine terrible » !
 
Samuel n’écoute pas, sa main passe sous le tissu soyeux et savoure la douceur de la peau.
Il s’empare d’un sein.
 
-        « Je t’en prie Sam, je suis terriblement fatiguée », ajoute t-elle encore !
 
Il lui dit, qu’il a envie d’elle,  envie de lui faire l’amour. Il est son mari, après tout.
Natacha pousse un long soupir et écarte les jambes, froidement, elle siffle entre ses dents :
 
-        « Alors vas y ! Si c’est ce que tu veux »..
 
Samuel le sexe dressé, ne réfléchit pas, il veut la posséder, il passe sur elle et sans hésiter, s’enfonce avec bonheur dans son vagin. Il se rend bien compte qu’elle reste passive, mais son désir à lui, est si intense, il la pilonne quelques instants avant d’éjaculer longuement.
Le baiser qu’il tente de lui donner, est évité, elle tourne la tête refusant qu’il l’embrasse. À peine se retire t-il, qu’elle file dans la salle de bains.
Il est tourmenté par le désintérêt total, qu’elle affiche à son égard. Il avait tant espéré de cette soirée.
Il s’endort avant qu’elle ne réapparaisse. Le lendemain matin, il se lève aux aurores, la laissant endormie.
Les semaines s’écoulent, la situation n’évolue pas. Il ne la comprend plus, elle ne se préoccupe que de ses tenues, ses sorties, elle   dépense sans compter pour des futilités. 
Elle délaisse mari et enfant et refuse toute discussion, le laissant consterné, par son attitude.
 
Il s’investit alors dans le travail, il part à l’aube et rentre tard. Les jours où il ne bosse pas, il les consacre à Boris.
 
Pourtant malheureux, Samuel se confie à son meilleur ami, celui-ci n’a jamais beaucoup apprécié Natacha, il est sincèrement navré, pour lui.
 
Gérard est  un coureur de jupons invétéré, ne pensant qu’au sexe, vaquant de femmes en femmes.
D’ailleurs, il lui avoue que depuis quelques semaines, il fréquente un club très privé ou des soirées sont organisées.
Plusieurs femmes se donnent à des hommes, il ne s’agit pas de prostituées,  juste des femmes affamées de sexe, insatisfaites avec leurs époux. Issues de milieu aisé, elles s’offrent aux hommes en se  cachant le visage, pour éviter d’être reconnues.
 
Samuel est sidéré d’entendre ça, et plus encore, quand Gérard lui propose d’y faire un tour, il refuse catégoriquement. 
Pourtant Gérard insiste lui remettant un carton d’invitation : mardi de 16 h à 20 h.
Pour avoir la paix, il engouffre l’invitation dans sa poche et rentre chez lui, ou sa femme est absente une fois encore.
 
Il est si mal, il se sent si seul.
La nuit, il se réveille fréquemment le sexe en érection, il est obligé de se masturber. Sa dernière tentative auprès de Natacha a échoué une fois encore, et il n’a pas envie de la forcer.
 
Alors l’idée de se rendre au Club, finit par lui trotter dans la tête, au fil des jours.
Pour voir, juste pour voir…
 
Le mardi en question, il se rend à l’adresse indiquée sur la carte, il est 16h10 quand il se gare devant une maison cossue. Il sonne timidement, une jolie femme distinguée lui ouvre la porte, ayant le carton d’invitation en main, elle le précède dans un long couloir aux tentures rouges, qui s’ouvre sur une immense pièce composée de petites alcôves ouvertes, une épaisse moquette recouvre le sol, des canapés confortables, des petites tables  avec quelques bouteilles de champagne, dans des seaux à glace. Des lumières tamisées partout, et une douce musique d’ambiance.
 
Mais surtout au milieu de cette immense pièce, trône une estrade circulaire qui tourne très doucement, et dessus un lit géant.
 

Sur le lit tournant, une femme est à quatre pattes. 
Un noir au sexe proéminent, est entrain de l’enculer.
 
Toutes les femmes qui sont présentes, ont la particularité d’avoir la même perruque noire,  un loup recouvrant le visage, mais adapté afin de laisser la bouche découverte. Un soutien gorge seins nus et un string ouvert, l’ensemble de couleur rouge.
 
Samuel ne peut détacher son regard du lit, le noir qui sodomise la femme masquée, a un sexe énorme. Il le voit s’engouffrer dans l’anus avec une facilité incroyable, la femme émet des geignements incessants, quand un nouvel arrivant se place à genoux devant son visage, sans attendre qu’il lui demande, elle se jette sur la bite dressée.
Samuel bande malgré lui, en les regardant. Il a envie de quitter cette maison, tout cela ne lui correspond pas, il est dégoûté, mais son corps réagit, son sexe en devient douloureux, tellement son désir est violent.
 
Le gros sexe noir disparaît, dans l’anus élargis, pour réapparaître humide, luisant.
 
2 alcôves sont occupées par des couples, dans l’une , un couple boit du champagne en se caressant mutuellement, dans l’autre, une femme est affairée à sucer le sexe, d’un homme sexagénaire.
 
La femme qui l’a accueilli, le rejoint et lui demande s’il veut s’installer, boire quelque chose, ou rejoindre le couple sur le lit.
La voix enroué, Samuel hésitant, réponds qu’il veux bien une coupe mais qu’il restera ici, pour le moment. 
Sur ce, il s’assoit sur un sofa. 
Un homme d’une cinquantaine d’années, avec un costume très élégant vient d’arriver, aussitôt une femme le rejoint immédiatement, ils sont dans l'alcôve juste à coté.  La femme est assez grosse, la poitrine énorme, des fesses imposantes débordent du string rouge. 

Elle entreprend aussitôt de le déshabiller, l’homme se retrouve nu, nullement gêné de la présence de Samuel, au contraire, il lui fait un petit signe de tête, en souriant. Celui-ci  détourne aussitôt son regard du couple, mais il ne peux qu’entendre le type dire, à la femme aux gros seins :
-        « Assied toi, sur moi ma jolie, viens me donner tes grosses mamelles à téter »  ! 
Discrètement, Samuel ne peut s’empêcher de regarder, elle est assise sur lui, ses gros seins écrasés sur le visage de l’homme, il les presse l’un contre l’autre, mordille les tétons. 
Mais soudain, les geignements qui proviennent du lit, deviennent hurlement.  
La femme sodomisée jouit comme une bête, alors que celui qu’elle suçait, s’est vidé dans sa bouche. Samuel voit le sperme qui s’écoule sur son menton,  la bouche ouverte et encore pleine de foutre, elle hurle son plaisir, sous les coups de boutoir dans son cul. Le noir transpire énormément, enfin il tressaille et se vide dans un  râle rauque :
 
-        « Ahhhhhh Prends ça, salope, je me vide dans ton cul Ahhhhhh »
 
Epuisé, il se retire, laissant un filet de sperme s’échapper de l’anus totalement dilaté. 
La queue flasque et pendante, il rejoint une table afin de se déshydrater. 
La femme s’assoit sur le lit, elle essuie sa bouche. Mais elle n’a pas le temps de récupérer, qu’un autre homme grimpe sur l’estrade et lui prend les pieds pour les poser sur ses épaules, il la pénètre aussitôt, Samuel entend à nouveau ses gémissements :
-        « Vous ne voulez pas, vous approcher d’elle » entend t-il
 
Il remarque alors près de lui, une femme aux petits seins, mais aux tétons énormes
 
-         « Allez y, vous savez, elle peux avoir des orgasmes à la pelle, elle adore se faire baiser et n’en a jamais assez » !
 
Samuel rougit, la grosse bosse qui déforme son pantalon est plus que voyante, il en a mal au sexe, de bander ainsi.
 
-        « Vous pouvez laisser vos affaires dans le box, il n’y a aucun souci » !
Elle le laisse, car elle a remarqué son intérêt, depuis le début, pour la femme sur le lit.
Samuel hésite encore mais lentement, il zippe la fermeture éclair et enlève le pantalon, il pose ses affaires sur le sofa, il apperçoit alors  l’homme entrain de se branler entre les gros seins de la grosse femme, elle est allongée, la bite disparaît avalée par la grosse poitrine
-        « Mmmm j’adore tes gros nibards, t’es trop chaude, ma belle, ouvre ta bouche, j’arrive » !
 
Samuel finit rapidement de se déshabiller, son sexe est si dur. Il veut se soulager dans la femme, sur le lit.  Il veut son cul, là, ou le noir enfonçait sa grosse bite, rien que d’y penser, il jouirait presque immédiatement.
L’homme qui est toujours en elle, se retire et finit dans sa bouche, elle avale encore une fois le  foutre sans sourciller, sa langue savoure le sperme, elle la passe sur ses lèvres et se délecte de ce nectar
 
-        « Mmmmm c’était trop bon, chéri » Dit elle doucement
-        « Au plaisir, ma belle, la prochaine fois, je baiserais ton cul de salope, tourne toi un peu, que je vois tes fesses »
 
Elle retrouve sa position préférée, à quatre pattes, l’homme caresse la croupe et voit Samuel qui s’approche la bite érigée
 
-        « Je te laisse ma beauté, encore un, pour ton cul, j’ai l’impression » !
 
Samuel effectivement est tout près de cette femme, il se place devant l’orifice ou coule encore un peu de sperme, le noir a du lui lâcher un bon paquet, pense Samuel trouvant ça, terriblement excitant.
Le cul est offert, dans l’attente de se faire baiser, il ne réfléchit plus, il tient ses hanches et s’enfonce brutalement en elle, d’un coup. C’est si bon, si chaud, si accueillant, il l’entend chuchoter
 
-        « Vas y baise mon cul, encule moi, j'aime ça » !
 
Il devient fou, il la lime sauvagement, elle gémit encore, il coulisse si facilement dans son cul lubrifié de sperme, il sent qu’il ne pourra se retenir davantage, ça fait si longtemps, il expose dans son cul en jouissant intensément, alors qu’il la voit se masturber et avoir un orgasme terrible. Près d’eux sur le lit, deux hommes sont entrain de se partager une femme, qui hurle comme si elle était en transe.
 
Samuel se tire à peine de son cul, qu’elle se tourne brutalement et s’empare de son sexe ramolli pour le lécher, il n’en revient pas de tant de lubricité. La langue si douce, le nettoie avec empressement. 
C’est à ce moment très précis, qu’il remarque sur son épaule, un petit tatouage.
Ses yeux ne peuvent se détacher du motif, alors qu’elle s’affaire sur son sexe goulûment.
Ce tatouage, il le connaît parfaitement bien, pas de doute, l’emplacement, la forme, la taille, la couleur.
 
Cette femme qui se donne, à qui veut la baiser, c’est ……… Natacha !
 
Il en est certain.
Elle n’a pas toujours pas vu la tête de l’homme qui vient de l’enculer et qui se fait maintenant lécher la queue.
 
Samuel réfléchit vite, quelle attitude prendre, que dire, comment réagir ?
 
Il lui fait comprendre par un geste brutal qui la veut à nouveau, à quatre pattes, soumise aux hommes qui la baisent, elle obtempère sans même un regard.
 
Il profite qu’elle ne le voit plus et quitte sans attendre ce lit de débauche.
 
Revenu à sa table, il avale 2 coupes de champagne coup sur coup, essayant de surmonter cette horrible découverte.
Sa femme qui se refuse à lui, depuis des mois,  se donne à n’importe qui. Il est au bord de la nausée, il se verse une 3 ème coupe, l’alcool l’apaise un peu.
Après tout, si le seul moyen de la baiser est de venir ici, il ne se gênera pas, il va en profiter autant qu’il le pourra.
 
C’est déterminé, qu’il se rhabille et quitte cette maison de turpitude ou il a bien l’intention de revenir.
En partant, on lui remet un nouveau carton d’invitation pour après demain.
 
Il sera là, il usera d’elle comme les autres.

 

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