Cours de sport particulier ( 2ème partie)

Barbara perturbée, ne cesse de penser à cette fin d'après midi ou elle a connu plusieurs fois l'orgasme. Depuis, elle prend sur elle, pour ne pas recommencer à se toucher, l'éducation stricte qu'elle a reçu ne laisse aucune place pour ces perversités sexuelles, elle tente par le travail d'oublier cette attitude honteuse qu'elle a eu avec son professeur, bien plus âgé, que son propre père.
Pourtant dans la semaine, elle se rend au Planning Familial afin de prendre un moyen de contraception. C'est les pommettes rouges qu'elle subit l'examen gynécologique et les nombreuses questions indiscrètes sur sa vie sexuelle.
Elle qui avait juste embrassé quelques garçons, jusqu'à ces derniers jours ou elle a perdu sa virginité, comme la dernière des salopes.

Le fameux jour de piscine est arrivé, l'ensemble du groupe investit les vestiaires. Barbara est déjà revêtue de son maillot de bain. Elle attend sagement que les autres filles s'apprêtent dans le vacarme assourdissant de leurs rires et commérages.
Monsieur Dufour tape négligemment à la porte, et pénètre sous les cris féminins, qui sont encore en petite tenue

- " Désolée Mesdemoiselles, j'ai besoin d'un coup de main, tiens Barbara, vous êtes déjà prête, venez donc m'aider " !

La jeune fille désespérée, se lève et le suit sans dire le moindre mot, sitôt la porte du local fermée, il se jette sur elle, enfonce sa langue répugnante dans sa bouche, lui lèche le visage

- " Mmmm j'ai envie de toi, ma grosse, je vais me tenir calme, tu viendras me rejoindre à la fin de tes cours ce soir, dans les vestiaires, et dépêche toi " !

Il caresse sa poitrine, quand des cris se font entendre dans le couloir, enragé il abandonne la jeune fille et sort voir son groupe.
Barbara essuie avec dégoût son visage plein de salive, elle a les larmes aux yeux, s'empare du matériel et rejoint les autres.  

La séance de piscine est un vrai calvaire, les garçons sont atroces avec elle, les insinuations déplacées sont nombreuses et dans l'eau, elle doit éviter les attouchements constants. M Dufour remarque leur petit manège et s'en amuse.
De plus, elle sait à peine nager, elle a du mal, à suivre les autres. Le professeur indique quelques exercices à faire par groupe, et entreprend de garder barbara avec lui

- " Barbara, vous êtes aussi souple qu'un éléphant, venez ici, que je vous montre, pour la énième fois, les bons gestes "

Sous les rires, humiliée, elle s'approche du prof, il regarde autour de lui, tout le monde est occupé et les ignore complètement.

- " Faites la planche, Mademoiselle"

Barbara s'exécute, elle sent ses mains passées sous ses fesses, il ose la caresser ici, il enfouit sa main sous le maillot, elle est affolée

- " Non, s'il vous plaît.... " Chuchote t-elle !
- " Détendez vous Mademoiselle, agitez vos pieds," dit il fortement
 
Mais il ajoute tout bas :

- " J'adore ton gros cul, tu sais, touche ma queue discrètement, je bande, touche " !

Elle regarde autour d'elle, des rires qui fusent, des cris, tout le monde les ignore, elle obéit, son sexe est dur

- " Branle moi ma grosse cochonne " !

Anéantie par sa perversité, elle lui masturbe le sexe, il arrive à lui enfiler un doigt dans la chatte, sidérée de son audace, elle continue néanmoins de lui obéir et l'entend gémir, il éjacule dans l'eau, le sperme jaillit et se mélange doucement à l'eau du bassin, elle relâche la queue
Satisfait, il l'abandonne d'un seul coup, ce qui a pour effet de lui faire prendre la tasse
- " Décidément ma pauvre fille, vous n'êtes pas douée pour la natation " !
- " C'est l'heure, jeunes gens, le cours est terminé, tous à la douche " !!!!

La journée s'est écoulée beaucoup trop vite, et la fin des cours approche, la nervosité de Barbara s'accentue. Elle a une envie terrible de ne pas se rendre au vestiaire, pour rejoindre le sale type qu'est son professeur, et pourtant résignée, elle s'engage au fond de la cour, entre dans la salle de sport et rejoint les vestiaires. 
Il est déjà nu, impudique, le corps sans le moindre excès de graisse mais fripé comme une vieille peau tanné.
 
- " Pose tes affaires, et désappe toi, mon enfant " !

Son ton doucereux l'exaspère, elle entreprend d'ôter son pull qui la recouvre totalement ainsi que le jean, comme la dernière fois, elle est en sous vêtements devant lui, un ensemble dans les tons roses qui accentue encore davantage son embonpoint.

- " Tu es une bonne grosse, sais tu ?, j'adore ça, je veux que tu enlèves tout tes fringues, sans que j'ai à te le demander la prochaine fois, tu entres ici et tu te fous à poil, sans attendre que je te le dise, as tu compris ? "
-  ....
- " Je te parle, ma petite, tu vas devoir être plus obéissante, sinon je pourrais me fâcher " !
- " Oui, j'ai compris " ! Dit enfin la jeune fille
- " Oui Monsieur ! !!!!!! Je te prie d'être poli petite impertinente, alors GROUILLE TOI, et fous toi à poil " !

Elle se retrouve rapidement nue devant l'homme. A ses cotés, elle a l'impression d'être énorme et si blanche, il est vrai que sa peau ne prend jamais le soleil, elle ne bronze pas, trop complexée par son poids.

Il passe ses mains rugueuses sur ses seins, son regard vicieux ne la quitte pas , elle ferme les yeux, elle ne veux pas le voir......

- " Regarde moi ! Je veux que tu ne me quittes jamais du regard " !

Alors elle se force, il est si méprisable, elle n'avait jamais vu que ses dents étaient si abîmées pour un enseignant, c'est assez incompréhensible, ses quelques cheveux sont plaqués sur le coté de son crâne laissant une partie dégarnie. Elle le trouve vraiment répugnant. 
De son coté, il se doute de ce qu'elle pense, et pourtant c'est avec lui, avec sa queue qu'elle va jouir, qu'elle va être défoncée, il va lui faire apprendre à aimer le vice et la luxure. 
Cette grosse dinde va aimer se faire baiser, il en est sûr ! 
Il fait rouler la pointe de ses tétons sous ses doigts, et s'empare à pleines mains de ses gros nichons. Il lui pelote ses nibards sauvagement et enfonce sa tête dans ces douces mamelles. Elle reste droite sans bouger, à le regarder. De sa bouche immonde, il lui aspire les tétons, la mordille, il frotte sa queue durcie sur sa cuisse

- " A quatre pattes, mon enfant !" 

Elle réprime un sanglot mais s'agenouille, il en fait autant, passe sa tête entre ses grosses cuisses et entreprend de la lécher, de la laper comme un chien le ferait, il malaxe ses fesses, il lui dévore la chatte, il sent qu'elle se détend sous la caresse buccale, il aime avaler sa mouille, il bave de plaisir, glisse sur le clito et entreprend de le masser de sa langue.
Barbara réticente à se laisser fouiller une nouvelle fois, se sent fondre sous  la langue experte, elle ne veux pas du plaisir qui s'annonce mais inconsciemment elle enfonce son sexe sur la bouche de l'homme, c'est tellement bon, comment résister à ça... Elle oublie qui elle est, ou elle est, avec qui, elle ne pense plus qu'à cette chaleur qui se diffuse dans son corps, l'orgasme la submerge, et elle ne retient pas le cri de bête qui la terrasse. Lui s'abreuve de la cyprine abondante qui s'écoule, il bande comme un fou depuis plusieurs minutes, sa queue lui fait mal tant elle est dure, il remonte sa langue vers l'anus fermé, il mouille abondamment la petite rondelle.
Barbara anéantie par sa jouissance ne bouge plus ses fesses flasques, son gros cul toujours cambré. 
Elle est dans un état second, la honte, le dégoût, le plaisir, l'envie, un mélange terrible et bouleversant pour cette toute jeune fille dans les mains d'un satyre.
Il bouge, elle va en faire autant mais elle est interrompue 

- "Reste tel que tu es, exige t-il, ne bouge pas " !

Il se redresse, passe derrière elle, elle se dit qu'il va la pendre à nouveau comme l'autre jour, pas un instant, elle se doute de ce qu'il a en tête.
L'homme dépravé ne songe qu'à ce cul qu'il va posséder. Depuis la séance de piscine, il a pensé toute la journée au moment ou sa bite disparaîtrait dans les profondeurs de son anus. Il la regarde une dernière fois, elle a le visage plaqué sur le sol, ses seins ballants, et ce cul énorme, il approche son gland violacé du petit orifice, pose ses mains fermement sur les hanches grasses et entame une avancée dans l'anus fermé.
Barbara résignée, sort de sa torpeur quand elle sent l'immonde sexe lui déchirer son petit trou, elle tente de se soustraire à cette horrible douleur et dépravation que lui inflige l'homme, mais il la maintient bien, ses doigts s'enfoncent dans sa chair, et il continue son ascension, sa verge viole son intimité, elle hurle

- "Tais toi, salope ! Tu as donc envie, que quelqu'un ne te voit entrain de te faire défoncer le fion ?  ...... Ouiii c'est mieux, tu vas voir, le plus gros de la douleur est passée, je suis entièrement dans ton cul, ma grosse cochonne, MMMmmm c'est bien, laisse toi faire "

La jeune fille gémit sous l'emprise totale de l'homme qui l'encule, il la pistonne doucement, la bite la transperce mais la douleur a diminué

- " MMmmm t'es drôlement bonne ma mignonne, tu sens ma queue comme elle rentre bien dans ton gros cul, ahhhhh , t'es vraiment bonne "
Barbara n'en peux plus, sa déchéance lui donne envie de vomir, mais machinalement elle s'adapte et s'avance sur la queue de l'homme qui, a  remarqué ce petit changement d'attitude, il se dit qu'il est chanceux, elle va être une bonne petite vicieuse 

- "Tu aimes ça, tu aimes en avoir une dans ton gros cul de vache, je vais te l'inonder, tu sais "

Barbara se fiche de ce qu'il raconte, c'est vrai la douleur est plus que supportable, elle finit par en redemander, il la besogne franchement, elle a envie de jouir à nouveau, son corps le réclame

- "  Salopeeee !" dit il

De grosses gouttes de sueur perlent sur son front, l'homme tressaille et enfin, jouit longuement dans les entrailles de la jeune fille. Toujours dans son cul, il entreprend de lui masser le clito, elle le laisse faire presque soulagée, le sperme qui coule de son cul se mélange à sa mouille, il la caresse pour la faire jouir et  béate, elle jouit sous ses doigts. Son sexe ramolli libère son petit trou douloureux, elle s'écroule sur le sol, tout comme lui. Ils ne bougent plus.

- " Habille toi vite, il est l'heure que j'aille rejoindre ma femme"
Elle obéit encore, sur le sol, une tâche de sperme s'étale.....
- "File, ma cochonne qui aime ma bite "

Barbara misérable quitte rapidement ce lieu de débauche, ou elle apprend ce qu'est la luxure. 
Elle reprend rapidement le chemin de la maison, de son anus coule sa turpitude.
 

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