LES DEUX FRERES

Christine 28 ans, a retrouvé du travail après 2 années de chômage, elle est auxiliaire de vie et s’occupe à domicile de personnes âgées ou malades.
Elle aime son métier, se rendre utile et surtout, depuis qu’elle a retrouvé une activité professionnelle, les fins de mois sont moins difficiles. Christine est divorcée et s’occupe de sa petite Anaïs toute seule.
Elle a une immense chance de pouvoir compter sur sa mère pour garder la petite Anaïs, âgée de 6 ans.
 
Ce matin là, elle doit se rendre chez une seule personne, enfin deux plus exactement, puisqu’il s’agit de 2 frères qui vivent dans la même maison. Ce n’est que sa deuxième visite chez eux, la première a eu lieu la veille et ne lui a pas spécialement plu.
 
Mais son patron a insisté, il sait que ces personnes sont difficiles, mais il lui a promis qu’elle ne s’y rendrait que 2 fois par semaine. Pour sa peine, elle a le droit de profiter du reste de sa journée, afin de récupérer les heures supplémentaires effectuées, ce mois ci.
 
Christine se gare devant le domicile des personnes, il est 7h30. Elle en a jusqu’à 10h00 et ensuite elle pourra profiter de sa petite Anaïs qui pour l’heure, dort encore chez sa mamie.
Elle sonne à la porte, impatiente d’en avoir terminé avec ces messieurs qu’elle trouve antipathiques.
Des pieds qui se traînent, un grognement se fait entendre et la porte s’ouvre. L’homme la fait entrer en grommelant. Il se déplace difficilement vu son embonpoint, il doit faire au moins 130 kgs, se dit Christine.
 
Une forte odeur de transpiration accompagne l’homme obèse, il est évident que l’hygiène n’est pas sa priorité. Les cheveux gras, les ongles sales, l’homme est réellement répugnant. Pourtant elle se force à lui parler aimablement, en le saluant.
 
Elle s’avance alors dans la pièce principale qui leur sert de salle à manger et salon. Le tout dans un désordre inouï et dans une saleté inimaginable.
 
-        C’est qui encore, à c’te heure ? Hurle t-on de la chambre
-        Ben la femme de ménage, Répond son frère
 
Christine s’apprête à répliquer qu’elle n’est pas la femme de ménage, même si elle vient aussi  pour mettre un peu d’ordre, elle est surtout présente pour les soins de l’homme alité, qui vient de parler. Elle rejoint la chambre, il est allongé la jambe complètement plâtrée.
 
-        Bonjour Monsieur Lepic, vous avez bien dormi, se force t-elle à lui demander, en ouvrant la fenêtre
 
L’odeur est épouvantable, l’homme ne se lève pas de son lit, il urine dans un urinoir qui est au pied de son lit, rempli et malodorant. Une forte odeur de tabac froid imprègne également la pièce.
Elle s’empresse d’aller le vider et demande aux hommes la permission d’utiliser leur salle de bains pour se changer.
Elle préfère ôter sa jolie petite robe, afin de la préserver de l’odeur nauséabonde et persistante qui règne ici.
Elle enfile directement sur ses sous vêtements une blouse blanche, arrivant juste au dessus des genoux, elle ferme toutes les pressions de haut en bas et ôte ses jolis escarpins, pour des sabots plus pratiques pour le nettoyage.
Résolue à s’activer, pour en avoir vite terminer dans ce taudis, qui leur sert de logement, elle finit par relever ses longs cheveux et sort de la petite salle de bains crasseuse.
Le travail le plus rebutant est de faire la toilette de l’homme alité.
Âgé d’une cinquantaine d’années, il n’est pas obèse comme son frère cadet, mais guère plus engageant, le crâne chauve, la dentition dans un état déplorable, il a les doigts jaunes dûs au tabac. Elle prend son courage à deux mains et remplit 2 bassines, pour lui faire sa toilette. Son frère épuisé sans doute par le fait d’avoir bougé, pour lui ouvrir la porte, est avachi sur un fauteuil situé, à quelques mètres du lit. Les jambes écartées, le souffle court, il ne bouge plus, la regardant s’affairer.
 
-        Allez Monsieur Lepic, je vais vous aider à votre petite toilette !
 
Elle entreprend d’ôter la veste de pyjama, souillée de taches de gras ainsi que le pantalon tâché d’immondes auréoles jaunâtres. Christine ne préfère même pas penser que cela puisse être des tâches de sperme.
L’homme est nu maintenant, ce qui l’amuse assez.
Elle commence la toilette du torse velu, elle sent son haleine putride. Elle tente de ne pas penser à ce qu’elle fait, de faire le vide dans sa tête.
 
Il se laisse faire en marmonnant que l’eau est froide, qu’elle est bonne à rien. Christine ignore les remarques désagréables, elle agit vite, pressée d’en finir. Il s’agit maintenant de lui nettoyer le sexe, elle respire un grand coup et entreprend de le savonner, elle sent aussitôt une raideur qui la mets mal à l’aise, elle rince rapidement les parties génitales de l’homme qui a maintenant une superbe érection et s’en vante auprès de son frère
 
- Eh t’as vu ça, elle me fait de l’effet la boniche ! Dit il le sexe raide
- Monsieur Lepic, je vous prierais d’être poli, sinon je me serais contrainte d’en aviser mon supérieur
- Quelle bêcheuse, celle là ! Elle mériterait qu’on lui rabaisse son « caquet » !
 
Christine n’aime pas trop les remarques, qu’il adresse à son frère qui s’est levé soudainement. Elle le sent derrière elle et n’aime pas ça du tout. Elle prend alors la décision de quitter cette maison, ainsi que les occupants.
C’est à ce moment que le gros dans son dos, lui empoigne les mains brutalement. Elle crie d’une voix tremblante, mal assurée de la relâcher immédiatement.
 
- Suffit la boniche, t’as vu comment qu’tu parles ! Tu vas finir de t’occuper du frangin, tu ne peux pas le laisser, comme ça !!!!!!!
- Monsieur Lepic, LACHEZ MOI TOUT DE ……
- La ferme ! Regarde sa belle queue, ça ne te donne pas des idées ?
 
L’autre allongé ricane et s’empare de la blouse et l’ouvre violemment, les pressions cèdent, elle est à demi nue, devant lui !
 
- Rondelette la bonne, viens me sucer un peu, après on te laisse filer, pas vrai Lucien ?
 
La pauvre Christine n’a pas le temps de réagir que déjà, il pousse avec force sa tête et la place sur le sexe de son frère, elle frémit d’horreur.
 
- Vas y suce moi, y en a pour quelques minutes et après on te libère, Promet l'homme couché
 
Le gland fraîchement lavé, est sur ces lèvres, elle réprime un dégoût, elle se retrouve avec le sexe gonflé dans sa bouche, les larmes aux yeux, elle s’exécute.
 
- Mmm ouais…. Elle est bonne hein ? Me faire sucer la bite par la bonne, ahhh c’est trop bon, vas y fais ça bien, je sens que t’aime ça, encore une salope… T’as vu Lulu ? Ahhhh tiens là bien, ahh  merde, ça vient déjà, je me vide.. Ahhh Ouais Ahhh prend des photos, vas y en pleine action, ma belle.
 
Cet immonde cochon crache son sperme dans la bouche de la jeune femme qui est contrainte d’avaler.
 
- Bon sang, c’était bien bon…. Éructe t-il joyeusement, t’as bien pris la dame en action ?
 
Christine est anéantie par ce qu’elle vient de vivre.
Pourtant son calvaire qu’elle imaginait naïvement terminé, ne fait que commencer ! Et l'autre a réussi à les photographier, elle a honte. L'horrible goût de sperme persiste dans sa bouche .
Ses mains toujours maintenues dans son dos, sont attachées par un foulard, qui traînait là.
Elle comprend alors, qu’ils ne la lâcheront pas comme ils avaient promis, elle se met à crier quand une horrible chaussette puante est aussitôt enfournée dans sa bouche. Un haut de cœur la submerge.
Elle est à plat ventre sur l’homme alité, le gros derrière elle, soulève sa blouse et arrache violemment son string, il lui caresse les fesses, son frère l’encourage
 
- Ouais vas y mon Lulu, pas tous les jours qu’on peut se marrer ! En plus, elle est du genre à aimer ça…
Mais Lulu s'énerve, son poids l’handicape. Il bande comme un ours et a très envie de son cul bien rebondi, mais elle est trop basse pour lui qui bouge péniblement. Son frère s’en rend compte
 
- Baise la sur la table !
 
Une table est à coté du lit,  prévue pour les repas. Il prend sauvagement Christine et la dépose à plat ventre sur celle ci. Elle gémit.
 
Lucien, est terriblement excité, son sexe douloureux, ses couilles remplies, la dernière fois qu’il a baisé, c’était avec la veuve d’en haut mais ça lui a coûté 80 € et pas aussi gironde que celle là !
 
Son cul est une vraie merveille, bien joufflu, il crache sur sa raie, de son doigt boudiné, il étale sa salive, en profite pour enfoncer un doigt alors qu’il la sent trembler
 
- Vas y encule là, t’as vu comment qu’elle nous méprise, baise là
 
Elle comprend l’horreur qui se prépare, s’agite quand une claque magistrale s’abat sur ses fesses
 
- Ne bouge pas salope, tu la veux ma queue ? J'arrive dans ton cul !
 
Sa grosse pine se place devant la rosette toute fermée, il s’y enfonce difficilement, cette chienne est toute fermée. Mais les acclamations d’André son frère, le motive, il se retient de ne pas la défoncer d'un coup, sa queue disparaît lentement dans le cul, alors qu’elle crie. C’est vrai que Lucien a un sexe assez proéminent, comme son corps obèse, son sexe est bien large.
Enfin il est en elle, complètement. Bien enserré, dans cet étau bouillant, elle est bonne à baiser, il s’agite plus facilement et lui pilonne le cul.
 
- Qu’est ce que tu lui mets à cette chienne, vas y défonce là bien !
 
Lucien s’agite le plus vite qu’il peux, il souffle, la transpiration coule sur son visage boursouflé. 
Son frère excité par cette vision, ne peux s’empêcher de caresser la jeune femme, parfois sa main effleure même la queue de son frère, envieux d’un sexe aussi gros, puis il retourne chercher le clito de la boniche, il le sent et doucement le masse, en l’encourageant...
 
- Allez ma belle, laisse toi aller, elle est bonne dans ton cul, hein !!!!!
 
Christine n’en peut plus, elle a depuis longtemps cessé de se débattre, à quoi bon. Ces cris sont devenus des plaintes. Mais le frôlement sur son petit bouton, lu provoque une chaleur inattendue. C’est impossible, pas ça.... !
Et pourtant si, Christine sent l’orgasme qui monte, la caresse ne la laisse pas insensible, elle jouit longuement sous l’œil ravit de son bourreau, alors qu’enfin le gros Lucien se vide en bramant
 
- Ahhhhhh je te remplis le cul, Ahhhhhhhhh Dédé c’est trop bon !
 
Il éjacule longuement en elle.
Puis il quitte à regret le fourreau chaud, elle tressaille encore. Mais ne bouge pas, anéantie, par le viol et sa jouissance car jamais elle n’a joui comme ça !
Jamais elle n’aurait imaginé que ça pouvait être aussi fort, aussi bon.
 
C’est pour elle, une confusion totale, d'avoir éprouver tant de plaisir avec ces individus. 
Et encore le flash de l’appareil photo, ses fesses souillées en gros plan.
 
Puis Lucien la redresse et l’attache au radiateur avec une vielle laisse de chien, du sperme coule de son anus qui est douloureux, on lui retire la chaussette puante, enfin.

D’une voix qu’elle reconnaît à peine, elle supplie qu’ils la relâchent. Ils ricanent.
 
- Mais ma jolie, on en a pas fini avec toi, fais pas la fine bouche, alors que t’as aimé ça, tu crois qu’on est aveugle ou quoi !
- S’il vous plait, ma petite fille m’attend, je vous en supplie, je ne dirais rien à personne
- Donne lui le téléphone Lucien, toi ma cochonne, tu appelles, tu dis juste que tu as trop de travail, tu seras en retard, et sois naturelle.
 
Les larmes aux yeux, elle compose le N° de sa mère et donne une excuse bidon. Elle raccroche rapidement.
 
- Bien ! Dis donc, tu sais y faire, tu mens bien !
- Lucien, tire lui tout ce qu’elle a sur le dos, j’aimerais bien profiter de la vue, moi !
Le gros homme s’empare d’un couteau avec une longue lame et sectionne le soutien gorge, découpe la blouse qui tombe en lambeaux. Elle est nue, elle se sent si misérable.
 
- Plutôt chouette la bonne, un peu rondouillarde, mais ça nous change de la veuve Batiche, au moins, y a des formes, t’as vu ses nibards mon Lulu
- Mmmm ouais, lève toi ma belle ! Et magne toi !
 
Christine se lève péniblement, elle a l’impression d’être passé sous un bulldozer. Elle est au centre des 2 hommes. L’un toujours allongé, l’autre le visage rougi par l'effort, est assis sur une chaise.
La main grasse s’abat sur un sein, André imite son frère et s’empare de l’autre sein.
 
- Ehhh ouais y a du répondant, t’as de chouettes nibards, viens me les faire goûter, j’ai envie de téter d’un coup.
 
Il ricane encore, elle voit ses dents pourries et réprime une nouvelle grimace.
Elle supplie encore et encore, l’horrible chaussette sale reprend place dans sa bouche.
Le gros Lucien la pousse devant le frère avide de ses seins. La tête immonde s’approche et la bouche infâme se pose sur un téton.
C’est une vision intolérable, que de se faire téter par ce type abject, et une sensation désagréable que son anus qui s’écoule sur ses jambes.
Son téton réagit à la succion, bien dur, dressé. Elle s’en veut de ne pas contrôler mieux son corps. Il aspire avec un bruit atroce, le bout de ses seins, et elle ne déteste pas. C'est bien pire, elle se dégoûte.
 
- A moi, laisse moi aussi lui bouffer les mamelles….S'énerve Lucien
 
Le gros veut son tour, impatient.
 
- Ahh tiens prends là, t’énerve pas comme ça, regarde comme ils sont gros, ces bourgeons...
 
L’autre se jette comme un fauve sur sa proie, et se repaît des tétons qui deviennent rouges vifs. Alors que André s’occupe de lui malaxer les fesses comme il peut, étant assez limité dans ces gestes.
 
- Bon sang, tu lui as mis une sacrée dose, elle dégouline la chienne en chaleur, son doigt s’enfonce facilement dans l’anus rempli.
 
Il regarde son frère qui tète bruyamment, il voit que déjà son sexe rebande, tout comme le sien d’ailleurs. Il a de nouveau envie de la baiser.
 
- Suffit, le frangin, place là sur moi, regarde ma bite, j’ai la queue en rut.
 
Lucien lâche le téton et intime l'odre à Chrisine de grimper sur son frère. Elle ne réagit même plus, se retrouve  à califourchon sur l’homme alité, sa queue dressée encore.
 
- Vas y ma belle, enfonce la dans ta chatte
 
Sans réfléchir, elle agit comme un pantin. Le sexe envahit sa chatte.
 
- C’est toi qui va bouger sur moi. Ouais...vas y, c’est toi qui vas me baiser….. Moi je m’occupe de tes nibards, ouiii continue comme ça !
 
Christine ne réalise même pas qu’elle obéit sans rechigner à cet homme, elle s’agite sur la bite alors qu’il malaxe ses seins. Elle a vu que Lucien sur la chaise, est entrain de se masturber doucement.
Le sexe d’André n’a rien de comparable avec son frère, une queue fine et longue qui l’emplit totalement. A chaque frôlement sur son clito, elle sent une onde agréable la transpercer, elle ferme les yeux ne plus voir ce visage, leurs visages.
Et puis comme un peu plus tôt, elle est trahit à nouveau par ce corps. Elle jouit, il enlève la chaussette et ils entendent le cri de plaisir qui retentit dans la chambre, alors qu’elle jouit, une nouvelle série de photos est prise.
 
- Ouiii petite salope, je viens moi aussi, MMMMmm t’es bonne Ahhhhhhh
 
Tous les deux, ne bougent plus. Mais Lucien qui se branlait doucement veut son tour
 
- Viens ma garce. A mon tour.... ! Prend ma bite dans ta bouche, suce moi …vite !
 
Dans toute cette folie, elle se dit qu'elle ne peux pas faire ça ! Il ne s'est pas lavé, s’est enfoncé dans son anus. Son sexe souillé est proche de sa bouche, impatient....
Alors elle refuse, mais que peut elle faire contre eux ?
La grosse bite puante est déjà sur ses lèvres, elle s’enfonce inexorablement dans sa bouche. Elle est toujours à califourchon sur l’autre frère, la queue flasque.
Alors que le cadet s'agite dans sa bouche, elle souffre de sa mâchoire, il est si gros, il veux la prendre à fond. Comme il bouge avec peine, il prend sa tête à pleine main, pour s’enfoncer en elle, puis arrive le foutre, il crie de plaisir..
 
- Tiens, avale moi ça… Ahhhhhhh
 
Elle entend encore les cliquètements de l’appareil photo, alors qu’elle avale le sperme.  Elle se retourne et un gros plan de son visage est photographié par André. La bave et le sperme coulent sur son menton.
Les hommes sont repus et satisfaits.
 
- Vas te laver et remets ta robe.
 
Elle est détachée enfin, lentement elle descend du lit et part dans la salle de bains crasseuse. Elle se voit dans le miroir, les yeux brillants, la bouche gonflée, les seins qui pointent avec arrogance. Elle se trouve belle curieusement. 
Elle se savonne rapidement, les seins, la chatte, les fesses, elle se rince longuement la bouche et met sa jolie petite robe. 
Elle les entend rire dans la chambre. 
Quand elle réapparaît, elle les voient nus, leurs sexes flasques. Ils sont ravis de leur matinée.
 
- Voilà ma grosse cochonne, tu peux y aller, avant regarde ces jolis clichés, qu’en penses tu ?
 
Elle se voit, comme une furie entrain de baiser, elle se voit le regard dans le vide, la bouche ouverte en train de jouir, elle se voit pleine de sperme.
Sur aucune photos, on n’imagine qu’elle a subit ces outrages, juste une jeune femme qui a aimé ces moments de luxure, elle est ébahie, se reconnait à peine.
 
- Ehhhhhhhh oui, ma jolie boniche, tu as pris ton pied en baisant avec les frères Lepic, ça tu peux pas le nier…. ! Allez dégage vite, on a plus besoins de tes services….aujourd’hui !
Demain est un autre jour ! Et comme on sait que tu aimes, tu as intérêt à revenir…….. Qu’en penses tu ?
 
Christine est sous le choc des photos, elle sait au fond d’elle-même qu’ils n’ont pas complètement torts, elle a joui comme jamais auparavant.
 
- Je serais là demain, s'entend t'elle dire !

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