LE MAÎTRE DU JEU ( 2 ème partie)
- Rejoins moi, dit il la bouche pleine, mais reste à 4 pattes
Emma qui s'apprêtait à se redresser, reprend sa position, et tête basse rejoint le maître à genoux.
Ses fesses cramoisies brûlent toujours, son anus rempli est un peu douloureux, mais c'est surtout la honte qu'elle ressent qui est le plus insupportable.
Arrivée à ses cotés, elle attend.
- Je te permet de t'asseoir pour dîner, remercie moi !
- Merci Maître, dit elle en le maudissant
Elle se redresse enfin, et prend place sur la chaise. Immédiatement le plug se cale un peu plus au fond de son anus distendu. L'impression ressenti est un curieux mélange inconnu pour elle, douleur, plaisir....
Le maître lui prépare une très légère collation. Juste un morceau de poulet, accompagné de salade.
- Tu n'es pas chez moi, pour engraisser, mais pour te faire baiser. Manges, ordonne t-il !
Elle avale le modeste repas en quelques minutes. Elle meurt de soif, mais son verre reste vide.
Puis la servante amène le dessert, une crème au chocolat. Mais aucune petite cuillère pour elle.
- C'est moi, qui me charge de te la donner.
Il avance son doigt et l'enfonce dans le ramequin, le ressort plein de crème.
- Lèche
Emma obéit, il recommence plusieurs fois ce geste, puis accélère la cadence, le chocolat coule lamentablement sur son menton. Le pot est vide maintenant.
- Approche toi, ordonne t-il ! Tu manges vraiment comme une truie ! A genoux.
Il lui tient la tête à deux mains et se met à lui lécher le visage. Sa langue baveuse récupère la crème, il la souille de sa salive, ce qui la dégoûte.
- Mmmm Je sens ma queue se raidir, restes comme tu es, profites en, pour me sucer un peu la bite.
Cet immonde personnage ne la laissera t-il pas un instant en paix. Elle s'empare du sexe tendu et le fait disparaître dans sa bouche.
- Tu aimes sucer...? Ton cocu de mari m'a dit que tu n'avalais pas avec lui. Je vais t'apprendre à aimer le sperme. Tu n'es vraiment pas la reine des suceuses..... enlève toi !
Elle se retire sans attendre davantage, trop heureuse de ne pas être obligée d'avaler son sperme immonde.
Lui se branle énergiquement, en la regardant, puis au moment d'éjaculer, il s'empare d'un verre et envoie ses giclées de foutre.
Emma les yeux grands ouverts n'en revient de la lubricité de cet homme.
Tranquillement, il pose le verre contenant sa semence.
- C'est l'heure d'aller au lit, tu vas enlever juste ta nuisette. Puis tu resteras dans ta position favorite, à quatre pattes sur le lit, jusqu'à ce que j'arrive. Maria ! crie t-il, une fois la table débarrassée, tu iras lui enlever le plug.
- Oui, Maître !
- Et toi, tu as bien compris ce que j'exige de toi ?
- Oui Maître, dit Emma, soulagée de quitter ce sale type, ne serait ce que quelques minutes.
- Bien ! Au fait, avant de partir, avale donc mon nectar, que je viens de cracher, dans ce verre, ordonne t-il en le lui tendant
Emma est atterrée.
Un fond de sperme blanchâtre dans le verre. Son dégoût est visible, elle hésite à le porter à sa bouche.
- Je te conseille fortement d'obéir. De toute façon, je te l'ai dit, à force d'en avaler, tu finiras par aimer, autant commencer au plus vite.
Elle ferme les yeux et avale le contenu, d'un coup.
- Avale tout petite pute, récupère avec tes doigts le restant, je veux un verre propre.
Réprimant une nausée, elle obéit et d'un doigt enlève la moindre trace de sperme, pour la lécher. Puis donne le verre à l'homme.
- Très bien, tu as aimé ,
- Oui, Maître
- Dégage maintenant et sois patiente, j'arrive !
Dans la chambre, Emma s'écroule en pleurs.
Puis elle file dans la salle de bains contiguë à la chambre, elle se rince la bouche longuement.
Elle n'en peux plus, elle est bien décidée à quitter les lieux. Mais ces vêtements ont disparu, les fenêtres aux doubles vitrages sont fermées, impossible de les ouvrir.
Elle est prisonnière de ce monstre, pendant 3 jours.
Des pas se font entendre, affolée elle réalise qu'elle n'a pas obéi, elle se presse d'ôter la nuisette et se place à quatre pattes sur le lit.
La porte s'ouvre, Maria entre. Dans la plus complète indifférence, elle pose sa main froide sur les fesses d'Emma et de l'autre main, lui retire le plug d'un coup, ce qui arrache un cri à la jeune femme. Elle le pose sur la table de nuit et quitte la chambre aussitôt.
Emma ne bouge plus, dans les miroirs qui entourent le lit, elle se voit dans cette position lascive et obscène.
L'attente dure, ses membres tétanisés sont douloureux, elle n'en peux plus et s'écroule sur le lit.
C'est hélas, à ce moment précis qu'il se décide à venir dans la chambre. D'un regard, il voit qu'elle n'est pas en place.
- Tu n'as pas jugé utile d'obéir. Tu sais donc ce qui t'attend ?
- Mais je.....
- La ferme, tu n'es pas autorisée à parler ! En place, TOUT DE SUITE !
Épuisée, elle reprend place. Il s'allonge à ses cotés. Il est nu. Il passe ses mains sous elle, et attrape ses seins qui pendent, longuement, il les caressent doucement.
Emma stressée relâche la tension. C'est le premier geste presque tendre qu'il a envers elle. Mais elle crie soudainement, l'homme lui pince fortement les tétons. Des larmes jaillissent dans ces yeux.
- Arrête donc de couiner !
- Es tu prête pour te faire défoncer ? Je veux que se soit toi qui me le demandes, supplies moi !
Il se lève du lit, grâce aux miroirs, elle voit tout ce qu'il fait, pour l'instant il est occupé près de la télévision. Elle s'étonne, que va t-il encore inventer...!
- Je n'ai rien entendu dit il froidement alors qu'il se place derrière elle.
- Je vou.... Euh je .....
- Tu me déçois beaucoup, je te pensais plus maligne que ça ! Apparemment je n'ai pas été assez clair, je pense qu'une nouvelle correction te fera le plus grand bien.
- Non !!! Je..... j'ai très envie que vous me b.... , je vous en prie Maître, prenez moi maintenant !
- OUIIIII Je ne peux qu'accéder à tes désirs, petite putain. Pendant que je t'encule, je veux entendre non pas des cris de douleurs, mais des cris qui me disent que tu aimes, ce que je te fais. D'accord ?
- Oui, Maître !
Elle maudit ce type, elle maudit son mari.......
L'homme dans son dos, s'approche d'elle, dans le miroir, elle voit son sexe tendu, au gland violacé. Leurs regards se croisent. Il sourit. Son gland se profile devant l'anus. Il la maintient solidement de ses mains trapus. Et il s'enfonce lentement dans cette petite rosette, qui connaît le sexe pour la première fois. Emma ne peut s'empêcher de hurler.
- Aimes tu ma queue ?
Elle déteste tout de ce type, elle voudrait se soustraire à son emprise mais peine perdue, l'homme s'enfonce en elle. Ne pouvant supporter davantage, elle crie que oui...
- Oui, Ahhhhhhh c'est bon, hurle t-elle alors que son anus est en feu
Il la besogne avec fougue, ce petit cul bien fermé est un régal pour lui, amateur de sodomie, il aime la chair fraîche et apprécie d'être l'initiateur.
- Ahhhh Je te défonce bien à fond, tu la sens ma grosse queue, prend la bien dans ton cul, dit en l'enculant sans ménagement.
Emma la malheureuse n'en peux plus, l'homme est presque sur elle, tant il la sodomise profondément.
Il devient fou, et accélère encore la cadence, enfin il tressaille et gémit de plaisir quand il inonde de sperme son anus douloureux.
La verge devenue flasque quitte le petit trou dilaté.
- C'était très agréable. J'aurais régulièrement recours à ton cul, ma belle. Mais comme je ne suis pas en reste, je veux que toi aussi, tu prennes du plaisir. Mariaaaaaaaa !
La servante qui devait attendre derrière la porte, entre immédiatement.
- Sers toi de ta langue pour la faire jouir, et profites en pour la nettoyer. Elle est pleine de foutre. Mais avant, à poil !
La servante n'hésite pas une seconde et enlève sa jupe ainsi que son chemisier. Sous ses vêtements, elle est nue.
Emma, les fesses toujours en l'air, est horrifiée de ce que l'homme exige encore.
Il est là, la queue pendante allongé à ses cotés, il regarde son employée se déssaper. Celle ci la cinquantaine, a la poitrine généreuse mais pendante. Des formes plus qu'épanouies. Un ventre flasque.
- Toi, tu ne bouges pas, laisse la faire, dit il à Emma
Maria comme un peu plus tôt, approche sa langue et voracement se met à lécher le sperme qui s'écoule de l'anus. Les chairs boursouflés du petit trou sont happées, suçotées, léchées.
Même si Emma n'a jamais connu plus grande honte que celle ci, elle ne peux s'empêcher d'y prendre du plaisir, la langue est si douce. La servante prend manifestement un plaisir énorme à récupérer le sperme qui s'écoule de son anus. Des bruits de succions abjects raisonnent dans la pièce.
- Suffit Maria, petite salope ! Fais la jouir maintenant... Toi, la pute retourne toi et assis !
Emma qui réagit maintenant dès qu'il la traite de pute, de putain se tourne et s'assoit.
Maria, se met alors face à elle, et lui lèche doucement le clito. Elle alterne sa langue, et ses doigts. Le résultat est inattendu pour Emma.
C'est tellement agréable qu'elle en oublie le reste.
La caresse devient plus précise, Emma gémit, elle aime ses doigts qui la frôle, elle aime cette bouche, cette langue. L'orgasme fulgurant arrive, elle jouit intensément.
- Suffit Maria, tu as su y faire, comme d'habitude
- Merci, Maître
- Tu auras ta récompense plus tard...... Apporte le vibro à commande, les menottes.
Emma encore sous le choc de son orgasme ne réagit pas aux demandes du Maître, c'est en voyant arriver Maria, qu'elle comprend que la nuit n'est pas terminée pour elle.
- Allonge toi les bras relevés au dessus de la tête, il est l'heure de dormir un peu, mais tu n'as pas obéi tout à l'heure, donc je me dois de te punir, c'est pour ton bien.
Les menottes sont clipées à chaque poignet, ainsi qu'aux barreaux du lit.
- Écarte bien tes cuisses ! Je vais t'enfiler un vibro que je ferais fonctionner à mon gré, une partie de la nuit. Pour ton cul que j'affectionne particulièrement, je remettrais le plug dans la nuit jusqu'au matin. Un conseil, DORS !
Ses cuisses bien ouvertes, il lui enfonce le vibro, d'une belle taille, Emma se dit qu'elle ne pourra jamais rester ainsi, lui la regarde et fait fonctionner la commande. Immédiatement son corps réagit.
- Bien, je vois que ça fonctionne parfaitement..... Maria, excite moi un peu, danse !
La servante va aussitôt mettre un musique d'ambiance et commence une danse lancinante. Emma ne peut s'empêcher de regarder la grosse femme se pavaner devant l'homme, sa chair tremblante, ses seins qu'elle pressent l'un contre l'autre, elle se trémousse sans retenue devant lui. Et quand la musique cesse, elle finit par montrer ses grosses fesses molles, y figure un tatouage, qu'Emma lit avec horreur
" Je suis une pute, bonne qu'à être baiser "
- Viens ma grosse que je te mette ma queue, regarde elle est dure pour toi, viens t'empaler dessus.
Les yeux hagards, elle saute sur le lit qui s'affaisse un peu, et se prépare à s'assoir sur le sexe dressé.
Emma voudrait ne rien voir de cet acte répugnant, mais malgré elle, ses yeux sont rivés sur cette femme aux formes démesurées, qui prend place d'un coup sur la verge droite et dure.
Un cri rauque sort de sa bouche, l'homme ne bouge pas. Elle seule, mène la cadence, ses gros seins pendants s'agitent alors qu'elle se démène sur la tige, qui l'enfile.
Ils sont à quelques centimètres d'Emma. Elle entend leur souffle,leur gémissement, elle sent leur odeur. Les mains de l'homme s'empare des gros seins et les triturent, alors que le visage rougissant, au bord du malaise semble t il, la femme se met à hurler de plaisir, ses doigts boudinés s'agitant sur son clito qui a doublé de volume.
- Finis moi dans ta bouche, la grosse.
Sans rechigner, elle se retire du sexe souillé et l'avale goulûment pour en extraire le foutre qui jaillit dans sa bouche.
- Dors maintenant.
Elle s'allonge de l'autre coté, l'homme respire paisiblement, la servante s'endort aussitôt.
Seule Emma reste les yeux ouverts, pourtant épuisée, elle finit par s'endormir à son tour.
Elle est réveillée par le tremblement du vibro, qui s'agite en elle, pas un bruit dans la chambre, personne ne bouge, juste lui qui s'amuse avec elle.
Il feint de dormir alors qu'il la tyrannise. Le vibro la rend folle, doucement la chaleur monte, elle sent le plaisir qui vient en elle, mais son tortionnaire en a décidé autrement et arrête l'action du vibro.
La frustration est presque horrible. Le moindre mouvement lui procure des sensations décuplées, le plus humiliant, c'est qu'elle a terriblement envie de faire l'amour. Et pourtant, ces bras relevés la font souffrir et elle est si fatiguée.
Plus tard, elle finira par se rendormir, et à nouveau le vibro qui la rend folle. Elle aimerait se soulager, toute seule. Elle gémit malgré elle, c'est intolérable.
Puis plus rien, il arrête, une fois encore.
Elle a compté 6 fois, ou il a actionné cet engin de torture. Il vient juste de l'arrêter encore, et il est 2h30 du matin. Elle n'en peut plus. Il se lève brutalement.
- Je vais m'occuper de ton cul. Tu as l'air épuisé, tu ne te sens pas bien, lui demande t-il en enlevant les menottes.
Les bras ankylosés sont douloureux mais quand il retire le gode, elle geint, l'envie furieuse de baiser ne l'a pas quitté.
- As tu quelque chose à me demander ?
- Non, Maître dit elle
- Comme tu voudras, pourtant j'imagine ce que tu dois ressentir..... Si tu veux que je te baise, demande moi, supplie moi !
Cet homme est immonde. Évidemment qu'il sait dans quel état, elle se trouve ! Elle voit qu'il a une belle érection.
- Supplie moi ! Je te ferais jouir comme jamais tu n'as joui.
Elle n'en peux plus, elle crie
- Oui, je vous supplie, baisez moi, j'en meurs d'envie, j'en deviens folle
- Une vraie putain, que j'ai là ! Viens sur moi que je vois ton visage quand tu vas prendre ton pied.
Les muscles engourdis, elle monte sur lui. Le sexe est tendu, elle n'attend pas et s'enfonce sans attendre, elle veux le sentir se frotter délicieusement sur son clito, elle veux sa queue. A peine bouge t-elle, qu'un orgasme terrible la submerge.
- Continue, baise moi, petite traînée.
Elle monte descend sur ce pieu, c'est délicieux, les yeux mi clos, elle voit la servante réveillée par ses cris qui la regarde. Un nouvel orgasme la secoue. Un troisième la laisse pantelante.
- Viens me vider les couilles et applique toi !
Comme une affamée, elle se jette sur le sexe chaud, odorant. Il coulisse et glisse dans sa bouche qui est pour la première fois accueillante.
- T'es bonne à baiser, tu sais, pompe moi bien Mmmmmm Je viens, régale toi ! Ahhhh
Emma avale jusqu'à ce qu'il se retire.
- Allez en place ma belle, je ne t'attache plus, mais je t'enfile le plug, allez chienne en position. Maria le plug !
La servante lui tend l'objet, Emma a quatre pattes attend à nouveau, il fait couler un peu de lubrifiant et lui enfonce le plug qui se cale aussitôt dans son cul.
_ Voilà qui est fait, au réveil, j'ai l'intention de te faire goûter à ma queue, DORS !
Sur ce, il se lève et se rend près de la télé. Elle le voit faire quelques manipulations. De retour au lit, il lui dit :
- Juste une vidéo pour ton mari, il verra ce que tu deviens jour après jour.... Et maintenant, tu dors ou tes fesses vont le sentir encore. Maria, fais moi couler un bain et viens me laver !
Emma qui s'apprêtait à se redresser, reprend sa position, et tête basse rejoint le maître à genoux.
Ses fesses cramoisies brûlent toujours, son anus rempli est un peu douloureux, mais c'est surtout la honte qu'elle ressent qui est le plus insupportable.
Arrivée à ses cotés, elle attend.
- Je te permet de t'asseoir pour dîner, remercie moi !
- Merci Maître, dit elle en le maudissant
Elle se redresse enfin, et prend place sur la chaise. Immédiatement le plug se cale un peu plus au fond de son anus distendu. L'impression ressenti est un curieux mélange inconnu pour elle, douleur, plaisir....
Le maître lui prépare une très légère collation. Juste un morceau de poulet, accompagné de salade.
- Tu n'es pas chez moi, pour engraisser, mais pour te faire baiser. Manges, ordonne t-il !
Elle avale le modeste repas en quelques minutes. Elle meurt de soif, mais son verre reste vide.
Puis la servante amène le dessert, une crème au chocolat. Mais aucune petite cuillère pour elle.
- C'est moi, qui me charge de te la donner.
Il avance son doigt et l'enfonce dans le ramequin, le ressort plein de crème.
- Lèche
Emma obéit, il recommence plusieurs fois ce geste, puis accélère la cadence, le chocolat coule lamentablement sur son menton. Le pot est vide maintenant.
- Approche toi, ordonne t-il ! Tu manges vraiment comme une truie ! A genoux.
Il lui tient la tête à deux mains et se met à lui lécher le visage. Sa langue baveuse récupère la crème, il la souille de sa salive, ce qui la dégoûte.
- Mmmm Je sens ma queue se raidir, restes comme tu es, profites en, pour me sucer un peu la bite.
Cet immonde personnage ne la laissera t-il pas un instant en paix. Elle s'empare du sexe tendu et le fait disparaître dans sa bouche.
- Tu aimes sucer...? Ton cocu de mari m'a dit que tu n'avalais pas avec lui. Je vais t'apprendre à aimer le sperme. Tu n'es vraiment pas la reine des suceuses..... enlève toi !
Elle se retire sans attendre davantage, trop heureuse de ne pas être obligée d'avaler son sperme immonde.
Lui se branle énergiquement, en la regardant, puis au moment d'éjaculer, il s'empare d'un verre et envoie ses giclées de foutre.
Emma les yeux grands ouverts n'en revient de la lubricité de cet homme.
Tranquillement, il pose le verre contenant sa semence.
- C'est l'heure d'aller au lit, tu vas enlever juste ta nuisette. Puis tu resteras dans ta position favorite, à quatre pattes sur le lit, jusqu'à ce que j'arrive. Maria ! crie t-il, une fois la table débarrassée, tu iras lui enlever le plug.
- Oui, Maître !
- Et toi, tu as bien compris ce que j'exige de toi ?
- Oui Maître, dit Emma, soulagée de quitter ce sale type, ne serait ce que quelques minutes.
- Bien ! Au fait, avant de partir, avale donc mon nectar, que je viens de cracher, dans ce verre, ordonne t-il en le lui tendant
Emma est atterrée.
Un fond de sperme blanchâtre dans le verre. Son dégoût est visible, elle hésite à le porter à sa bouche.
- Je te conseille fortement d'obéir. De toute façon, je te l'ai dit, à force d'en avaler, tu finiras par aimer, autant commencer au plus vite.
Elle ferme les yeux et avale le contenu, d'un coup.
- Avale tout petite pute, récupère avec tes doigts le restant, je veux un verre propre.
Réprimant une nausée, elle obéit et d'un doigt enlève la moindre trace de sperme, pour la lécher. Puis donne le verre à l'homme.
- Très bien, tu as aimé ,
- Oui, Maître
- Dégage maintenant et sois patiente, j'arrive !
Dans la chambre, Emma s'écroule en pleurs.
Puis elle file dans la salle de bains contiguë à la chambre, elle se rince la bouche longuement.
Elle n'en peux plus, elle est bien décidée à quitter les lieux. Mais ces vêtements ont disparu, les fenêtres aux doubles vitrages sont fermées, impossible de les ouvrir.
Elle est prisonnière de ce monstre, pendant 3 jours.
Des pas se font entendre, affolée elle réalise qu'elle n'a pas obéi, elle se presse d'ôter la nuisette et se place à quatre pattes sur le lit.
La porte s'ouvre, Maria entre. Dans la plus complète indifférence, elle pose sa main froide sur les fesses d'Emma et de l'autre main, lui retire le plug d'un coup, ce qui arrache un cri à la jeune femme. Elle le pose sur la table de nuit et quitte la chambre aussitôt.
Emma ne bouge plus, dans les miroirs qui entourent le lit, elle se voit dans cette position lascive et obscène.
L'attente dure, ses membres tétanisés sont douloureux, elle n'en peux plus et s'écroule sur le lit.
C'est hélas, à ce moment précis qu'il se décide à venir dans la chambre. D'un regard, il voit qu'elle n'est pas en place.
- Tu n'as pas jugé utile d'obéir. Tu sais donc ce qui t'attend ?
- Mais je.....
- La ferme, tu n'es pas autorisée à parler ! En place, TOUT DE SUITE !
Épuisée, elle reprend place. Il s'allonge à ses cotés. Il est nu. Il passe ses mains sous elle, et attrape ses seins qui pendent, longuement, il les caressent doucement.
Emma stressée relâche la tension. C'est le premier geste presque tendre qu'il a envers elle. Mais elle crie soudainement, l'homme lui pince fortement les tétons. Des larmes jaillissent dans ces yeux.
- Arrête donc de couiner !
- Es tu prête pour te faire défoncer ? Je veux que se soit toi qui me le demandes, supplies moi !
Il se lève du lit, grâce aux miroirs, elle voit tout ce qu'il fait, pour l'instant il est occupé près de la télévision. Elle s'étonne, que va t-il encore inventer...!
- Je n'ai rien entendu dit il froidement alors qu'il se place derrière elle.
- Je vou.... Euh je .....
- Tu me déçois beaucoup, je te pensais plus maligne que ça ! Apparemment je n'ai pas été assez clair, je pense qu'une nouvelle correction te fera le plus grand bien.
- Non !!! Je..... j'ai très envie que vous me b.... , je vous en prie Maître, prenez moi maintenant !
- OUIIIII Je ne peux qu'accéder à tes désirs, petite putain. Pendant que je t'encule, je veux entendre non pas des cris de douleurs, mais des cris qui me disent que tu aimes, ce que je te fais. D'accord ?
- Oui, Maître !
Elle maudit ce type, elle maudit son mari.......
L'homme dans son dos, s'approche d'elle, dans le miroir, elle voit son sexe tendu, au gland violacé. Leurs regards se croisent. Il sourit. Son gland se profile devant l'anus. Il la maintient solidement de ses mains trapus. Et il s'enfonce lentement dans cette petite rosette, qui connaît le sexe pour la première fois. Emma ne peut s'empêcher de hurler.
- Aimes tu ma queue ?
Elle déteste tout de ce type, elle voudrait se soustraire à son emprise mais peine perdue, l'homme s'enfonce en elle. Ne pouvant supporter davantage, elle crie que oui...
- Oui, Ahhhhhhh c'est bon, hurle t-elle alors que son anus est en feu
Il la besogne avec fougue, ce petit cul bien fermé est un régal pour lui, amateur de sodomie, il aime la chair fraîche et apprécie d'être l'initiateur.
- Ahhhh Je te défonce bien à fond, tu la sens ma grosse queue, prend la bien dans ton cul, dit en l'enculant sans ménagement.
Emma la malheureuse n'en peux plus, l'homme est presque sur elle, tant il la sodomise profondément.
Il devient fou, et accélère encore la cadence, enfin il tressaille et gémit de plaisir quand il inonde de sperme son anus douloureux.
La verge devenue flasque quitte le petit trou dilaté.
- C'était très agréable. J'aurais régulièrement recours à ton cul, ma belle. Mais comme je ne suis pas en reste, je veux que toi aussi, tu prennes du plaisir. Mariaaaaaaaa !
La servante qui devait attendre derrière la porte, entre immédiatement.
- Sers toi de ta langue pour la faire jouir, et profites en pour la nettoyer. Elle est pleine de foutre. Mais avant, à poil !
La servante n'hésite pas une seconde et enlève sa jupe ainsi que son chemisier. Sous ses vêtements, elle est nue.
Emma, les fesses toujours en l'air, est horrifiée de ce que l'homme exige encore.
Il est là, la queue pendante allongé à ses cotés, il regarde son employée se déssaper. Celle ci la cinquantaine, a la poitrine généreuse mais pendante. Des formes plus qu'épanouies. Un ventre flasque.
- Toi, tu ne bouges pas, laisse la faire, dit il à Emma
Maria comme un peu plus tôt, approche sa langue et voracement se met à lécher le sperme qui s'écoule de l'anus. Les chairs boursouflés du petit trou sont happées, suçotées, léchées.
Même si Emma n'a jamais connu plus grande honte que celle ci, elle ne peux s'empêcher d'y prendre du plaisir, la langue est si douce. La servante prend manifestement un plaisir énorme à récupérer le sperme qui s'écoule de son anus. Des bruits de succions abjects raisonnent dans la pièce.
- Suffit Maria, petite salope ! Fais la jouir maintenant... Toi, la pute retourne toi et assis !
Emma qui réagit maintenant dès qu'il la traite de pute, de putain se tourne et s'assoit.
Maria, se met alors face à elle, et lui lèche doucement le clito. Elle alterne sa langue, et ses doigts. Le résultat est inattendu pour Emma.
C'est tellement agréable qu'elle en oublie le reste.
La caresse devient plus précise, Emma gémit, elle aime ses doigts qui la frôle, elle aime cette bouche, cette langue. L'orgasme fulgurant arrive, elle jouit intensément.
- Suffit Maria, tu as su y faire, comme d'habitude
- Merci, Maître
- Tu auras ta récompense plus tard...... Apporte le vibro à commande, les menottes.
Emma encore sous le choc de son orgasme ne réagit pas aux demandes du Maître, c'est en voyant arriver Maria, qu'elle comprend que la nuit n'est pas terminée pour elle.
- Allonge toi les bras relevés au dessus de la tête, il est l'heure de dormir un peu, mais tu n'as pas obéi tout à l'heure, donc je me dois de te punir, c'est pour ton bien.
Les menottes sont clipées à chaque poignet, ainsi qu'aux barreaux du lit.
- Écarte bien tes cuisses ! Je vais t'enfiler un vibro que je ferais fonctionner à mon gré, une partie de la nuit. Pour ton cul que j'affectionne particulièrement, je remettrais le plug dans la nuit jusqu'au matin. Un conseil, DORS !
Ses cuisses bien ouvertes, il lui enfonce le vibro, d'une belle taille, Emma se dit qu'elle ne pourra jamais rester ainsi, lui la regarde et fait fonctionner la commande. Immédiatement son corps réagit.
- Bien, je vois que ça fonctionne parfaitement..... Maria, excite moi un peu, danse !
La servante va aussitôt mettre un musique d'ambiance et commence une danse lancinante. Emma ne peut s'empêcher de regarder la grosse femme se pavaner devant l'homme, sa chair tremblante, ses seins qu'elle pressent l'un contre l'autre, elle se trémousse sans retenue devant lui. Et quand la musique cesse, elle finit par montrer ses grosses fesses molles, y figure un tatouage, qu'Emma lit avec horreur
" Je suis une pute, bonne qu'à être baiser "
- Viens ma grosse que je te mette ma queue, regarde elle est dure pour toi, viens t'empaler dessus.
Les yeux hagards, elle saute sur le lit qui s'affaisse un peu, et se prépare à s'assoir sur le sexe dressé.
Emma voudrait ne rien voir de cet acte répugnant, mais malgré elle, ses yeux sont rivés sur cette femme aux formes démesurées, qui prend place d'un coup sur la verge droite et dure.
Un cri rauque sort de sa bouche, l'homme ne bouge pas. Elle seule, mène la cadence, ses gros seins pendants s'agitent alors qu'elle se démène sur la tige, qui l'enfile.
Ils sont à quelques centimètres d'Emma. Elle entend leur souffle,leur gémissement, elle sent leur odeur. Les mains de l'homme s'empare des gros seins et les triturent, alors que le visage rougissant, au bord du malaise semble t il, la femme se met à hurler de plaisir, ses doigts boudinés s'agitant sur son clito qui a doublé de volume.
- Finis moi dans ta bouche, la grosse.
Sans rechigner, elle se retire du sexe souillé et l'avale goulûment pour en extraire le foutre qui jaillit dans sa bouche.
- Dors maintenant.
Elle s'allonge de l'autre coté, l'homme respire paisiblement, la servante s'endort aussitôt.
Seule Emma reste les yeux ouverts, pourtant épuisée, elle finit par s'endormir à son tour.
Elle est réveillée par le tremblement du vibro, qui s'agite en elle, pas un bruit dans la chambre, personne ne bouge, juste lui qui s'amuse avec elle.
Il feint de dormir alors qu'il la tyrannise. Le vibro la rend folle, doucement la chaleur monte, elle sent le plaisir qui vient en elle, mais son tortionnaire en a décidé autrement et arrête l'action du vibro.
La frustration est presque horrible. Le moindre mouvement lui procure des sensations décuplées, le plus humiliant, c'est qu'elle a terriblement envie de faire l'amour. Et pourtant, ces bras relevés la font souffrir et elle est si fatiguée.
Plus tard, elle finira par se rendormir, et à nouveau le vibro qui la rend folle. Elle aimerait se soulager, toute seule. Elle gémit malgré elle, c'est intolérable.
Puis plus rien, il arrête, une fois encore.
Elle a compté 6 fois, ou il a actionné cet engin de torture. Il vient juste de l'arrêter encore, et il est 2h30 du matin. Elle n'en peut plus. Il se lève brutalement.
- Je vais m'occuper de ton cul. Tu as l'air épuisé, tu ne te sens pas bien, lui demande t-il en enlevant les menottes.
Les bras ankylosés sont douloureux mais quand il retire le gode, elle geint, l'envie furieuse de baiser ne l'a pas quitté.
- As tu quelque chose à me demander ?
- Non, Maître dit elle
- Comme tu voudras, pourtant j'imagine ce que tu dois ressentir..... Si tu veux que je te baise, demande moi, supplie moi !
Cet homme est immonde. Évidemment qu'il sait dans quel état, elle se trouve ! Elle voit qu'il a une belle érection.
- Supplie moi ! Je te ferais jouir comme jamais tu n'as joui.
Elle n'en peux plus, elle crie
- Oui, je vous supplie, baisez moi, j'en meurs d'envie, j'en deviens folle
- Une vraie putain, que j'ai là ! Viens sur moi que je vois ton visage quand tu vas prendre ton pied.
Les muscles engourdis, elle monte sur lui. Le sexe est tendu, elle n'attend pas et s'enfonce sans attendre, elle veux le sentir se frotter délicieusement sur son clito, elle veux sa queue. A peine bouge t-elle, qu'un orgasme terrible la submerge.
- Continue, baise moi, petite traînée.
Elle monte descend sur ce pieu, c'est délicieux, les yeux mi clos, elle voit la servante réveillée par ses cris qui la regarde. Un nouvel orgasme la secoue. Un troisième la laisse pantelante.
- Viens me vider les couilles et applique toi !
Comme une affamée, elle se jette sur le sexe chaud, odorant. Il coulisse et glisse dans sa bouche qui est pour la première fois accueillante.
- T'es bonne à baiser, tu sais, pompe moi bien Mmmmmm Je viens, régale toi ! Ahhhh
Emma avale jusqu'à ce qu'il se retire.
- Allez en place ma belle, je ne t'attache plus, mais je t'enfile le plug, allez chienne en position. Maria le plug !
La servante lui tend l'objet, Emma a quatre pattes attend à nouveau, il fait couler un peu de lubrifiant et lui enfonce le plug qui se cale aussitôt dans son cul.
_ Voilà qui est fait, au réveil, j'ai l'intention de te faire goûter à ma queue, DORS !
Sur ce, il se lève et se rend près de la télé. Elle le voit faire quelques manipulations. De retour au lit, il lui dit :
- Juste une vidéo pour ton mari, il verra ce que tu deviens jour après jour.... Et maintenant, tu dors ou tes fesses vont le sentir encore. Maria, fais moi couler un bain et viens me laver !
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