LES DEUX FRERES (SUITE)

Sur la route qui la mène à son domicile, elle ne peut que se remémorer cette matinée. 
Et surtout ce qu’elle a dit en les quittant, comment a-t-elle pu dire qu’elle reviendrait le lendemain ???

Elle arrive devant son immeuble. Avant de récupérer sa fille, elle tient à se laver à nouveau, elle prend une longue douche, effleurant son corps qui a connu tant de jouissance précédemment. 
Ses caresses ne la laissent pas indifférente, elle a encore envie, elle devient donc folle….. 
Sa main caresse ses seins, elle pince ses tétons, qui étaient dans la bouche de ses deux sales types, puis sa main descend sur sa chatte trempée, elle masse doucement son clitoris, c’est terriblement bon, il est gonflé encore. 
Le souffle court, elle se revoit ayant cet orgasme terrible, comment a-t-elle pu jouir avec ces hommes répugnants, leurs corps nauséabonds et infâmes. A nouveau, Christine jouit… Pantelante, elle dort de la douche. 
Des idées confuses, elle n’est plus que l’ombre d’elle-même quand elle se rend chez sa mère récupérer Anaïs.
La petite fille très demandeuse de sa maman, lui fait heureusement oublier pour quelques heures cette matinée honteuse. 
Mais quand le soir, elle se couche, immédiatement ses pensées reviennent vers cette maison si sale, aux propriétaires si écoeurants. Son corps de façon incompréhensible réclame à nouveau des caresses. Elle se lève d’un coup, et prend 2 somnifères, elle veut dormir, oublier…
 
Le lendemain, elle dépose son enfant chez sa mamie. Puis se rend chez une vieille dame pour son travail, deux heures plus tard, elle doit se résoudre à affronter la situation, il est l’heure de se rendre au domicile des Lepic. Tremblante, elle voudrait ne pas y aller, mais sans hésiter.... Elle se rend chez eux, le cœur battant, elle sonne à la porte.
Comme la veille, le gros Lucien vient lui ouvrir, un sourire atroce illumine son visage hideux.
 
- La v’là ! ! ! Clame t-il bien fort, pour son frère toujours alité. Entre ma jolie, on t’attendait.
 
Christine passe devant lui, toujours cette forte odeur de transpiration qui l’écoeure, il lui frôle sans gêne ses fesses, ce qui la mets tout de suite dans un état d’excitation extrême. Elle devient folle, aucun doute là-dessus.
 
- Allez ma cochonne, tu sais ou est la salle de bains, ne perds pas de temps à te changer, fous toi à poil tout de suite ! Et grouilles toi un peu….
 
Elle pénètre dans la petite salle d’eau crasseuse et retire un à un, ses vêtements, elle se regarde dans le miroir, nue, prête à subir les outrages de ces deux hommes. Comment peut elle en arriver là ? D’un coup, elle ferme la lumière, se voir est pour elle, le reflet de sa toute nouvelle turpitude.
 
- Alors la boniche, t’actives ou quoi ?
 
Elle arrive dans la chambre aux odeurs nauséabondes, elle voit André nu sur ces draps sales, le gros Lucien est entrain de retirer son pantalon de jogging crasseux.
André se caresse la queue, satisfait de voir que cette petite salope est là, nue, qui plus est, prête à se faire baiser par eux. 
Volontaire même. 
Personne ne l’a obligé à revenir, il est bien évident pour ces hommes que cette grosse cochonne aime leurs queues.
 
- Ben qu’est ce t’attend, viens vite me sucer, t’en meurs d’envie..
 
Est-ce bien la même Christine que la veille qui, sans hésiter une seconde, se jette sur le sexe long, la queue sent très fort.
 
- Ben dis donc, toi alors, t’en as envie, tiens moi aussi je vais te bouffer, mets toi ta chatte sur ma figure, on va se faire un ti 69
 
Christine obéit, elle sent l’haleine de l’homme sur sa vulve puis elle l’entend qui dit à son frère
 
- Bon sang, la garce, elle mouille bien, regarde comme elle jute !!! Mmmm quel régal à bouffer…
 
La jeune femme sent enfin la bouche qui se pose sur sa chatte, puis la langue d’André qui la fouille. Elle se jette à nouveau sur le sexe, le pompe, comme une folle
 
- Ouiii vas y, bouffe lui bien sa queue, regarde comme la mienne est belle pour toi, après ça sera mon tour, ouvre bien les yeux, ma cochonne, regarde bien ma bite
Elle continue à sucer la queue qui coulisse entre ses lèvres, en regardant l’homme obèse se branler.
André lui bouffe la chatte, il aspire son clito, c’est un bonheur de le sentir précisément ou elle a envie, elle tressaille et jouit violemment alors que lui se vide dans sa bouche. Deux longs jets de foutre épais, visqueux.
 
- Avale bien tout, petite pute, Ouiiii nettoie lui bien la queue, c’était bon hein, t’as bien jouit la garce, dit le gros Lucien. A mon tour, à plat ventre comme hier, sur la table..
 
Elle se retire d’André, sa bouche est pleine de sa mouille, il ricane encore, en la remerciant de l’avoir si bien pompé.
Puis elle se place à plat ventre, le même scénario que la veille à part que là, elle n’est pas attachée et entièrement consentante.
 
- Bon sang, dit Lulu, tu l’as bien mouillé le frérot, pas la peine de cracher sur son cul. Tu vas te faire défoncer, j’adore ça moi bourrer le cul d’une salope comme toi, tiens toi prête ma garce, j’arrive !
 
Le gros sexe palpitant, impatient se presse sur son anus trempé par les bons soins d’André, le gland démesuré s’avance.
Elle crie, mais il continue progressivement jusqu’à mi parcours sous l’œil envieux de son frère, puis les quelques centimètres qui restent, s’enfoncent d’un seul coup.
- ça y est, je suis dans ton cul, toute ma bite ….
 
André caresse furtivement le membre gonflé de son frère, qui sort de l’anus, pour y entrer à nouveau. Il est terriblement impressionné par le sexe qui a réussi à se faire une place dans les entrailles de la jeune femme. L’anus dilaté à l’extrême, elle gémit maintenant.
- ça te plait, ma bite dans ton cul, demande Lucien tout rouge Mmmm t’es bonne la boniche, caresse là Dédé, vas y ..
André comme la veille lui masse le clito, alors que son frangin lui ramone le cul.
- Tu vas encore jouir, tu n’es qu’une grosse salope, toi ! Dis le nous, on veut l’entendre, hein Lulu ?
- Ouais, ahhhhh ce cul, je te baise bien à fond…. Allez obéis, on t’écoute
 
Christine n’en peut plus, ses sales types la rendent folle, elle crie :
 
-Ouiii je suis une salope, une grosse salope, baisez moi, ouiiiii je vais jouir encore… !!!!!! Ahhhhh que c’est bon Ahhhhh
 
Lucien lui bourre le cul aussi vite qu’il le peut, vu sa corpulence, il souffle, enfin il éjacule et la remplit alors qu’il l’entend hurler de plaisir.
 
Sa grosse bite à peine débandée, se retire de l’anus. Il lui a encore mis un bon paquet de foutre. Il est satisfait mais peine à reprendre son souffle, il s’assoit lourdement dans le fauteuil situé près du lit. Christine se redresse à son tour, son anus en feu, s’écoule lentement.
 
Tous les 3, sont repus et fatigués.
 
- Ehh 11h30, vas donc nous faire à manger, grouille toi un peu, on a besoin de force pour satisfaire une cochonne comme toi.
 
Elle prend le chemin de la cuisine, elle est humide de transpiration, de salive, de sperme. Elle ouvre le frigo et dans l’immense fouillis, trouve une boite d’œufs et prépare une omelette.
 
- Tu manges avec nous, ma jolie, oublies pas !
 
Elle prépare les 10 œufs qui restent, et mets la table pour 3. Du coin de l’œil, elle les voit qui discutent en la regardant, nue déambulée dans leur cuisine sale.
L’omelette est dans les assiettes. Exceptionnellement, André décide de se lever, tant bien que mal, il arrive à se mettre à table. Les deux hommes mangent avec un bruit ignoble, ça lui coupe l’appétit. Elle voit la nourriture dans leur bouche ouverte, et trouve ça écoeurant.
 
- Dis donc la boniche, t’es rien comme difficile ! Mange….Crie André
 
Christine se demande soudainement, ce qu’elle fait là nue entre ses porcs, sur sa chaise en formica, le sperme de son cul s’écoule.
Puis la sonnette retentit, elle sursaute, prête à filer dans la salle de bains.
- Ne bouge pas, dit André, c’est sans doute le facteur, Lulu va donc voir qui sait à c’heure !!!!
 
Le gros Lulu se déplace en râlant, il maugrée d’être ennuyer pendant son repas, il prend le peignoir sur la chaise et s’en recouvre avant d’aller ouvrir.
Des bribes de voix, des pas s’approchent. Tétanisée, Christine voudrait s’enfuir, mais André la tient fermement.
 
- Bouge pas comme ça, la bonniche ! Ahhhh mais c’est Léon !!! Entre donc….
 
Le nouvel arrivant, a environ 65 ans, petit le ventre rond, une moustache et une grosse barbe lui dévore le visage. Ses cheveux plein de pellicules sont plaqués sur son crâne. Il reste là, la bouche ouverte à regarder cette femme qui mange nue avec les frères Lepic, il n’en croit pas ses yeux
- Euhh Madame, dit il poliment d’une bouche édentée
 
Christine est rouge de honte, elle fait une petit signe en souhaitant que l’intrus se sauve au plus vite, et désirant quitter ce lieu rapidement.
 
- On t’présente, la boniche… Mais elle préfère baiser que de s’occuper de la maison, hein ma belle que c’est bien vrai ? Dit il en s’esclaffant tout comme son frère
 
- Je crois que je vais vous laisser et repartir chez moi ! Il est l’heure…Annonce doucement Christine
 
- Tu bouges pas de là ma jolie, tu crois pas que c’est nous qui allons débarrasser et faire la vaisselle, allez au boulot ! GROUILLE…
 
Elle se lève le rouge aux joues, sous le regard appuyé du dénommé Léon. Elle s’empare des assiettes, alors que les mains de Lucien caressent ses fesses
 
- Regarde comme elle dégouline, du sperme plein le cul que je lui ai mis et Dédé lui, ne s’est pas privé de lui faire goûter sa crème Ahhh ouais une belle cochonne qu’on a là, si ça te dit ?
 
La jeune femme tente d’ignorer la façon dont les hommes parlent d’elle, ça devrait l’humilier, étrangement elle ressent à nouveau une envie déraisonner d’être baiser.
Léon lui, n’en revient pas, l’occasion de se faire un beau p’tit lot est tentante.
 
- Ben les gars, j’en ai déjà la queue qui frétille dans le caleçon, dit il !
- T’as entendu la boniche, va donc t’occuper du copain
 
Elle regarde l’homme qui déjà abaisse son pantalon, un slip grisâtre immense se retrouve aux pieds, sans pudeur aucune, il exhibe un sexe fripé mais tendu comme un arc
 
- Si la p’tite dame veut bien me faire les honneurs de sa bouche, clame t-il poliment !
- Waooh ben dis donc, tu causes bien le Léon avec les dames, mais avec elle, tu peux y aller, elle aime se faire tirer comme une pute, ça l’excite, pas vrai ma cochonne, vas y ! Fais ce qu’il te demande…
 
Christine s’approche lentement de Léon, ses seins ont les tétons bien dressés. Elle se sent misérable à avoir tant envie de ses hommes horribles, elle s’agenouille, et prend en main le sexe tendu. L’homme respire avec peine, tant il est énervé, le silence règne dans la pièce. Puis la bouche s’avance et gobe le gland, la langue s’enroule sur la tige. Comme ses compères, il sent fortement mais elle n’en a cure, elle a une envie terrible encore, encore….
 
- Vas y pompe le bien, ça doit pas t’arriver souvent, hein Léon ironise Lulu
- Ahhh bon sang, qu’est ce qu’elle suce bien, Ahhhhh Ouii Pourriez vous me lécher les couilles aussi, j’en rêve ! Ajoute t-il
- Fais comme il te dit, ma jolie après t’auras ta récompense
 
La jolie bouche s’empare des couilles pleines sous les plaintes de l’homme, des couilles poilues, fripées elles aussi, elle va comme une folle puis le pompe à nouveau souhaitant ardemment le faire jouir, ce qu’il ne tarde pas à faire, les yeux révulsés, il éjacule longuement un foutre bien épais. La bouche encore pleine, le gros Lulu la prend sauvagement et l’alonge à plat ventre sur la table entre les verres et les assiettes. Puis son sexe énorme se fraye un passage dans sa chatte trempée, elle mouille terriblement, il a à peine fait quelques passages dans son vagin, que déjà elle explose, elle hurle de jouissance sous l’œil effaré du nouveau venu.
André lui, attend son tour avec impatience, que son frère a fini de la baiser, il le voit qui s’agite frénétiquement dans sa chatte, puis sa face rougit devient violette et l’homme la remplit de sa semence dans un cri.
 
- Viens vite sur moi, j’en peux plus, et moi tu sais que je peux pas bouger, dépêche toi ma grosse cochonne, viens t’asseoir sur ma queue
 
 
Christine tel une poupée, passe de l’un à l’autre sans rechigner, il exige qu’elle se place dos contre lui et s’assoit sur son sexe. Il veut son cul à son tour, son anus encore trempé de sperme n’est plus difficile d’accès, elle s’assied sur la tige longue alors qu’il lui triture les seins. Sa jambe plâtrée l’incommode un peu
 
- Vas y toi, encule toi seule, bouge ton cul sur moi……. Léon, viens la caresser, elle adore ça, tu vas encore l’entendre bramer, cette salope.

Léon qui croit vivre un rêve s’approche d’elle, elle s’agite comme une démente sur la bite, il pose sa main, tout est poisseux, trempé, il tente de trouver le gros bouton qui la fera hurler, quand il entend ses plaintes, il comprend qu’il est sur le point de la faire jouir, le vieux s’applique, elle a les yeux grands ouverts, la bouche grande ouverte, elle s’agite sur la bite quand elle hurle frénétiquement
 
- Ouiiiiiiiiiiii Ohhhh ouiiiiiiiiii je jouis, c’est bonnnnn
 
André n’y tient plus et se vide une nouvelle fois les couilles.
 
Léon le souffle court, a une envie folle de le baiser, hélas son corps n’a plus 20 ans, il ne rebande pas…. Il caresse ses seins, elle ne bouge plus, toujours assise sur André elle a les yeux mi clos. Elle savoure les moments intenses que lui ont procuré ses différents orgasmes. Enfin ses yeux s’ouvrent doucement, elle voit le gros Lulu affalé dans son fauteuil, il somnole.  Léon lui pelote les seins, elle est épuisée. Elle doit rentrer chez elle, elle se lève, ça lui dégouline partout. Elle se rend dans la salle de bains, Léon la suit…
 
- Je suis épuisée, je vais rentrer dit elle à l’homme
- Juste encore quelques minutes, j’aurais voulu moi aussi, euhhh

Elle comprend, elle voit son sexe encore mou, elle se dit une dernière fois avant de partir, elle le branle doucement alors qu’il tête ses seins, il commence doucement à bander, puis enfin sa queue durcit.

- Je voudrais essayer moi aussi, enfin vous comprenez avec ma légitime, on l’a jamais fait !

Elle comprend que lui aussi veut son cul, elle se positionne appuyée au lavabo et écarte bien ses fesses.
Lui n’en peux plus, il voit les coulées de sperme qui s’écoulent encore, ses potes lui ont facilité le passage, il s’engouffre avec bonheur dans le tunnel bien lubrifié et commence à s’agiter en elle, une main sur son ventre pour bien aller au fond de son cul, chose aisée tant elle est trempée, son autre main a retrouvé le clito et s’emploie a le masser doucement, quand grâce à lui, rien qu’à lui, elle jouit… Une longue plainte.
A son tour, il se libère en elle. Le sexe se retire aussitôt de son anus rempli au maximum, rempli de ses trois hommes. Il la remercie et sort heureux de la salle de bains. 
Christine retrouve son reflet dans le miroir, elle se
trouve terriblement belle. 
Elle respire le sexe, ses hommes ragoûtants lui ont donné le plaisir que jamais elle n’avait connu.
Elle le sait maintenant de manière certaine, seuls des types de leur genre, répugnants, sale, affreux arrivent à lui donner orgasme sur orgasme. C’est incompréhensible mais c’est comme ça… !
 
Elle se lave et réapparaît dans la petite cuisine, les 3 hommes sont calmes, repus. Seul Dédé, lui dira :
 
- A jeudi petite salope….
 
Elle répondra juste :
 
- A jeudi !
 
Mais qui sait, si elle résistera, à ne pas revenir avant…….
 

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