LA SOIREE D'ANNIVERSAIRE

La soirée se termine doucement, les invités quittent les uns après les autres, mon salon en désordre.

 Il est 3h du matin, heureuse que tout se soit si bien déroulée.

Seule petite ombre au tableau, mon mari est dans un état d'ébriété bien avancé. Mais enfin, après tout c'est son anniversaire, je ne peux  le blâmer, d'avoir trop bu .
Cependant je suis déçue, toute la semaine, nous avons été très occupés l'un et l'autre, et le sommeil nous gagne, sitôt couchés. J'avais espéré pour cette nuit des ébats quelque peu mouvementés. Les enfants sont chez mes parents. Nous étions donc seuls.

Hélas, Mickaël est  avachi dans le gros fauteuil et ronfle comme un bienheureux grisé par sa soirée et par l'alcool.

- Si tu veux, je t'aide à le coucher, me propose Adrien. Le dernier invité et meilleur ami de mon mari.
- Je veux bien oui, toute seule je n'y arriverais pas.

Empoignant mon époux, nous réussissons à le traîner jusqu'à notre lit. Je m'applique à lui retirer ses chaussures et remonte le couvre lit. 
Il ronfle toujours. 
Puis je rejoins Adrien dans le salon, celui ci s'est assis tranquillement pas vraiment disposé à quitter les lieux.

- Tu me fais un café, Laure ?

Je trouve l'idée excellente, car même si je n'ai pas autant picolé que mon mari, j'avoue que mes idées ne sont pas très claires non plus.  
Dans le salon en bataille, nous sirotons notre café sur le canapé. 

- Je t'ai trouvé très sexy ce soir, cette tenue te va à ravir, dit il en me détaillant de façon étrange. 

Ma petite robe noire est moulante, assez décolletée, j'ai donc du me passer de soutien gorge, heureusement après deux grossesses, mes seins sont toujours fermes, bien que plus gros. J'ai opté en dessous pour un string noir lui aussi, laissant mes fesses nues, et pour finir un porte jarretelles, des bas et des hauts talons.

- Merci, c'est gentil, on peux pas dire que Mickaël s'en soit rendu compte. Enfin il est si fatigué ces derniers temps, je répond en laissant échapper un soupir.
- Oui bien sûr, tu sais, on bosse ensemble mais si j'avais une femme comme toi qui m'attend à la maison, je retrouverais mes forces.

Les paroles d'Adrien me sidèrent un peu, même si j'en éprouve du plaisir, c'est tellement égréable pour une femme de recevoir des compliments. 

Mes pieds sont  douloureux, j'ôte mes chaussures et me les massent doucement.


- Attends laisse moi faire, ahh les femmes, avec des talons pareils, tu dois souffrir. 

Ses mains sans attendre, me caressent les pieds, je frémis, c'est si agréable. Ses mains sont douces, je ferme les yeux savourant cet instant. Mais rapidement les mains remontent plus haut.

- Adrien, arrête s'il te plait !
- Toi arrête, tu n'as pas envie ? Toi qui laissait entendre, que tu espérais une soirée plus mouvementée. J'ai très envie de toi. Je te propose de te baiser, ni vu, ni connu et on en parle plus jamais. Mickaël ne sera jamais au courant.
- Mais tu es fou ! Arrête....

Je n'en reviens pas, lui et Micka se connaissent depuis le lycée. Je tente de me lever, mais il se couche sur moi. 


- Allez Laure, laisse toi faire, ça te fera du bien ?
- Mais tu es saoul, toi aussi ? Micka est à coté, t'es malade ?
- Il cuve, laisse moi faire, des années que j'ai envie de toi, tu me rends dingue. 

Sa main se faufile sous ma robe, je le sens qui me caresse les fesses. La situation m'échappe complètement, je dois arrêter ça. 

 

Sa bouche se presse sur la mienne, sa langue cherche la mienne. Je fonds sous son baiser alors que sa main me pelote les fesses.


- Mmm enlève ta robe, dépêche toi !


Je sais que je fais la pire connerie de ma vie, mais j'ôte ma robe alors que lui retire mon string. Je suis brûlante de désir, c'est trop tard pour tout arrêter, je veux baiser. Ses mains sont partout, mes seins se réveillent sur leur passage, le tétons s'érigent sous sa bouche, je gémis.

- T'en avais envie toi aussi, assied toi, j'ai envie de te bouffer la chatte, écarte toi bien !

Je me cale les jambes reliées, ma chatte offerte, il s'avance vers moi, sa langue s'est pas encore sur ma vulve juste son souffle que je tressaille déjà. 


- Vas y presse toi ! Lèche moi . Je lui dis impatiente.... 
- Je le savais que tu étais une petite salope


Enfin sa langue me boit, m'aspire, me déguste. Je gémis, de mes mains je le guide sur mon clito. Il le suce, le gobe. Je mouille, je coule dans sa bouche. 
Longuement il s'abreuve de ma mouille, et n'y tenant plus, je jouis avec sa langue délicieuse.
Il se redresse ravi de m'avoir donné ce plasir et m'embrasse à pleine bouche, je sens mon odeur, j'aime ça.

Nos lèvres se séparent.


- Viens me sucer, regarde comme elle est dure, elle te plait ?


Il enlève ses fringues, le boxer vole dans la pièce, il est nu, le sexe tendu, épais.


- Viens vite, goûte là !


Je m'agenouille et je m'empare de sa queue, plus grosse que celle de mon mari, je m'en veux de faire la comparaison. 

Mais elle est magnifique, complètement rasée, les couilles toutes lisses.

Je suis hypnotisée par cette superbe verge, dressée qui s'impatiente d'être sucée. Je la saisis et ma langue frôle le gland doucement, il est bien gros lui aussi, elle est bonne, j'en ai une envie furieuse de cette bite. Elle disparait dans ma bouche, je m'applique sur ma fellation, je l'entends gémir

- Ohhh oui, tu suces bien, depuis le temps que j'en rêvais, enfin tu me suces Mmmm, Ouiii caresse mes couilles

Je n'ai qu'une envie maintenant goûter son sperme, avaler son foutre, il me rend folle, j'aime à imaginer que je suis l'une de ces filles qu'il baise un samedi soir. Je sais par mon mari qu'il est un homme à femme. Je veux qu'il se souvienne de moi, mes mains lui caressent son petit cul bien ferme. Je tente d'enfoncer mon doigt dans son anus.


- Oui vas y, doigte moi le cul, quelle salope tu es, ahhhh Laure, je vais jouir, je vais t'envoyer ma crème Ahhh


Je sens sa bite tressaillir, un premier jet arrive, suivit d'un second. J'avale tout avec un plaisir non feint. Enfin la bite ramollie, il se retire de ma bouche. 


- C'était divin, viens que je t'embrasse !


Je suis stupéfaite, jamais Mickaël n'accepterait de m'embrasser, après avoir éjaculer dans ma bouche. 
Mais lui, il a l'air d'aimé ça, notre baiser est profond, langoureux. 


- Allonge toi un peu sur le canapé, laisse moi quelques minutes pour récupérer, tu verras, je reprends facilement des forces et j'en ai pas fini avec toi.

- Mais il pourrait se réveiller !

Je suis inquiète réellement pour la première fois.


- Va le voir, et reviens vite.


Je m'en vais, affublé de mes bas, mon porte jarretelles et nue comme un ver.
Sans bruit, j'arrive dans notre chambre, il dort toujours dans la même position. Soulagée, je repars dans le salon, j'entre-apperçois mon reflet dans le miroir, mes seins aux pointes dressées, mes fesses arogantes. 

Un instant, je me rends compte de la situation peu honorable. Baiser avec le meilleur ami de mon époux, chez nous, et qui plus est, mon homme qui dort juste à quelques mètres de l'endoit ou nous forniquons.


Je réalise que je suis vraiment abjecte de faire ce que je fais, je vais  le dire à Adrien, on a fait une bêtise, il faut cesser immédiatement.
J'arrive dans le salon bien décidée, à mettre un terme à nos agissements.

- Laure, viens vite, regarde j'ai une surprise pour toi, dit il

Aussitôt, je remarque son sexe, qu'il caresse doucement et qui a repris une vigueur insoupçonnable, en si peu de temps. 
Je ne peux détacher mon regard de la queue qu'il branle, fièrement tendue, me  narguant. Je me passe la langue sur les lèvres oubliant mes bonnes intentions .

- Ma jolie petite salope, place toi à plat ventre sur la table

Adieu les bonnes résolutions, j'ai trop envie de sentir ce sexe me perforer.  Juste une fois et puis ensuite, nous n'en parlerons plus jamais. 
L'occasion est trop belle, pour passer à coté. 

Sans plus attendre, je  me penche sur la nappe blanche, des restants de confettis tapissent la blancheur. Je pense une nouvelle fois, à mon mari, cette soirée d'anniversaire prévue pour lui. A mon tour de recevoir un cadeau et quel cadeau, un engin de bel dimension.

- Mmmm tu as de si jolies fesses

Adrien admire ma croupe qui se présente à lui.  

Il hésite, il se dit qu'il aimerait la baiser jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus, hélas, ils n'ont guère de temps, Mickaël finira bien par se réveiller. 

Alors son  sexe tendu,  s'enfonce dans ma petite chatte si douce, si humide, si chaude. 
Nous gémissons de plaisir, quand son sexe disparaît dans les profondeurs de mon vagin.


- Ahhhh que c'est bon, enfin je te baise, me dit il

Il me besogne longuement, se retient plusieurs fois. Je suis chaude, je me sens garce, salope de faire ce que je fais, mais si comblée.


- Ohhh oui vas y, c'est trop bon ! Ouiii

 

Je le supplie de continuer, sur le point de jouir, je me laisse enfin aller à ma jouissance. 

- Adrien, je jouis, c'est bonnnnnnn

Alors que je viens de jouir comme une folle sous son pieu, lui est toujours d'une vigueur inouïe. Je sens son sexe qui se tire de mon vagin encore vibrant, de l'orgasme ressenti. 

Il me remonte un peu plus sur la table, et écarte bien les lobes de mon cul pour me faire un délicieux anulingus, je me pâme sous sa langue alors que lui me bouffe le cul, sa langue divine me transperce l'anus. Mais se retire trop vite à mon gré.

 

- Laisse moi inonder ton cul de mon foutre, dis oui ? 

 

Alors je lui dis, juste ce petit mot, qu'il espère

 

- Oui !

Sa tige toujours tendue, se place devant mon anus trempé de salive, je suis à la bonne hauteur pour lui, il n'a qu'à pousser légèrement pour s'introduire dans mon anus brûlant. Sa bite est faite pour moi, pour mon cul, ma bouche, ma chatte. Aussitôt nos coprs se rejoignent, il m'encule profondément, longuement avant de se vider les couilles dans mon cul.

- Je jouissssssss en toi, je t'inonde le cul Ahhhhhh

Je sens sa queue vibrante qui jaillit son foutre, n'hésitant pas, je me masturbe pour jouir avec lui. Je ne suis plus moi même. Un cri s'échappe de mes lèvres quand l'orgasme m'atteint.

Enfin nous nous redressons, encore surpris d'une telle intensité entre nous. 

- C'était géant, ma chérie, j'aimerais qu'on se revoit, me dit il !

- Chut, on a dit juste une fois, nous n'en reparlerons plus jamais !!! Il faut que tu t'en ailles maintenant. 

Adrien se rhabille rapidement, il n'a pas dit son dernier mot, il sait  qu'un jour, elle acceptera encore, il sera patient.

 

- Dors bien !

 

Je me retrouve enfin seule. Mes bas sont craqués, je suis toute poisseuse de sperme. Il me faut aller prendre une douche.

Doucement, je vais d'abord voir si tout va bien dans notre chambre. Mickaël qui est  réveillé,  a retiré son pantalon, et se branle.

 

- Ahh chérie, te voilà, j'ai  une trique d'enfer, tu étais où ? Aux toilettes ?

 

Surprise, je ne sais comment réagir, c'est lui qui me devance en me disant

 

- Viens sucer ton homme, viens que je te fasse l'amour, pour te remercier, de m'avoir fait un si bel anniversaire.

 

Lentement je m'approche du lit, son sexe est tendu, aussitôt je le compare avec celui d'Adrien, et ma bouche engoufre sa bite.


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