Job d'été et plus....... (1 ère partie)

Marianne est une jeune fille qui vient tout juste de fêter ses 18 ans, elle est jolie, fraîche mais un peu grassouillette. Elle vient de rompre avec son petit copain et elle a décidé de travailler tout l’été pour se faire un peu d’argent, elle est encore lycéenne et profitera de ces 2 mois pour économiser, ce qui lui permettra de passer le permis.

Le 28 juin à 18h30 précises, elle sonne à l’adresse griffonnée par elle-même. Presque immédiatement, une femme lui ouvre, elle doit avoir 35 ans, elle est très élégante et la fait entrer immédiatement dans un appartement rempli de cartons, de meubles, le tout dans une pagaille monstre.
La femme qui s’appelle Caroline lui explique rapidement ce qu’elle attend d’elle, à savoir vider les cartons, mettre le tout en place, nettoyer enfin de rendre l’appartement où elle vient d’emménager un lieu agréable.

Caroline invite la toute jeune fille à s’asseoir pour lui expliquer ses horaires et fonctions précises. Marianne est intimidée devant elle, elle sent le regard appuyé de cette femme qui la dévisage ouvertement et qui lui parle de façon autoritaire. Son joli visage a rosi quand celle ci lui demande de s’habiller comme une vraie jeune fille et non en pantalon, vêtement qu’elle exècre ! Marianne est surprise, mais ne rétorque pas. Elle est en jean moulant qui ne cache rien de ses rondeurs et un tee shirt blanc qui met en valeur sa poitrine assez forte.

-Tu m’appelleras Madame, je ne suis pas une de tes copines, donc si tu es d’accord, tu commences demain matin à 7h30, et j’exige que mon appartement soit un petit bijou d’ici 2 mois, ça marche pour toi ?
-Oui Madame
-Bien, soit à l’heure, à demain dit Caroline en se levant, signe que l’entretien est terminé

Marianne salue sa future patronne et quitte le logement alors que Caroline reste songeuse en regardant la gamine s’éloigner. Elle a tout de suite remarqué qu’il serait amusant de concilier travail et plaisir avec cette jeune effarouchée. Elle a toujours été très attirée par les rondeurs juvéniles, ses seins doivent être doux, fermes malgré la proéminence pour son âge et ses fesses cachées par ce pantalon atroce ne demandées qu’à être vues. Elle referme la porte d’entrée, satisfaite de sa nouvelle recrue.

Marianne rejoint son domicile, heureuse d’avoir été retenue pour l’emploi qui lui permettra de payer le permis, plus quelques à coté, car la place est bien rémunérée. Une question la taraude, comment s’habillera t-elle le lendemain, elle ne mets jamais de jupe et n’en a aucune dans sa garde robe.
Il est 19h20, plus question de faire les boutiques, elle décide de se rendre chez sa meilleure amie afin de voir si elle peut lui en prêter une, au moins pour le lendemain.
La copine accepte bien volontiers, le seul souci c’est que leur taille ne correspond pas, un 38 pour Stéphanie et un 42 pour Marianne qui panique de devoir aller à l’encontre du désir de sa nouvelle patronne. Pourtant, Stéphanie trouve une robe en lycra, Marianne l’essaie immédiatement, elle est plutôt serrée mais ne pouvant se permettre de faire la difficile, elle décide de la garder malgré tout.

Le lendemain matin, Marianne est stressée pour son premier jour, elle ne se sent pas à l’aise dans la robe qui la boudine, elle se regarde dans le miroir, l’image d’elle qui s’y reflète, est toute nouvelle pour elle, ses seins menacent de sortir du décolleté, et la robe est bien trop collée sur son corps. Plus question de se changer, l’heure avance vite, elle s’empare de son sac et quitte précipitamment la maison sous l’oeil ébahi de sa mère.
Il est 7h30 précises quand elle sonne à la porte, un peu essoufflée d’avoir couru
Caroline ouvre et détaille longuement la jeune fille, sa poitrine haletante par la course, s’agite dans le décolleté. Elle voit tout de suite que la robe est trop juste mais on devine encore plus les formes, Marianne précède sa patronne pour entrer, celle ci regarde son cul bien rebondi dans la robe, elle ressent une forte excitation pour cette jeune fille toute fraîche et innocente.
Immédiatement elle lui indique les cartons à vider en priorité et à ranger dans les armoires. Quand à elle, elle s’installe devant son PC pour travailler un peu. Marianne suit les indications, elle vide un à un les cartons, il s’agit de couvertures, couettes, draps, le tout à ranger tout en haut de l’armoire, elle est très ennuyée, la robe remonte constamment dès qu’elle a les bras relevés, ses fesses potelées sont alors exposées au regard de Caroline qui heureusement ne voit rien, trop absorbée par le courrier qu’elle tape.
En fait, Caroline ne perd rien du spectacle, ce petit cul grassouillet à peine caché par la petite culotte blanche la ravit. Les gros seins peinent à tenir dans le décolleté et elle voit même un sein qui s’échappe outrageusement, Marianne rouge écarlate se rajuste et croise le regard de sa patronne.

-Vous savez mon petit, vous seriez plus à l’aise en retirant cette robe qui vous ennuie tant. Nous sommes entre femmes ! De plus, il fait si chaud aujourd’hui !!!!!!!

Marianne est stupéfaite par la proposition, c’est vrai que cette fichue robe ne l’aide pas, quand elle remonte, elle reste coincée sur ses hanches et ses fesses sont alors presque dénudées, pourtant elle hésite, elle déteste son corps, elle se trouve trop grosse. Caroline qui s’est levée, est prêt d’elle

-Allez jeune fille, vous ne pourrez pas travailler efficacement si vous n’êtes pas à votre aise

Sans lui laisser le temps de réfléchir davantage, Caroline ôte la robe en un tour de main alors que la jeune fille tente mollement de l’en dissuader. Elle se retrouve en petite tenue devant sa patronne qui fait semblant de rien.

-Allez au travail, tu ne veux pas que je te paie à rien faire, lui dit elle sèchement

Marianne gênée par cette remarque, reprend son travail, et Caroline son poste d’observation devant son PC.
La petite est joliment enrobée, désirable, ses seins bien trop gros pour son âge, ont du mal à contenir, dans le petit soutien gorge blanc, la taille est relativement correcte comparée aux fesses charnues mais fermes. Elle devine la toison poilue de la jeune fille qui ne s’épile pas. Elle humecte sa langue, elle a tant envie de la goûter, a-t-elle déjà connu une langue qui la fouille. Caroline sent une douce chaleur dans son bas ventre, elle a très envie de cette ingénue, elle doit se retenir et faire preuve de patience pour le moment.
Marianne désemplit les cartons et continue méthodiquement de ranger le linge tout en haut de l’armoire, elle déteste être demi nue, elle déteste son corps, même devant son ex copain, elle ne se dévêtait pas entièrement.
Enervée, elle monte sur l’escabeau, une grosse pile de linge dans les bras pour la déposer tout en haut de cette fichue armoire, et là, elle perd l’équilibre et chute lourdement, en criant.
Elle est tombée de tout son poids, Caroline se précipite vers elle

-Mais que tu es maladroite, as-tu mal quelque part ?

Marianne a été saisi, elle sent son genou gonfler et le dit à sa patronne

-Viens, lève toi doucement, tu vas t’allonger sur mon lit une minute, je t’apporte de la glace pour l’hématome.
Elle la conduit jusqu’à son lit et file dans la cuisine
Marianne est si confuse, elle se laisse faire la tête basse.
Allongée sur la douce couette, elle la voit revenir munie d’un gant de toilette rempli de glaçons.
Caroline lui pose délicatement sur le genou, elle voit que la respiration de la jeune fille est saccadée, ses seins se soulèvent
 
-Tu n’es pas trop serrée dans ce soutien gorge, enlèves le quelques minutes le temps de reprendre ton souffle, allons ne fais pas l’enfant, tu oublies que je suis médecin

Caroline lui retire pour quelques instants, les seins libérés se dressent malgré leur volume important. Ils sont laiteux, lisses et de jolies auréoles roses foncées. 

-Voilà, dit Caroline, tu te sentiras mieux, je vais quand même t’ausculter rapidement par sécurité

Elle prend son tensiomètre et vérifie la tension juste un peu élevée. Rien de bien inquiétant, je vais écouter ton coeur, elle dépose le stéthoscope froid sur la poitrine et constate que les tétons se dressent immédiatement. Marianne aussi l’a remarqué, elle est rouge et bafouille que tout va bien

-Allons ne sois pas si timide, tu es ravissante, tu sais, j’ai rarement vu de si beaux seins

Marianne ne sait plus ou se mettre, elle a honte mais en même temps, elle ressent une certaine excitation
Caroline continue à la valoriser, elle a compris que la petite était complexée et décide de la flatter

-Oui, ils sont magnifiques, tu devrais les mettre plus en valeur, je suis sure que ton petit copain doit en être fou, non ?
-J’en ai pas, réponds la jeune fille, il m’a laissé tomber
-Quel idiot, ajoute Caroline en tentant un frôlement sur un téton, doucement elle s’enhardit et caresse le sein
- Madame, s’il vous plait ! euhhh je vais bien, je vais me relever
-Oui tout va bien, tu n’aimes pas les caresses, tes seins sont si doux, tu n’aimes pas ce que je te fais

Les caresses deviennent plus précises, Caroline est adroite, elle voit que la timide jeune fille apprécie même si elle lutte encore.
Les tétons sont roses et tentants, Caroline n’y tient plus, sa bouche s’avance et en prends un dans la bouche, délicatement elle le suce, l’aspire le mordille.
Marianne ne peut réprimer un cri, de surprise d’abord et tout de suite après de plaisir, elle ferme les yeux et se laisse faire, elle est si douce.
Caroline a remarqué qu’elle acceptait maintenant les caresses et les succions, elle en profite et lui dévore sans retenue les seins, visiblement la jouvencelle apprécie. Au bout de quelques minutes, elle décide de passer à l’étape supérieure.

-Tu sais, tu pourrais toi aussi me toucher, n’as-tu pas envie ? Regarde je vais me déshabiller comme toi

Prestement, elle enlève sa robe, aucun sous vêtement en dessous, Marianne est effarée, elle réagit et tente de se relever

-Allons ne fais pas ta timide, tu ne veux pas les goûter, regarde, ils ne sont pas aussi gros que les tiens,  mais j’ai des tétons énormes, non ? Vas y prends en un dans ta bouche

-Mais Madame, je ne pourrais pas, je ne l’ai jamais fait.
-Vas y, je te dis ! Ne peux tu te taire et faire ce qu’on te dit ?

La femme s’allonge sur elle, leurs seins se frôlent, puis elle remonte et s’assied sur la gamine, elle lui pétrit ses grosses mamelles, réjouit de voir qu’elle gémit sous la caresse

-Caresse moi, toi aussi !
Elle prend les mains dodues de la jeune fille, elles sont fraîches et douces et les placent sur sa petite poitrine, maladroite, Marianne les caressent, mais très vite Caroline veut sentir sa bouche lui sucer les tétons, elle se penche les seins au dessus du visage de Marianne, qui ne peut faire autrement qu’obéir

- Ouii c’est bien continue, tu sens comme ils sont bien gros, suce les bien, mord un peu, pas trop fort Mmmmm, dis moi ma jolie, t’es tu déjà fait sucer par ton petit copain ?

Marianne, un téton dans la bouche n’en croit pas ses oreilles. Caroline se redresse et libère la bouche de la jeune fille, a t-elle voulu aller trop vite ? Elle préfère en avoir le coeur net et repose sa question

-Alors jeune fille, est ce que ton copain t’a déjà sucé ?
-Euh oui, une seule fois, j’ai pas aimé ça
-Qu’est ce que tu dirais, si j’essayais ? Je vais t’enlever ta petite culotte et te lécher
-Mais Madame, je dois continuer mon travail, s’il vous plait ! ! !
-C est moi qui commande dans cette maison, et si tu n’aimes pas, promis, j’arrête ! dit elle d’une voix autoritaire

Caroline a remarqué que la jeune fille n’a aucune volonté, elle n’ose pas se rebeller, autant en profiter depuis hier elle a envie de lui bouffer sa chatte, elle va la déguster mais ensuite elle lui lèchera la sienne
La culotte est enlevée, Caroline ne s’était pas trompée, elle est très poilue, elle lui fait replier les jambes, les écarte bien, elle passe d’abord ses doigts sur la fente. Elle voit que Marianne se laisse faire, honteuse celle ci a fermé les yeux, ce qui ne dérange en rien la maîtresse de maison, qu’elle ferme les yeux pour le moment, elle finira pas bien par les ouvrir
Elle approche sa tête de la toison, des effluves s’en dégagent, ses doigts habilement écartent les lèvres et sa langue s’introduit dans cet antre humide, chaud et odorant, elle lape doucement afin de recueillir toute la cyprine, liquide délicieux. Puis la langue la fouille, la lèche copieusement, elle entend des râles contenus, elle cherche le clito, passe et repasse dessus, les geignements se font plus pressants, elle continue de lui bouffer la chatte, elle savait que cette jeune fille ignorante des plaisirs du sexe aimerait ça, elle continue sa caresse buccale, les soupirs sont plus forts et soudain la jeune Marianne se tend et crie son plaisir sous la langue experte. Caroline raffole de ce moment précis ou l’autre jouit. 
Marianne a connu son tout premier orgasme, elle est encore terrassée par cette jouissance totalement inconnue pour elle, quelques minutes auparavant.
Caroline jubile, elle sait que cette gamine sera à sa merci, elle l’a compris. Elle se redresse et décide qu’il est temps qu’elle aussi prenne son plaisir grâce à cette langue encore novice, elle se place à califourchon sur le visage de Marianne, qui tente bien de se soustraire à la demande de sa patronne

-Vas y goûte moi, lèche moi

Marianne regarde ce sexe épilé, pas le moindre poil, c’est la première fois qu’elle en voit un rasé, elle trouve ça beau, mais n’ose pas, ne sait pas comment si prendre !
Caroline s’impatiente, elle décide de descendre son sexe sur le visage de la jeune fille, sa fente humide frôle la bouche de Marianne, enfin elle sent une langue toute timide qui la lèche doucement, une langue maladroite, mais si douce

-Mmmmm Oui continue comme ça, bouffe moi tout, vas y mets ta langue partout, suce moi, Mmmmmm tu es une petite cochonne très douée !

La toute innocente Marianne, encouragée par les flatteries, lèche copieusement le sexe de sa patronne qui lui prodigue des conseils

-Ouiiiii Mmmmmmmm oui ne bouges plus, continue tu me lèches le clito, doucement, c’est trop bon, tu vas me faire jouir, continues grosse cochonne, je viens Ahhhhhhhhhhhh

Caroline pousse un cri, elle se laisse aller sur cette jeune bouche, le clito gonflé, elle jouit.

-Eh bien on ne s’ennuie pas ici, Caro tu m’expliques ???????

Les 2 femmes tellement occupées n’ont pas entendu Régis, le mari de Caroline rentré plut tôt que prévu
Caroline se redresse, son mari n’a pas l’air fâché, juste amusé de la scène.

-Mon chéri, je pensais que tu ne rentrais pas avant demain ?
-Oui je vois ça ! Et puis je savoir qui est la jeune fille qui tente de se cacher
-C’est Marianne, elle vient pour m’aider à mettre l’appartement en ordre
-Enchanté jeune Marianne, dit il en la détaillant, ce qui n’échappe pas à son épouse

Caroline a compris que son mari doit être émoustillé par la scène, elle voit la grosse bosse qui laisse deviner un sexe plein d’envie, elle sait qu’il aime les femmes plantureuses. Caroline ne perd pas de temps, sa main sur la bosse qui déforme le pantalon, elle entreprend de lui libérer la queue, ce qui provoque chez Marianne un geste de recul, elle cherche ses vêtements.
Caroline qui a perçu la panique et le stress de la jeune fille, la somme de ne pas bouger

-Pas de manières, jeune fille, tu ne vas pas te mettre à faire des manières, viens là, à coté de moi, regarde comme son sexe est beau, gros, dépêche toi ! Ajoute t-elle dune voix cinglante

Marianne tétanisée par l’ordre, s’assoit aux cotés de Madame, elle est subjuguée par la queue énorme, dans les mains aux ongles rouge vifs, parfaitement manucurées. Rien à voir avec le sexe ridicule de son ex copain.

-As-tu envie de le sucer ? Viens mets toi devant lui, prends le dans ta bouche.

Marianne tel une poupée, s’exécute, la grosse bite s’approche de sa bouche, Caroline tient dans ses jolies mains, la queue de son époux, elle promène le gland sur les lèvres lisses et pulpeuses de la jeune dinde, et lui intime d’ouvrir la bouche. Elle obéit et la grosse tige s’enfonce dans cette bouche toute chaude et humide, l’homme sent qu’elle n’a pas l’habitude, mais la bouche est si accueillante que le plaisir est manifeste, sa femme lui caresse les couilles par-dessous, il prend sur lui pour ne pas juter tout de suite, il regarde la bouche qui s’active sur sa queue, les gros seins qui s’agitent à chaque poussée sur le sexe, il décide de se vider une première fois, ayant des envies très précises pour la suite.
Sa femme sans le vouloir lui a préparé une bien jolie surprise.
Il place ses mains sur la tête de la jeune fille et s’enfonce bien à fond

-Mmmmmm avale bien ma queue, je vais t’envoyer le jus, sur ces mots, il explose de longs jets de sperme
 
Marianne est surprise, elle aurait voulu se retirer mais l’homme lui tient la tête, elle déglutit et avale la première giclée, la seconde s’écoule sur son menton
Régis se retire et félicite Marianne pour lui avoir donner du plaisir. Caroline donne des mouchoirs à Marianne pour qu’elle s’essuie la bouche, celle-ci se rend compte qu’elle ne cherche même plus à se couvrir, elle en apprit et connut plus aujourd’hui qu’avec son petit copain en 3 mois, elle sent que son initiation ne fait que commencer, elle a envie de se libérer et la douce soumission exercée par le couple, est plutôt troublante.

Régis embrasse goulûment sa femme à pleine bouche, Marianne les regarde, elle voit le sexe ramolli, un peu de sperme coule encore du méat, puis l’homme se retourne vers elle et l’embrasse à son tour, un baiser long et profond, pas dégoûté par le goût de son sperme. Il quitte ses lèvres et s’empare de ses seins, il les écrasent un contre l’autre, les sucent, les mordillent. Marianne est toute tremblante. Puis elle sent ses doigts sur son sexe, il enfonce un doigt dans sa fente, elle s’arc-boute, il a envie d’elle, il aimerait profiter de son corps qui n’a aucune expérience du sexe, il veut mettre sa langue au même endroit que le faisait sa femme un peu plus tôt, il descend sur sa toison, lui écarte les jambes et sa langue lape ses lèvres toutes humides, il est à plat ventre sur le lit pour lécher cette chatte offerte. Caroline qui le regarde faire, se place derrière lui et lui caresse les fesses, il comprend le désir de sa femme, il se met à genoux, tout en continuant à bouffer la chatte de la jeune fille, Caroline lui caresse les couilles par-dessous, sa tête passe entre ses jambes, elle gobe les couilles et revient aux fesses qu’elle écarte bien, pour elle aussi lécher, elle adore lécher le petit trou de son mari, et le savoir entrain de dévorer un minou tout trempé la stimule, très rapidement, la queue de son homme reprend une belle ampleur, elle entend les gémissements de Marianne, elle a l’air d aimer la langue de son homme, qui la fouille. Caroline remplace sa langue dans l’anus de son mari par son doigt, et entreprend de le doigter, il bande comme un âne, elle le doigte profondément. Soudain terriblement excité, il s’arrête, elle l’entend dire à la jeune fille

-Retourne toi, mets toi à quatre pattes

Caroline a compris le nouveau désir de son homme, la jeune Marianne hésitante se retourne pourtant.
 
-Ton gros cul est vraiment bandant, Mmmmmmmmm
Il lui pétrit les fesses quelques minutes, puis sa main glisse sur sa fente trempée de salive et remonte vers son anus, il enfonce délicatement un doigt, sa femme le regarde faire, elle aussi a envie de goûter à ce cul énorme, Régis a capté son regard envieux

- Viens lui lécher l’anus mon amour, prépare la moi ! Prépare la bien !!!!

Il écarte bien les gros lobes des fesses, Caro lèche le petit trou ce qui provoque un petit cri de Marianne, Caroline lui lèche la raie et revient à l’anus, elle rentre sa langue, Régis la queue tendue, dressée la regarde s’activer. Enfin elle lui cède la place, son gland se présente à l’entrée, Marianne ne se doute pas de ce qu il l’attend. Caroline rejoint la jeune fille, elle se place le sexe devant sa bouche et lui demande de lui bouffer la chatte à nouveau, Marianne les fesses toujours en l’air obéit, se demande pourquoi l’homme ne bouge plus, soudain elle sent qu’on tente de la forcer, elle s’agite supplie d arrêter.

-Tais toi ! Je vais t’enculer  ma belle, tu vas sentir ma queue mais je vais y aller doucement, laisse toi faire exige t-il !

Insensible à ses lamentations, il s’enfonce lentement, étapes par étapes, elle gémit de douleur mais ne se débat plus, elle a l’impression qu on lui déchire l’anus, c’est atroce, puis enfin la douleur s’estompe un peu

-Mmmmmm tu vois ma cochonne, ton gros cul a avalé tout ma queue, je suis complètement en toi, je vais m’agiter un peu maintenant, doucement, et plus fort si tu le désires ! Lèches ma femme, ordonne t-il

Marianne recommence à lécher la fente ouverte et humide de sa patronne, c’est difficile pour elle, de continuer alors qu’il lui déflore le cul. Il entre et ressort dans son anus qui finit par accepter ce pieu qui la perfore, elle finit même par s’adapter au rythme de l’homme et commence à y trouver un plaisir certain. Sa langue boit la liqueur de sa patronne qui émet des geignements de satisfaction, son mari a l’air de trouver à son goût le gros cul de cette petite oie blanche, il s’active de plus en plus vite, elle le voit les yeux hagards sur le point de jouir, elle aussi se concentre sur son plaisir et jouit en même temps que son mari qui se vide les couilles une seconde fois et inonde l’anus de la jeune fille. Tous les trois s’écroulent sur le lit en désordre. 

Il est 12h30. Caroline meurt de faim, Régis décide de les emmener manger un morceau dans une petite brasserie.
Tous les 3 se nettoient un peu, avant de se rhabiller pour partir déjeuner. Alors que Marianne va remettre ses sous vêtements, Caroline exige qu’elle enfile que la robe

-Tes seins sont à montrer,  alors ne mets RIEN sous la robe
-Mais Caroline, proteste Marianne
-Je ne t’ai pas autorisé à m'appeler par mon prénom, me semble t-il , siffle de colère, Caroline très énervée ! Excuse toi de ton impolitesse
-Je m excuse Madame, je ne recommencerais plus
-Très bien, tu as 20 secondes pour enfiler cette satanée robe

Marianne rouge cramoisie, enfile la robe sans réagir davantage. Puis rapidement s’engouffre à l’arrière de la voiture. Ils arrivent devant une brasserie pleine à craquer, assez bruyante, ils sont placés près de la fenêtre. Marianne qui passe devant un immense miroir se voit et se rends compte de l’indécence de sa tenue, la robe ultra moulante et courte ne cache rien de ses formes, ses seins menacent de s’échapper du décolleté, elle traverse la salle en rougissant sous les regards des hommes qui la reluquent sans se gêner.

Enfin soulagée, elle s’assoit et se cache derrière le menu. Caroline et Régis s’amusent de voir la gêne de leur protégée, ils ont envie de la déniaiser totalement, de faire de cette petite chose, une jeune femme libérée sexuellement, un brin dépravé.
Marianne tente vainement de tirer sur la robe, celle-ci est bien trop courte et quand elle est assise, elle remonte encore plus, à la limite des poils pubiens. Hélas rien n y fait et le serveur ne sait quelle femme admirait tant les 2 sont agréables à regarder, même si l’une est très jeune.

Tous les 3 dévorent avec appétit leur repas, rassasiés, ils discutent comme 3 amis de longue date, quand Régis demande de façon abrupte à Marianne

-Cesse de tirer sur cette robe, au contraire, relève là, je veux voir ta toison

Marianne étonnée, pense qu’il plaisante, mais la voix redevient glaciale

-Fais ce que je te demande, relève ta robe, TOUT DE SUITE !

La jeune fille relève très légèrement sa robe puis devant la mine courroucée de l’homme, elle remonte encore, les poils apparaissent.
 
-Bien petite cochonne, ne t’avise pas de te cacher quand le serveur s’approchera, tu as saisi ? demande t-il froidement
-Oui Monsieur

A la demande de Régis, le serveur s’approche pour la commande des desserts, immédiatement il voit la robe relevée, il en bafouille et demande notre choix sans quitter l’entre jambe impudique

- Ne vous dérangez pas jeune homme, notre jeune amie va venir récupérer les glaces au comptoir
- Pas de soucis, Monsieur, c’est vous qui voyez

Régis signale à Marianne qu elle va traverser la salle pour récupérer le plateau avec les desserts, interdiction de tirer sur la robe

- Vas y, nous te regardons faire !

Marianne se lève, la robe est à ras de ses fesses rebondies, il est évident qu’on voit qu’elle n’a pas de culotte, elle traverse la salle, des regards la dévisagent, des remarques sur ton cul fusent, elle ravale sa fierté et marche fièrement, elle s’empare du plateau, les bras en hauteur, ses fesses se dénudent davantage, la partie charnue de son cul est vue par tous les occupants des tables. Sur le retour, une main venue de nulle part lui caresse les fesses, elle accélère le pas et enfin se trouve à sa table

-Bien petite cochonne, quand penses tu mon amour, elle est très obéissante, non ?
-Pas mal, dis caroline en prenant une cuillère de glace dans la bouche

Les glaces avalées, Caroline a une autre idée pour mettre à l’épreuve la petite Marianne et si elle accepte, tout sera gagné, elle mangera dans leurs mains, c’est certain, elle dépose sur la table un préservatif.

-Tu vas gentiment aller dans les toilettes et nous t’envoyons quelqu’un que tu accepteras de sucer, tu n es pas obligée, mais si tu ne le fais pas, nous nous disons au revoir ici même, sinon tu acceptes toutes nos règles, es tu d’accord ?

Marianne est abasourdie, elle a envie de s’enfuir en courant, mais quelque chose l’en empêche, une perversité qui l’excite à un point tel qu’elle dit d’une voix timide

-J’accepte Madame

Régis est sidéré de la demande de son épouse et encore plus de la réponse de la gamine. Il regarde Caroline qui a pris un air hautain, sévère

-Très bien alors, vas aux toilettes, tu entres, tu ôtes ta robe et tu attends assise sur la cuvette
Marianne sans les regarder, se lève une nouvelle fois et se dirige vers les WC
Sans penser à ce qu’elle fait, elle pénètre dans les toilettes, retire la robe et s’assied sur la cuvette, elle attend tremblante, ses seins lourds palpitent doucement tant la honte mélangée à l excitation la submerge
Quelques minutes plus tard, un homme qu’elle reconnaît être un type de la table d’à coté, entre et referme derrière lui, il a le préservatif dans les mains, il a la quarantaine bien sonné, les cheveux légèrement grisonnants, de lui même il ouvre sa braguette et sort sa bite encore molle.
Un dernier réflexe de recul, devant le sexe offert, mais l’homme ne perd pas de temps, il la relève, lui pelote les nichons sans vergogne, et se jette sur ces tétons voracement, Marianne passive se laisse faire par cet inconnu, sa bouche n’est pas désagréable, elle ferme les yeux, les rouvre quand elle sent le sexe de l’homme frôler sa cuisse. Il bande et chuchote

-Suce moi la queue, ne mets la capote, je vais cracher sur tes gros seins

Marianne ne sait que faire, mais l’homme est devenu impatient, à peine assise sur la cuvette que déjà la bite s’enfonce déjà dans sa jolie bouche, il est très excité, cette jeune beauté grassouillette est trop bandante, il s’active quelques minutes et finit par ressortir sa queue pour éjaculer sur les seins en poussant un gémissement. Il se rajuste et quitte les toilettes aussitôt.

Marianne se retrouve seule, le sperme coule, elle s’essuie avec du papier toilette, comment sa vie a-t-elle pu changer en quelques heures ?

Étrangement elle se sent bien, elle remet sa robe et retrouve ses maîtres qui, elle l’espère, seront satisfaits d elle.

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