Grosse envie de sexe - 2 ème partie

Marie, tête basse, ne bouge plus, elle tente de réprimer les larmes qui montent alors que le directeur de l'hôtel téléphone de sa voix grave.
La jeune femme frissonne, toute nue, elle tente bien se se couvrir avec les bras, mais elle est bien consciente que cela ne cache pas son corps dénudé. 
L'autre homme, lui a l'air amusé de la situation, son sexe pendouille entre ses jambes, et Marie le regarde dégoûtée maintenant.
Comment a t-elle pu se laisser aller de la sorte ?
Elle souhaite se revêtir au plus vite, dès que le directeur aura eu la confirmation de leurs identités respectives, ce qui ne saurait tarder puisqu'elle le voit opiner de la tête.

- " Bien, il s'avère donc que vous êtes effectivement descendus chez nous, et vous Madame, vous êtes donc, l'heureuse gagnante d'un jeu qui vous donne le droit à une nuit dans notre établissement " !
- " Puis je me rhabiller,  maintenant " ! Demande Marie qui aussitôt reprend ses effets
- " Hélas, non madame ! Je ne peux pas tolérer ce qui s'est déroulée ici, vous le comprenez bien ! Laissez vos affaires, je n'en ai pas terminé avec vous " dit il de sa voix glaciale en la regardant 

Marie surprise par le ton ferme, laisse tomber sa robe. Elle se sent si sale, le sperme continue de couler de l'anus, elle n'a qu'une hâte,  retrouver sa chambre !  Elle se dit que l'homme vue son statut important veut sans doute les sermonner, bien que cela l'agace terriblement, car il ne s'adresse qu'à elle seule, elle est d'autant plus stupéfaite quand il se retourne vers l'autre homme toujours nu, lui demande de se rhabiller et de rejoindre immédiatement sa chambre. Ce qu'il fait aussitôt sans un regard pour moi.
Nous voilà seuls, dans la lingerie. 

- " Mon bureau se trouve au bout du couloir, veuillez me suivre, nue " Ajoute t'il !
- " Mais enfin, vous n'y pensez pas, dit Marie, je ne...."
- " IMMEDIATEMENT  ! Maintenant si vous préférez, je peux demander à votre mari de descendre !

Puis sans attendre, il s'avance dans le couloir 
Cette fois ci, les larmes coulent, Marie le suit, la honte aux joues à l'idée qu'on puisse la voir. Heureusement à cette heure tardive de la nuit, le couloir est désert.
Dans son bureau, il s'assied dans un gros fauteuil, Marie le regarde, les larmes laissent de longues traînées de mascara sur ces joues.

- " Allons Madame, pas ce cinéma avec moi, vous étiez beaucoup moins farouche tout à l'heure quand l'autre homme vous baisait, retournez vous maintenant ! Je vous conseille de faire ce que je vous demande, le téléphone est là, votre mari peut nous rejoindre dans la minute ".

La jeune femme, à quelques centimètres de l'homme, se retourne, ses fesses nues exhibées

- " Penchez vous, Madame " ! 

Ses mains rugueuses frôlent son cul, elle frémit de dégoût, il cherche son anus et la pénètre d'un doigt, puis 2...
- " Mmmmm pleine de foutre, jolie salope, ma foi " !

 Il la fouille brutalement, retire ses doigts et lui ordonne 

- " Tourne toi, viens me lécher les doigts, lèche " !!!!!!!!!!!
- " Monsieur, supplie Marie, je vous prie de pardonner ma conduite, mais laisser moi retourner dans ma chambre, s'il vous plaît !
- " Lèche mes doigts salope, et  à genoux  " !

La jeune femme ne peux que s'incliner, désespérée, elle s'agenouille devant ce type, et lui lèche les doigts souillés
- " Petite pute ! Ouiii lèche tout, tu aimes ça, arrêtes de pleurer, regarde, j'ai le pantalon de costume prêt à éclater, libère ma queue " !

La jeune femme comprend qu'elle va devoir se soumettre à la perversité écoeurante de cet homme. Son ventre gras apparaît quand elle enlève la ceinture, le slip est blanc, immense. La bosse proéminente qui le déforme laisse à penser que l'homme bande fortement, Marie de ses doigts joliment vernis, sort la verge de l'homme. Malgré un âge plus qu'avancé, il bande dur, la queue n'est pas très grande mais grosse, bien large, le gland épais, les couilles rugueuses et fripées. Immédiatement, ce sexe la répugne, de plus, il s'en dégage une forte odeur d'homme mal lavé.

- " Mmmmm Regarde comme je bande, quand je te vois le cul plein de foutre, ça me rend fou ! Suce moi un peu, juste un peu !!!! Tu vas voir avec moi, tu as gagné le gros lot, suce ma bite ! "

La pauvre Marie, soumise, n'a plus d'autre alternative que d'obéir à cet homme immonde. Elle s'avance vers la queue, ouvre sa bouche, sa langue entre en contact avec le gland qui perle déjà de désir, elle lèche le sexe, il gémit de contentement, écoeurée de cette verge qu'elle suce, elle continue néanmoins et l'engloutit la bouche grande ouverte tant le sexe est large.

- " Mmmmm tu suces bien, ouiiii continue, tu sais que j'ai baisé une femme de chambre, en fin d'après midi, elle était bonne, bien trempée la garce, tu aimes son goût " !

Marie manque de vomir, un haut de coeur la submerge, il maintient la tête, sur sa queue

- " Continue salope, je décide seul si tu arrêtes ou pas " ! crie t-il 
- " Mmmmm oui lèche moi les couilles aussi, j'aime ça, Ouiiiiiii, très bien ! Tu vas te mettre le ventre sur mon bureau, les bras en croix, tout de suite ! "

Marie arrête et comme un pantin, se place sur le bureau, le meuble est froid sur ses seins, elle allonge ses bras, de part et d'autre du bureau. Quelle honte, cette soirée est devenue un cauchemar.

- " Depuis que je vous ai entendu baiser, te faire enculer, je n'ai qu'une envie te défoncer le cul, la mienne est bien grosse et dure. "

L'homme se déshabille rapidement, Marie voit son reflet dans le miroir, il est gras, son ventre flasque et cette queue proéminente est  obscène.
- " Pas la peine de t'humidifier, t'es encore bien lubrifiée, t'aimes ça te faire enculer " ? Ton mari est un le roi des cocus, dis moi " !

Il s'avance et lui claque les fesses sauvagement, Marie crie surprise, ses fesses  rougissent immédiatement, mais une autre claque s'abat sur son cul, elle veux alors se redresser mais il la maintient bien et continue la fessée. Les larmes sont revenues, tant à cause de la douleur cuisante sur ces fesses, que par la honte d'être ainsi malmenée

- " Je m'arrête si tu me demandes de te défoncer le cul ! " Crie t-il en continuant, sur ces fesses cramoisies

La jeune femme n'en peux plus, la douleur est devenue insupportable

- " Ouiiii, défoncez moi, s'il vous plaît, enculez moi " !

L'homme s'arrête et sans hésiter une seconde, il place son gland devant l'anus et s'enfonce d'un seul coup, Marie hurle, malgré la sodomie de tout à l'heure, elle est déchirée par la grosse queue de l'homme

- " Ne bouge pas, reste comme tu es, les bras écartelés, 
MMMmmmmmm t'es bonne, t'es chaude, Ahhhh je te défonce le cul salopeeeee " !

Marie subit l'assaut du directeur, il laboure sauvagement son cul, elle glisse sur le bureau, les dossiers tombent à terre, il la pistonne violemment

- " Tiens, prends ça, tu aimes ? Une vraie chienne qui ne demande qu'à se faire baiser, Ahhhhh je t'encule bien à fond " !

Marie n'en peux plus, et soudain, bien malgré elle, elle reconnaît les prémices de l'orgasme, elle ne va pas jouir, pas avec cet immonde type, mais incapable de se raisonner, l'orgasme la terrasse et elle hurle de plaisir sous la lubricité de l'homme, elle crie sa jouissance

- " Jouis salope avec ma queue, ouiiiiiiiiiii, tourne toi maintenant, je vais juter dans ta bouche, vite, tourne toi  " !

La jeune femme encore sous le choc du plaisir ressenti, se tourne, il force aussitôt sa bouche, se démène quelques secondes et éjacule de longues saccades de foutre épais et jaunâtre

- " Ahhhhh bonne pute, avale, Ahhhhh c'est bon ! "

Le foutre répugnant n'en finit plus de couler dans sa bouche, elle avale tant qu'elle peut contrainte par les deux mains qui tiennent sa tête. Enfin il se retire, ça coule sur son menton.

- " Mmmmm C'était bon, nettoie moi un peu la queue, tout doucement, c'est très sensible, lape ma bite "

Complètement avilie, Marie lape le sexe ramolli, quand la porte s'ouvre, l'homme qui lui tient toujours la tête sur la queue,  dit :

- " Ah Entrez Abdouh, déjà minuit ! Nous allons vous laisser faire votre travail  ! Ne soyez pas si affolée, madame, Abdouh est notre agent d'entretien, il fait l'étage à cette heure de la nuit " !
 
Abdouh est stupéfait de la scène qui se déroule devant ses yeux, une femme à genoux est  entrain de lécher le sexe du patron, il voit son cul dilaté, les fesses cramoisies, il ressent aussitôt une forte érection dans son pantalon. 
Abdouh est un homme d'une trentaine d'années, un black plutôt bien bâti, il vient chaque nuit faire le nettoyage, un boulot ennuyeux, mais il a une femme et 6 enfants, bientôt 7. Le petit dernier est sur le point de naître et Abdouh ne touche plus sa femme depuis quelques semaines.
Le directeur, s'amuse de voir les yeux exorbités de son employé, il est de bonne humeur, la femme de chambre cette après midi et cette grosse cochonne, lui ont donné beaucoup de plaisir

- " Eh bien mon ami, je vois que cette femme ne vous laisse guère indifférent " !

Marie n'en peux plus, elle a mal aux fesses, à l'anus,  de plus il est minuit, son mari doit être affolé de son retard.

- " Madame, je vous permets de lui faire une petite gâterie, avant de vous sauver pour rejoindre votre cocu de mari " !
- " S'il vous plaît, non ! Je dois y aller " prie la jeune femme........ 

Abdouh a déjà enlevé son bleu de travail, son sexe noir et luisant est tout gonflé, Abdouh ne mets jamais de slip, ni boxer. 
Il se masturbe doucement en attendant que la femme obéisse, elle est ravissante, de gros seins blancs, le ventre plat, un bon petit cul, mais il a d'autres idées pour elle, il a vu son anus dilaté. Des traces noires de Rimmel sur ces joues, son rouge à lèvres la barbouille. Il a envie de la baiser

- " Madame, plus vite vous aurez donné satisfaction à mon employé, plus vite vous rejoindrez votre époux, regardez cette queue, il est bien loti non ? C'est votre jour de chance, pour une salope comme vous ! "

Marie voit l'homme, c'est vrai qu'il est plutôt pas mal, elle a toujours eu le fantasme d'une bonne queue de black, mais là, elle est sale, fatiguée. Pourtant elle se rapproche de l'homme, autant en finir vite, le sexe d'ébène est luisant, magnifique. Marie a une envie irrésistible de le caresser, il frémit sous sa main, il est terriblement doux. Elle a encore le goût atroce du sperme de cet affreux individu qu'est le directeur, et pourtant, une envie terrible de goûter à cette verge colorée. 
C'est une Marie excitée, qui se jette sans qu'on lui demande sur le sexe, elle le suce, se délecte de la bite, le black s'assoit et se laisse faire par cette petite perverse, elle suce bien, terriblement bien mais il se retient, il a trop envie de loger sa queue dans sa chatte toute lisse. Au bout de quelques secondes, il soulève la jeune femme, et lui dit

- " Assieds toi sur ma bite " !

Marie lui obéit, elle est trempée et la queue coulisse à merveille dans son antre chaud, il lui caresse les seins, et veut l'embrasser, Marie hésite et finit par poser sa bouche sur ses grosses lèvres, un baiser profond, et Marie s'empale sur la queue bien dressée, elle voit le regard lubrique du directeur, puis elle s'agite comme une folle sur le pieu foncé, elle va jouir. Le directeur enfonce un doigt dans son cul, et c'est ainsi que Marie va jouir intensément, elle hurle de plaisir, elle sent la langue du black qui investit sa bouche, l'embrasse et jouit lui aussi, il se vide avec un plaisir inouï dans cette bonne femme déchaînée.
Après ce nouvel orgasme fulgurant, Marie se lève, elle dégouline de sperme, elle enfile sa robe et sans un regard, elle quitte le bureau.
 
Il n'est pas loin de 1 h00 du matin, quand elle retrouve sa chambre; le coeur battant, elle appréhende la réaction de son mari, pour son retard et surtout quand il va s'apercevoir de son état.
Mais le mari dort comme un bienheureux. Doucement, tout doucement, Marie entre sous la douche, elle se lave longuement, soigneusement pour effacer toutes les souillures de la nuit. Enfin elle s'enfonce dans les draps frais et s'endort aussitôt.

Le lendemain matin, son mari s'excuse de s'être endormi aussitôt le match terminé, il était épuisé. 

Marie pousse un grand Ouf de soulagement, la petite valise est vite faite et bientôt c'est l'heure du départ, ils passent à l'accueil rendre les clés de leur chambre, quand Marie reste sans voix, en voyant approcher le directeur de l'hôtel

- " Mr et Mme Martin !  J'espère que vous aurez grandement apprécié votre nuit au Grand Hôtel, que l'accueil reçu ici, vous a pleinement satisfait, et que vous aurez eu beaucoup de plaisir " ! Ajoute d'un sourire mielleux l'homme, en regardant outrageusement Marie qui rougit aussitôt

- " Mais nous sommes ravis, n'est pas chéri " ? Dit le mari de Marie en la regardant
- " Oui, oui ! C'était très bien, on y va maintenant " ?
- " Revenez vite, on adore satisfaire nos clients, à tout point de vue " ! Ajoute le directeur

Le couple s'engouffre dans le taxi qui va les déposer à la gare, le mari de Marie, est un peu sidéré de l'impolitesse de sa femme.

- " Quand même Marie, tu aurais pu être plus gentille avec cet homme, il a su nous recevoir magnifiquement, tu me déçois parfois par ta froideur " !

Marie s'assied au fond du taxi, ses fesses la brûlent encore de la nuit, son anus aussi est toujours douloureux, si son mari savait ! 

Jamais elle n'oubliera cette nuit, une nuit ou elle avait une envie furieuse de se faire baiser, un fantasme exaucé.... 
Mais qui restera à jamais secret !

FIN

Présentation

Derniers Commentaires

Texte Libre

 
<!--************END CODE GEOCOUNTER****** <!--************CODE GEOCOUNTER************-->
<script type="text/javascript" src="http://geoloc10.geovisite.com:82/private/geocounter.js?compte=190187533710"></script>
<noscript>
<a href="http://www.geovisite.com/zoom.php?compte=190187533710"  target="_blank"><img src="http://geoloc10.geovisite.com:82/private/geocounter.php?compte=190187533710" border="0" alt="compteur"></a><br>
<a href="http://www.geovisite.com/fr/">compteur</a>
</noscript>
<!--************END CODE GEOCOUNTER************--> ******-->

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus