LE MAITRE DU JEU ( 1 ère partie )

Nuit après nuit, elle l'accompagne dans des salles enfumées ou il joue pendant des heures. Elle a beau le supplier, le menacer, rien n'y fait. 
Il promet de s'arrêter et recommence toujours. 
Son maigre salaire ne suffit pas. 
Lui a perdu son emploi depuis plusieurs mois, pour faute professionnelle. 
De leurs petites économies, il ne reste plus rien.

Emma  aime son mari plus que tout, pourtant elle n'en peut plus. Les dettes s'accumulent, il ne s'en aperçoit même pas. 
De plus, cela fait des semaines qu'il ne la touche plus.
Depuis quelques jours, elle vient avec lui, espérant le dissuader de jouer plus, encore plus.
Ce soir, il a déjà perdu 500 €, une somme colossale pour eux.. 
Toujours certain de se refaire, il mise encore. 

Dégoûtée, les larmes aux yeux, elle décide de rentrer. Personne ne la retient, même pas lui. 
Juste le regard appuyé d'un homme vêtu de noir, la cinquantaine. 
Le regard glacial, il ne l'a pas quitté des yeux, pendant cette fichue  soirée. 

Léo a rejoint le lit conjugal aux premières lueurs du jour, quand les autres se lèvent pour aller travailler.

Sans bruit, elle sort du lit.

- Attends chérie, je dois te parler.

Elle a sursauté, elle le croyait endormi. 
Mais il est parfaitement éveillé, le visage pâle, les traits tirés. 
Il est nerveux, voir affolé.

- Qui y a t-il ? Tu es malade ? demande Emma
- Non, si ça n'était que cela.....! répond t-il doucement

Il baisse la tête, respire péniblement.

- Mais .... Dis moi ?
- Chérie, j'ai perdu, tout perdu..... Pardonne moi !

Elle le regarde, ne comprend pas. Il a l'air si mal.
 
- J'ai voulu me refaire, on a plus rien ! Je leur dois du fric, un sacré paquet de fric....        3000 €
- QUOI ?

Il lui explique comment tout a basculé. Elle l'écoute à peine, elle voit ses larmes, jamais elle n'a vu son mari pleurer.

- Emma, toi seule peut nous sauver.....

Elle ne voit pas comment, son modeste salaire est dérisoire, à coté de leurs nombreuses dettes.

- Un type qui était là, nous a proposé quelque chose. Ma chérie, je ne sais pas comment te dire ça... Je t'en supplie, ne m'en veux pas, écoute moi juste.
- Mais de quoi parles tu ? Je ne comprends rien.
- Il te veux, toi ! Pour 3 jours complets. 
- Arrête Léo, je n'ai pas envie de plaisanter !

Il lui saisit le bras brutalement :

- Tu crois que je rigole, là ! On a plus rien.... Si tu refuses son offre, je ne sais pas ce qu'il va faire, ME faire, c'est à LUI, que je dois le pognon, hurle t-il !

Emma épouvantée, comprends qu'il est sérieux.
 
- Tu n'imagines pas que je pourrais dire.... Oui, tu es fou !
- Emma, on a pas le choix, je t'en supplie mon amour, après je te jure, j'arrête tout pour toujours, je te le promet.

La gifle résonne dans la chambre, à toute volée, elle l'a frappé, humiliée par cette proposition infâme. Il pleure comme un enfant. 
Livide, elle quitte rapidement l'appartement pour aller travailler. 
En rentrant, son mari l'attend. Il a préparé une petite valise.

- Je t'en supplie mon amour, fais le pour moi, pour nous... Je ne jouerais plus jamais, dit il d'une voix suppliante.

Sans un mot, refoulant ses larmes, elle prend la valise, arrache de ses mains tremblantes le papier sur lequel est griffonné l'adresse de l'inconnu. 
Il lui dit qu'un taxi l'attend en bas, il ajoute qu'il l'aime plus que tout. 

Sans un regard pour lui, elle ferme la porte de leur petit appartement et s'engouffre dans le taxi.

Le trajet dure une vingtaine de minutes. 
Pourquoi a t-elle accepté tout ça, n'y avait il pas d'autre choix ? Elle a peur, qui est ce type qu'elle rejoint ?
Les yeux humides, elle sort de la voiture et se rend au N° 13.
Une femme très ronde d'une cinquantaine d'années, lui ouvre la porte. Sans parler, elle la conduit au salon. 
Là, elle reconnaît immédiatement l'homme en noir. 
Debout, il la toise froidement. 

- Je vois que ton mari a réussi à te convaincre, tu es donc toute à moi, pendant 3 jours. Quand tu me parles, tu baisses les yeux, tu m'appelles "Maître", moi je t'appelerais "petite pute" et surtout tu obéis à TOUTES mes exigences. Si tu désobéis, tu seras punie. Au terme de ces 3 jours, la dette de ton mari sera effacée. As tu compris ?

- Oui réponds Emma
- Oui qui ?? Hurle t-il
- Oui Maître
- Ne t'avises plus de l'oublier. Maria va te conduire dans la chambre, tu mettras ce qui est posé sur le lit, soit ici dans 10 minutes

La dénommée Maria, est déjà prête à la conduire.
Dans la chambre trône un immense lit. Des miroirs partout même au plafond. Une nuisette transparente rouge, ainsi qu'un porte jarretelles de la même couleur et des bas sont posés sur le lit. 

Avec angoisse, elle se souvient elle a 10mn, pour se changer. 
Résignée, elle se déshabille devant la femme, qui reste immobile. 
Emma a 29 ans, un joli corps qu'elle cache souvent par des tenues trop larges. 
Assez pudique, elle mets rarement de la lingerie fine, et jamais de nuisette, comme celle ci. 
Elle enfile le tout, et se voit dans le miroir, à nouveau les larmes affluent. 

Affublée de ces nouveaux atours, elle a l'air d'une salope, comme on voit dans les films pornos. 
Elle ose à peine bouger, la nuisette s'arrête à la limite de ses fesses. 

Maria qui n'a pas bougé, attend patiemment sans un mot. 
Péniblement, Emma esquisse un pas pour rejoindre l'ignoble individu.

Dans le salon, un feu crépite. Il est assis dans un fauteuil.

- Approche toi, ma petite pute ! As tu vu l'heure ? Demande t-il froidement
- Non Maître 
- Voilà 15 mn que je t'attends..... Tu mérites donc une punition

Emma le regarde, interloquée.

 - Baisse les yeux, insolente. Viens te placer sur mes genoux immédiatement. Je vais t'apprendre à obéir.

Elle ne réagit pas. La servante la pousse violemment près du Maître.
En quelques secondes à peine, elle est couchée, le ventre sur ces genoux.

- Tu sauras m'obéir, crois moi ! dit il en lui caressant doucement ses fesses nues.
Sa main large effleure à peine sa peau.
 
La position est si humiliante pour Emma. 
La femme grassouillette, aux cheveux grisonnants les regardent sans broncher. 
Emma n'y comprend rien, quand une claque magistrale s'abat sur ses fesses, puis une autre et une autre..... 
Elle hurle sous les coups. 
Maria indifférente, la maintient fermement, alors que l'homme la fesse violemment. 

- Sale petite pute, tu vas devenir très docile.... promet moi d'être obéissante, je t'écoute, dit il en continuant de lui claquer les fesses, qui sont devenues écarlates.
- Ouiii, je vous en supplie Maître, j'obéirais, ça fait trop mal....

Enfin les claques s'arrêtent. Il la jette à terre, elle s'écroule sur le tapis. 

Sans un regard pour elle, il extirpe de son caleçon, un sexe en pleine érection.

- Viens me sucer un peu, la queue ! Dit il calmement 

Le visage trempé de larmes, elle s'agenouille devant l'homme.

- Suce moi la bite, et avale tout, tu es bien une pute, non ?
- Oui Maître répond t-elle 
- Maria, un cognac ! Tout de suite....
- Oui Maître, dit Maria 

Emma, les fesses cuisantes et douloureuses, prend le sexe de l'homme, doucement elle approche sa bouche de sa verge. 
Elle se dégoûte pour ce qu'elle va faire. 
Écoeurée, sa langue frôle le gland de l'homme, alors qu'il sirote son cognac, tranquillement. Le sexe est d'une belle taille, une odeur forte. 

- Bouffe moi la queue, mieux que ça ! Exige t-il en pressant sa tête sur sa queue

Elle a la bouche pleine, respire avec peine, il a posé son verre et tient sa tête, à deux mains. 

- Mmmm c'est mieux,  continue comme ça ! Te fesser le cul m'a terriblement excité. Je vais vite te donner ta première giclée de foutre...

Elle étouffe, il se sert de sa bouche, comme d'un sexe.

- Ahhhhhhhhh avale ça... 

Il décharge de longues giclées de sperme, en la maintenant toujours. 
Quand enfin il la libère, le sperme non avalé dégouline sur son joli visage.

- Récupère le sperme avec ton doigt et lèche le ensuite....

Ayant trop peur d'une nouvelle punition, elle obéit immédiatement les yeux baissés.

- Bien, tu obéis vite. Va dans le 1er tiroir de mon bureau, et prend l'objet, qui s'y trouve.

Les fesses douloureuses, elle va chercher l'objet en question. Il s'agit d'un plug, elle en a jamais mis, puisque elle refuse la sodomie, mais elle en a déjà vu.

Paniquée, elle prend le plug en main et lui apporte. 

- Tu sais que dans cette tenue, on voit ce que tu es.... Une salope.
- Oui Maître
- Alors tu refuses la sodomie, m'a dit ton crétin de mari ? ironise l'homme
- Mais moi, continue t-il,  j'aime les salopes qui réclament de se faire trouer le cul, par ma grosse queue ou autre chose, ajoute-il en agitant sous son nez l'objet

Elle est effarée par sa folie perverse, les larmes coulent toujours sur son joli visage.

- A genoux ! De toute façon, c'est la position qui convient le mieux, à une chienne comme toi...

A contre coeur, elle s'agenouille devant le feu qui crépite toujours dans la cheminée. Sa nuisette se relève, laissant apparaître ses fesses rebondies, rougies par la correction.

- Maria, prépare là ! ordonne t-il

La grosse femme silencieuse se plie dans la position adéquate, Emma n'a pas encore compris ce qu'il attend. 
L'homme s'enfonce dans son fauteuil, se réjouissant du spectacle, qu'il a devant lui.
Maria sans hésiter, pose ses mains sur les fesses brûlantes de la jeune femme et approche sa langue de son anus. Elle écarte au maximum les lobes de son cul, et lui lape la raie, salivant un maximum.
Avilie, Emma ferme les yeux pour cacher sa honte, d'être lécher ainsi et qui plus est, par une femme.
La servante ne s'arrête pas, elle sait que seul le Maître lui dira de stopper. 
Sa langue s'infiltre dans le petit trou. Elle laisse sa salive partout.

- Suffit Maria ! dit la voix cinglante de l'homme

Elle se redresse aussitôt et reprend place à coté du Maître.
Il se lève, l'objet en main. 

- Suce le exige t-il, suce le plug qui va t'élargir le cul

Emma suce, refoulant ses larmes.
Puis il le retire de sa bouche.

- Ne bouge pas, c'est un ordre. Maria t'a bien humidifié le cul, tout ira bien....

Le plug froid s'approche de sa petite rosette fermée. 
Elle tremble devant la cheminée. 
Il force sa chair, elle hurle. Il pousse le plug, sans se préoccuper de ses cris. 
L'objet est en place. 
Son pauvre anus est en feu, investit de cet objet qui écartelle ses chairs, elle ne bouge plus. Les cris ont cessé.
 
- Bien, ton anus ne demande qu'à être dilater, tu me remercieras, tu verras. Maria, sert le repas.

La femme disparaît pour revenir avec un plateau rempli d'un repas froid. L'homme se lève pour rejoindre la table.
Emma ne bouge pas. 

A suivre !

[ A vous de choisir, est ce que j'écris la partie 2 ? ]

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