Juliette dort paisiblement, elle est réveillée par quelque chose de mouillé sur le
visage, il lui faut quelques secondes pour sortir de son sommeil, les yeux peinent à s’ouvrir quand elle voit au dessus d’elle, l’immonde figure de l’huissier, il la lèche comme un chien,
elle a de la bave partout.
Il ne s’agit pas hélas, d un mauvais rêve, il est bien là, à baver sur elle, à lui aspirer la bouche. Elle sent son haleine putride, elle réprime le dégoût par une grimace
qui n’échappe pas à l homme.
- "Petite mijaurée, tu faisais moins la fière
tout à l’heure quand tu te pâmais dans mes bras, tellement tu jouissais…… Je bande ma salope et j’ai envie de ton cul"
- "Non pas ça, s’il vous
plait"…. !
- "Tu n’es pas en mesure de demander quoi que ce
soit, mets toi en place petite pute, je vais d’abord te lécher, magne toi" !
Juliette se résout à obéir une fois encore, jamais ne finira donc cette nuit. Elle se
place en position de levrette. Lui debout attend, elle se place honteuse de sa déchéance. Il prend tout son temps, ne se lasse d’admirer ses grosses fesses, il suce son doigt de façon abject et
lui enfonce dans le petit trou, il l’agite nerveusement, le
ressort et lui donne à lécher
- "Suce ma salope, Mmmm tu aimes ça, tu deviens
gourmande, dis moi que tu as envie de te faire lécher le cul, dis le moi"… !
Juliette ne répond pas.
- "Très bien, ignore moi, alors je vais
t’enculer jusqu'à la garde, sans même te lubrifier avec ma salive, et crois moi tu vas morfler "
- "NONNN, je vous en
prie"…………
Puis elle ajoute
- "OUIIIII lécher moi le cul, allez y, je vous en
supplie "
- "Ok ma cochonne au gros cul, tu comprends
vite...Donne moi tes grosses fesses que je te déguste"
Il s’avance et d’une langue avide, il lèche bruyamment son anus. Cette partie charnue et
odorante de la femme le rend fou de désir, un doigt s’infiltre en même temps dans le vagin. Juliette, le visage dans les jolis coussins, cache son humiliation.
Offerte ainsi à son bourreau, elle contient ses gémissements, elle répugne à sentir à
nouveau le plaisir qui monte, mais cette langue qui la fouille, ce doigt qui masse son clitoris font rapidement vaciller ses intentions, l’orgasme surgit encore, elle soulève la tête et
hurle comme une bête.
Terrassée par sa faiblesse, elle ne bouge plus.
- "Tu aimes vraiment ça, dis donc ! Ahh je
n’y tiens plus, ma queue est raide pour toi, viens là….. Viens te faire limer, petite pute"
Il se place devant l’orifice qui va s’ouvrir pour sa bite et commence à la forcer, le
passage est encore étroit, elle crie, mais quelques secondes plus tard, il est en elle.
- "Ton cul est faite pour ma bite salope, viens
te faire bourrer, MMMMMmmm Ouiii t'es bonne, prends ça"…
Telle une poupée, Juliette ne bouge plus, ses fesses flasques s’agitent, ses seins
oscillent de gauche à droite, elle sent ses couilles qui touchent ses fesses. Il s’agrippe à ses seins qui pendent, il les triturent sauvagement puis la pistonne frénétiquement jusqu'à son
paroxysme. Il est rouge, le souffle court, puis il hurle :
- "Ouiii je viens, je jouisssssss Ahhhhh"
Ils sont inertes. Sa queue se retire doucement de l’anus dilaté de Juliette, le sperme
dégouline abondant et épais.
Ils reprennent place sur le lit en désordre, dans la pièce, une odeur de sexe, de
cul.
Il est 2h00 du matin.
- "J’ai une soif terrible, va me chercher à
boire" ! Ordonne t-il
Elle se lève, le corps endolori, elle est sale, elle est pleine de sperme, à certains
endroits, il a séché, elle aimerait prendre une douche. Elle lui amène un verre et lui demande pour se laver
- "Mais tu es très bien ainsi, ton cul bien
lubrifié avec mon foutre et puis je n’en ai pas fini avec toi" !
- "Au moins, laissez moi, aller aux
toilettes"….. ?
- "Bien sûr ma grosse cochonne, mais dépêche
toi"
Juliette se sauve aux toilettes, elle maudit de ne jamais avoir mis de taquet à la salle
de bains et aux WC.
Il est urgent qu’elle se soulage…… Assise sur la cuvette, les jambes légèrement écartées,
elle se vide la vessie quand la porte s’ouvre brusquement, il est là, le regard vicelard, les yeux rivés sur le filet d’urine qui s’échappe. Juliette n’a jamais eu aussi honte, elle ne peux
s’arrêter et continue malgré elle, le rouge aux joues. Puis le flot doré diminue et cesse enfin….
- "Ne t’essuie pas ma grosse, tu n’en seras que
meilleure à déguster" !
Elle se relève, déjà il passe sa main sur sa toison humide.
- "Mmmm viens vite t’asseoir sur mon visage que
je te nettoie la chatte"
Ils retournent sur le lit en bataille, il s’allonge lourdement, le sommier couine sous
son poids, ses bourrelets de graisse s’étalent, il est obscène. Sa pine ramollie et luisante pendouille entre ses jambes.
- "Presse toi, chevauche moi le
visage"
Elle passe au dessus de sa tête, déjà son nez entre en contact avec la chatte humide,
odorante, il lape les liqueurs qui s’en échappent, il l’aspire.
Cet homme est un immonde pervers, rien ne l’arrête, elle voudrait ne l’avoir jamais
connu.
Et pourtant, son bassin s’affaisse doucement sur le visage détestable, alors qu'il
la lèche avidement, ses grosses mains malaxent ses seins. Juliette éperdue, finit par se déhancher sur la langue baveuse, elle se laisse engloutir par l’appendice, il la sonde, la
perfore puis lentement masse son clitoris saillant et Juliette méconnaissable, les traits déformés par l’intensité de l’orgasme, hurle comme un animal sauvage, elle voudrait que cela ne s’arrête jamais, tellement
c’est bon !
- "Ahhhhhh Ouiiiiii, encore, continuez Ouiiiiiii",
Hurle une Juliette débauchée
Enfin la jouissance s’atténue, laissant la jeune femme désemparée par tant de plaisir et
de honte aussi.
Tremblante, elle reprend place à ses cotés, toute silencieuse après ses cris
inhumains.
- "Dis donc, tu es une belle sainte nitouche
toi, sous tes grands airs, tu aimes la bite", dit il la bouche trempée
Il se serre tout contre elle, il réclame un baiser, elle voit sa fine bouche
trempée de cyprine, une grimace qui esquisse un sourire, il approche ses lèvres près des siennes et l’embrasse fougueusement. Sa grosse langue s’enfonce dans sa bouche, il bave sur son menton, elle goûte l’odeur de sa chatte.
Son baiser dure longtemps, son corps gras et répugnant se colle au sien, ses seins
écrasent son torse velu, elle ne tente plus de soustraire à ses envies, il la dégoûte mais aucun homme ne l’a jamais autant fait jouir….
Inconsciemment, elle ouvre ses jambes quand il se fraye un chemin vers sa chatte humide et son anus béant. Il pénètre ses doigts dans ses orifices suintants, elle s’offre entièrement à lui,
affamée de luxure, elle ne se reconnaît plus, elle a encore envie de cette jouissance prodigieuse qu’il sait lui donner.
Il abandonne enfin sa bouche, ses lèvres sont gonflées d’être autant
sollicité.
- "Alors ma cochonne, tu en veux encore,
j’aimerais que tu me le demandes, n’aie pas honte, tu aimes ma queue, je le sais" dit il ravi de la voir aussi complaisante
Juliette n’est pas prête encore à quémander, elle peine à le regarder, tant il est
rebutant.
- "Alors tu continues à faire des manières, ma
grosse, tu vas donc te branler devant moi et te faire jouir toute seule, assied toi, écartes tes cuisses et caresses toi …..seule" ! Exige t-il
froidement
- "Non pas ça, je ne pourrais pas…… s’il vous
plait"
- "Dépêche toi, je ne suis pas du genre
patient" !
Docile, la jeune femme s’assied sur le lit, le dos posé sur le mur, elle s’écarte et
replie les jambes, sa chatte est offerte au regard lubrique de l’homme qui s’installe, la tête près de ses cuisses.
- "Caresse toi ma grosse pute, fais toi du bien,
tu es trempée salope, ouiiiiii continues, tu vas me faire bander"
Juliette ferme les yeux comme pour cacher son désarroi, elle se caresse timidement
- "Je veux t’entendre jouir, enfonce toi un doigt, Ouiiii tu es une bonne grosse cochonne, enfonces en
deux …. Ouiii Tu aimes ça" ?
La tête de l’huissier s’approche, elle peut sentir son souffle, il lui murmure qu’elle
est la meilleure des salopes, qu il a eue depuis longtemps
- "Caresse ton clito, il est si
gonflé" !
Il regarde les yeux exorbités, le doigt délicat qui masse le bourgeon tendu, il la
voit qui tressaille
- "Oui petite chienne en chaleur, tu vas prendre
ton pied, je bande… Ma queue va se servir de ta bouche ensuite, vas y hurle ma grosse" ! ! !
Juliette n’en peut plus, elle ouvre enfin les yeux, et le voit la bite à la
main, il est de nouveau dur. Ses grosses mamelles s’agitent sous la caresse qui s’intensifie, elle sent la chaleur qui annonce l’orgasme, son
corps se tord, elle gémit sans pudeur, ça vient, elle va jouir……
- "Ouiiii lâche toi devant moi", hurle t-il
alors qu’il se redresse la queue tendue
Les yeux hagards, Juliette crie convulsivement, la bouche entrouverte, elle jouit enfin.
L’homme n’y tenant plus davantage s’approche de sa bouche et lui enfourne sans attendre sa verge dressée et humide et crache aussitôt sa semence
- "Mmmmm Avale, bois mon jus, Ahhhhhh t’es trop
bonne"
Le sperme inonde sa bouche, elle avale sans rechigner.
Repus, ils se recouchent l’un auprès de l’autre, le jour va bientôt se
lever.
Juliette écoute les ronflements de l’homme qui a abusé d’elle toute la nuit, elle aussi,
ferme les paupières, elle est si fatiguée. Dans quelques heures, elle saura s’il va tenir ses engagements, lui laisser un peu de temps.
Elle s'est donnée à cet homme, elle s’est vendue pour avoir un
répit.
Va-t-il être un homme de parole ?
Mais Juliette ne réfléchit pas davantage, elle s’endort profondément,elle est tellement épuisée par
les frasques de la nuit.
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