histoires-de-cul

Emma épuisée de fatigue s'endort très vite, alors que dans la salle de bains Maria  savonne longuement le Maître, puis selon son désir elle le masse avec une huile.
Revigoré à 6h00 du matin, l'homme apparait nu à la porte de sa chambre, il regarde la jeune Emma,  couché sur son lit. Les jambes repliées, il peut apercevoir le plug qui a parfaitement dilaté son anus.

Il est satisfait de son choix, il savait que cette femme au mari imbécile, deviendrait sa putain pour sauver son ignoble époux de sa déchéance.

Maria, a mis sa tenue, prête pour une nouvelle journée.

- File préparer le petit déjeuner, nous serons en bas, d'ici une petite heure, annonce t-il
- Bien Maître 

Le voilà seule avec sa toute nouvelle soumise.
Il s'assoit sur le lit, les fesses rebondies sont à quelques centimètres de lui. Il caresse la croupe, ses courbes le ravissent. Emma s'éveille lentement, encore meurtrie de sa nuit. Elle mets quelques instants à reconnaitre les lieux, puis paniquée, se rapelle enfin où elle se trouve.
Son regard croise celui de l'homme.

- Il est temps que tu te réveilles ! La journée va être longue, et, chose promis, chose due, nous allons commencer par voir si ton cul est bien dilaté, place tes jambes sur mes épaules que je t'enlève le plug.

Elle ne tente même pas de se soustraire à la demande, encore engourdie par le sommeil, elle relève ses jambes, il n'a qu'à ôter le plug, ce qui la fait crier, aussitôt il enfonce ses doigts dans l'anus béant.

- Bien, le trou de ton cul me semble prêt à accueillir ma bite. Es tu disposée pour ta première sodomie de la journée ?

Emma se risque à supplier l'homme, une envie pressante la tenaille.

- Je dois aller aux toilettes, s'il vous plait Maître, c'est urgent !
- Tu iras quand je t'autoriserais, et pour l'instant, je veux ton cul, suce moi la queue pour me faire raidir, allez ma petite pute, exige t'il en s'asseyant presque sur son visage.

Très vite, une énorme nausée la submerge, mais la bite grossit dans sa bouche chaude et humide.

- Mmmm pas mal, mais tu peux encore t'améliorer ! Allez en place pour te faire défoncer, salope. 

Il attend qu'elle lui présente ses fesses. Il lui crache sur l'anus et sans autre considération s'empale d'un coup pour se loger dans le fond de son cul, la douleur est nettement plus minime que la veille et pourtant, l'homme la ramone sauvagement.

- Mmmmm t'es qu'un cul à baiser, un de plus ! Tu vas me servir de vide couilles, Ahhhhhhhh 

Il est grossier, vulgaire.... Emma s'habitue à sa façon de la traiter, pire elle remarque que ça l'excite davantage, à chaque fois.
Alors qu'il l'encule profondément, elle s'enhardie à se masturber doucement, une douce chaleur monte en elle, quand soudain l'orgasme l'atteint de plein fouet, elle hurle de plaisir alors que lui se déverse dans son anus en feu.

- Mmmm c'est étonnant ce que tu t'adaptes vite ! Lui dit il en retirant sa queue ramollie. Tu as 20 secondes pour te rendre au salon pas une de plus, Maria te dira ou t'assoir. Presse toi !

Sans attendre, elle se redresse et court vers le salon.
Maria a préparé le petit déjeuner, le café enbaume la maison, sur la table des toasts grillés, de la marmelade et du jus d'orange frais.

Sans un mot, Maria d'un geste lui indique ou se placer, une sorte de chaise percée, au centre de ce trou un petit récipient. Emma ne comprend pas, mais s'assoit, ce qui a pour effet d'écarter ses fesses, au maximum.
Sa faim étant énorme, elle salive à la vue de la table, et évite de penser à cette chaise étrange.

Le Maître arrive quelques instants plus tard, vêtu d'un superbe costume sombre, il a une allure très tricte.

- Mange, prends des forces, ta journée sera rude.

Emma dévore tout ce qu'on lui présente, elle est affamée, le déjeuner est avalé très rapidement. Mais Emma ne pense plus qu'à une seule chose, aller aux toilettes. Le fait d'être les fesses écartées sur cette chaise ne l'aide pas beaucoup, il est urgent qu'elle se soulage.

- Maître, puis je y aller maintenant ?

L'homme la regarde, elle a déjà beaucoup changé depuis hier, il est satisfait.

- Je te permets, oui ! Mais avant, n'oublie pas de récupérer le sperme qui s'est écoulé de ton anus, dans le récipient sous tes fesses. 

Emma est une fois de plus écoeurée par son exigence. Le Maître enlève le petite récipient et lui tend :

- Comme hier, nettoie moi ça avec le doigt, ensuite tu iras aux toilettes lui dit il froidement

Elle prend le petit pot en plastique transparent. Elle n'en peux plus, il devient urgent qu'elle se soulage, alors son doigt disparait dans le foutre et elle le lèche, jusqu'à ce que plus rien ne reste.
 
- Bien, Maria va te conduire, ensuite Maria, tu la prépares !
- Oui Maître

La jeune femme peut enfin satifaire ses besoins naturels. Dans sa bouche, le goût du sperme qui sort tout droit de son cul. Elle en vomirait presque son petit déjeuner.

Maria l'amène ensuite dans la salle de bains, elle comprend qu'elle va enfin pouvoir prendre une douche, elle est tellement heureuse de se laver.
Seule ombre au tableau, elle voit que Maria retire sa jupe et son chemisier et pénètre avec elle sous la douche. Heureusement la cabine de douche est grande, car la servante aux formes plus qu'épanouies occuppe une grande place.
Elle sent son souffle sur son visage quand celle ci commence à la savonner. Emma apprécie l'odeur du bain douche, même si elle est un peu exaspérée par les caresses prolongées de la grosse femme qui s'approche d'elle de plus en plus, ses énormes seins frolent les siens. Ses grosses mains boudinées forcent le passage pour laver sa chatte

- Ecarte toi, mieux que ça ! 

C'est la première fois qu'elle lui parle directement, Emma tente alors une approche

- Je peux le faire !

- Ecarte toi, et tourne toi que je lave ton cul, mets tes mains sur la vitre réplique t-elle sans se préoccuper de sa demande

Résignée, Emma se retourne, la servante la fait cambrer et nettoie conscencieusement  avant de prendre le pommeau de douche, qu'elle retire et lui enfonce le tuyau au bord de l'anus. Emma ne trouve pas ça très agréable mais ne dit mot, au moins elle se sentira moins souillé.
L'eau arrête de couler, mais les doigts de Maria continuent de la tripoter, cette femme est aussi fourbe que son Maître.
La grosse Maria s'agenouille sur le sol trempé et comme une folle, se jette sur la fente humide de la jeune femme.
Elle est avalée, sucée, ses mains lui pétrissent fermement les fesses, sa langue se fait plus douce, insistante sur son clito. La buée tapisse les vitres.
Emma ne peut que savourer cette langue qui sait la lècher merveilleusement, c'est divin, elle oublie le reste, et se délecte de ce qu'elle lui fait, son bourgeon tout gonflé n'en peut plus, elle sent l'orgasme qui arrive et jouit.
La grosse Maria se lève et sort de la douche, tend une serviette à Emma.

- Viens !

Elle s'enroule dans la serviette et suit la femme au corps enrobé de graisse. Celle ci s'allonge sur le lit encore défait, elle écarte ses grosses cuisses.

- Bouffe moi la chatte, vite !!!

Mortifiée, Emma la regarde, jamais elle ne pourra faire ça, déjà parce qu'elle ne la jamais fait avec une femme et surtout cette femme là, ne l'attire pas. 
Son ventre flasque, ses cuisses sont grosses, elle entrevoit ses lèvres pendantes, humides, elle se masturbe doucement. 

- Démerde toi !
- Non, pas question ! Je ne suis pas obligée, pas avec vous ! Réplique la jeune femme

-  Exact intervient le Maître, qui apparemment avait assité à toute la scène sans se faire voir, mais Maria a quelques privilèges ici. Alors petite effrontée, obéis ou attends toi à une nouvelle punition, dit il avant de disparaitre.

Effondrée, elle s'avance près de la servante. Doucement sa tête se dirige vers la chatte béante, l'autre ouvre les lèvres, laissant apparaitre un clito saillant, énorme. Emma n'a jamais vu ça. Timidement sa langue frôle la fente humide et très odorante, mais Maria lui tient la tête fermement

- lèche mon clito, aspire le 

Elle suit malgré elle les indications, la grosse femme gémit.
La tête d'Emma disparait entre les énormes cuisses, elle respire avec difficulté, elle a le visage trempé de cyprine, la grosse femme  mouille abondamment, enfin elle tressaille et jouit violemment libérant un peu plus de son jus.

- Ahhhh petite pute !!! Ouiiii c'est bon

Sa jouissance passée, elle repousse la jeune femme et se lève satisfaite, laissant Emma le visage barbouillé.

Maria se rhabille rapidement et présente à Emma sa tenue du jour. Une combinaison en résille noir, avec des trous à l'emplacement des seins, du cul et de la chatte, avec ça des talons aiguilles très hauts.

Emma ne remarque les trous qu'en enfilant la combinaison. C'est d'une indécence totale.
Bien pire encore, que si elle était restée nue.

- Mais pourquoi acceptez vous tout ça, il vous tient vous aussi ? Demande Emma en pleurs
- Mais tais toi donc pauvre sotte, personne ne me tient. Je suis SA FEMME. Je suis à lui, il fait de moi ce qu'il veut, il est mon mari, mon maître.

Interloquée par cette révélation, les  yeux encore humides, elle suit la servante qui l'amène au Maître des lieux.

- Bien, cela te va à ravir !  Ta journée sera très chargée, écoutes moi, si tu acceptes TOUT, s'en rechigner !  Je te libère dès ce soir, de plus un petit bonus te sera octroyé, tu vois je suis beau joueur, mais pour cela il faut TOUT accepter ! A toi de voir, sinon je te rappelle que la dette de ton mari s'élève à 3000 € 

Emma réfléchit, ce soir son calvaire sera terminé. Et ils repartiront à zéro.

- J'accepte.
- Bien ! J'en étais sur... Ta journée se compose ainsi, Maria ! à 10h00 tu l'emmènes là ou tu sais, et ce pour 1h00-1h30, tout dépendra de toi, petite salope. Ensuite collation légère, et à 13h30, à nouveau Maria te conduira là ou il faut jusqu'à 15h30. Puis je te verrais dans la chambre, si tout va bien à 17h00, tu es chez toi. 

L'homme quitte alors le salon, sur la pendule, il est 9h50. Elle est seule. Elle se pose mille questions, que va t-il se passer ? Elle a peur. Elle ne pense qu'à 17h00, heure ou enfin elle sera libre.

9H57 Maria entre dans la pièce

- Suis moi ! 

Le coeur battant, elle marche quelques pas, une porte s'ouvre, elle pénètre dans la pièce,  assez sombre, elle ne voit pas grand chose, puis plusieurs spots s'illuminent. Dans la petite pièce rectangulaire, il y a une dizaine de trous dans le mur, situés sous les spots, c'est plutôt étrange. Elle ne comprend pas, puis la voix du Maître résonne dans la pièce, elle remarque alors au niveau du plafond, un micro et une caméra vidéo.

- A genoux, putain. A aucun moment, tu ne te redresseras. 

Elle s'agenouille, elle pressent que quelque chose va se passer, c'est alors que 8 sexes d'hommes passent à travers les trous. Huit queues avec les couilles sortent du mur,  parmi eux une noire énorme.

- Tu vas t'appliquer à faire cracher nos huit invités. Tu avales tout, hors de question de recracher, sinon on recommence à chaque fois, dit la voix grave du maître dans le micro.

Son regard perturbé va d'un sexe à l'autre, la pièce n'éclaire que les verges en attente d'être vidées.

- Presse toi un peu, soit une grosse salope.

Elle se dit alors, qu'elle ne pourra jamais, que tout cela a servi à rien. Qui sont donc ses types cachés derrière ce mur ?

Elle bouge un peu sur les genoux, à sa portée, un sexe attend, elle se dit qu'elle va essayer. Alors sa main attrape la queue qui tressaille immédiatement, puis sa bouche engloutit le membre. Une impression étrange de sucer la bite d'un homme sans le voir, son malaise disparait doucement, après tout, ils ne la voient pas non plus. L'homme se bouge sous ses lèvres, elle ose même une caresse sur ses couilles pour qu'il éjacule plus vite, ce qui arrive enfin, il dégorge dans un gémissement. Comme elle le doit, elle avale d'un coup, le liquide visqueux. 
En voilà 1 -  se dit elle, plus que 7.
Elle rampe sur ces genoux pour se retouver face à une deuxième queue, celui là a l'air terriblement excité, la queue bien raide, les veines saillantes.
Sa main timidement s'empare du sexe, dans sa bouche cet affreux goût de sperme, elle ferme les yeux et avale la nouvelle queue, elle alterne sa main, sa bouche. Elle l'entend derrière la cloison qui l'insulte

- Bouffeuse de queues, prend la au fond de ta gorge

C'est un mélange confus pour Emma, qui se surprend à aimer sucer ces queues d'hommes invisibles. Elle enfonce la tige profondément, la ressort, l'humecte de salive, l'homme l'injurie, ça l'excite. Puis n'en pouvant plus il se vide à son tour. Elle dégulutit et avale son foutre.

Et de 2-  se dit elle, avant de partir sans hésiter sur le 3 ème
Le sexe est noir, large,  elle n'a jamais sucé un noir. Curieusement elle se sent devenir une salope, le maître lui dit, ces hommes lui disent, oui c'est vrai, elle est devenue une salope. Et ça lui plait.

L'homme noir a les couilles rasées, une envie insoupçonnée de les lécher, des les gober. Elle se rue dessus, une forte odeur la submerge, la bite grossit, elle est énorme, sa bouche la goûte, impossible de l'engloutir totalement.
Elle n'est plus que l'ombre d'elle même, la gentille, la prude, la timide Emma est devenue une bonne suceuse de bites, elle lèche, suce, aspire. Le black n'en supporte pas plus et décharge de longues giclées à n'en plus finir. Elle avale la première giclée, conserve la seconde dans la bouche avant de l'avaler elle aussi,
Et de 3 -
Emma servira de vide couilles aux hommes de la pièce, seul le 8 ème lui posera souci, elle n'en peux plus, les machoires douloureuses, elle en avalé 7 sans sourciller, le 8 ème éjacule et la crème s'écoule lamantablement sur son menton.

- NON Emma ! La condition était 8 à avaler, pour ta peine, un neuvième arrive. Donne toi donc un peu  de mal, je suis sûr que tu mouilles comme la salope que tu es devenue, suce le nouveau et caresse toi en même temps, ordonne le Maître

Emma épuisée, rampe jusqu'au neuvième trou, un nouveau sexe se présente, petit, frippé. Elle le caresse, il commence à bander doucement, elle se demande, comment est l'homme derrière, tous ces hommes qu'elle a fait jouir avec sa bouche, elle se caresse de l'autre main, remarque qu'elle est trempée. La bite a grossit, elle se masturbe lentement, ses doigts clapotent dans sa mouille soudain un râle se fait entendre, elle est prête à recevoir sa dernière dose, l'homme invisible s'épanche en elle en gémissant

- Ahhh avale ma crème

Emma reçoit le foutre alors qu'elle jouit. Elle avale le sperme épais de son inconnu, réprimant un haut de coeur.
Et de 9 -

Enfin, courbaturée, elle se relève. Elle a un goût atroce dans la bouche. La porte s'ouvre, Maria vient la chercher pour l'amener au salon.

- Viens déjeuner,l'accueille le Maître,  as tu faim ? Tu es peut être rassasiée avec tout ce foutre avalé.

Effectivement, la jeune femme n'a pas très faim, elle a mal à la machoire, elle voudrait juste se laver la bouche.

- Mange ! Tu as besoin  de reprendre des forces.

Elle se force à avaler le repas, mais boit plusieurs verres d'eau.

Il est 13h00 sur la pendule. Elle est épuisée.

- Maria occupe toi un peu d'elle jusqu'à 13h30
- Oui Maître

Emma qui aurait voulu quelques instants de répits, se trouvent dans les mains de Maria.

- Allonge toi sur le tapis devant la cheminée.

Emma obéit, le feu crépite, elle a envie de dormir, la grosse femme lui caresse doucement les seins, lui suce les tétons, elle se laisse faire, ferme les yeux, c'est bon.
Puis ses cuisses sont écartées, sa tête disparait. Elle sait qu'elle va être lécher, elle aime sa langue qui sait si bien la faire jouir.
Elle a chaud, elle est merveilleusement bien.
La langue humide happe son jus intime, agace son clito. Elle ne résiste même plus et jouit rapidement , puis la langue lèche copieusement son anus encore un peu douloureux. Elle s'enfonce dans son petit trou, elle crache de la salive. Emma est trempée. Puis s'arrête soudainement, il est 13h30.

- Viens lui dit elle

La jeune femme inquiète du nouveau sort qui l'attend suit la grosse femme, les fesses encore trempées de salive.

Elle est attachée, à genoux, le cul cambré, impossible de bouger. Quand la porte s'ouvre laissant entrer 9 hommes. En voyant un black, elle comprend qu'il s'agit des hommes qu'elle a sucé ce matin. Tous différents les uns des autres.
D'un âge différent, le plus vieux doit bien avoir 70 ans, le noir est obése, tous ne sont pas des prix de beauté, tous sont nus, la queue pendante, ou bandante.
D'ailleurs celui qui bande s'approche d'elle et lui dit :

- Re- bonjour, petite vicieuse, tu aimes en avoir dans le cul, j'espère ? 9 queues vont te défoncer

Il se place derrière elle, le gland au bord de son anus, il s'enfonce sous les encouragements de ses copains, qui attendent leur tour. 

Emma se fait enculer par tous les hommes de la pièce. Les bites se succèdent les une après les autres et repandent leur foutre dans ses entrailles.
L'énorme queue du black est passée en dernier, l'anus dégoulinant de foutre étant plus que lubrifié. Les mains des hommes ont caressé, malaxé ses seins, ses fesses, elle s'est faite doigtée, insultée, rabaissée. Ces hommes l'ont fait jouir comme elle n'imaginait pas pouvoir le faire. Elle en a oublié qui elle était, pourquoi elle se trouvait là. 

Et elle a adoré !

Les hommes ont disparus aussi soudainement qu'ils étaient arrivés. Elle se retrouve seule, épuisée, débordante de foutre, une odeur de cul, de respiration flotte dans la pièce. La porte s'ouvre, Maria vient la chercher, pour la dernière étape, avant de retourner chez elle.

Il l'attend debout, toujours aussi sobre dans son costume.

- Tu es une vraie petite pute dépravée et soumise, une immonde chienne . Tourne toi que je fais une photo de ton cul béant. 

Elle obéit presque heureuse de lui montrer son orifice ouvert et suintant. Le flash crépite.

- Je voulais te baiser une dernière fois avant que tu ne quittes ma demeure, mais je te trouve vraiment repoussante, mais Maria rêve de te nettoyer un peu, mets toi à quatre pattes salope, je lui laisse ma place, Maria, crie t-il !

La grosse femme arrive.

- Oui, Maître

- Nettoie là, mais à genoux et lève moi ton gros cul.

La femme s'agenouille derrière le cul d'Emma, elle même à quatre pattes.
Sa langue vorace et gourmande recueille sans attendre les trainées de sperme sur les fesses de la jeuune femme, puis se précipite sur son anus endolori pour récupérer le foutre des neuf hommes, un bruit immonde règne dans la chambre. Elle se délecte de la semence de ces types.
Pendant ce temps, le maitre a ouvert sa braguette pour en extraire sa bite tendue, sa femme est vraiment la reine des salopes. Il remonte sa jupe libérant son gros cul et l'encule d'un coup. La scène l'excite à un point tel qu'il ne tarde guère et éjacule dans ses fesses flasques, alors qu'il entend Emma gémir de plaisir.


Elle a juste enfilé son manteau sur la combinaison de débauche.
Il lui remet une enveloppe contenant un document qui prouve que la dette a été payée. Plus un chèque, d'un joli montant à son nom personnel.

- Si le coeur t'en dit, que tu as envie de renouveller l'expérience d'aujourd'hui, tu m'appelles, voilà mon numéro.
Elle prend la carte, et la met dans son manteau.

Dans le taxi, elle se remémore les faits qui viennent de se produire, elle se trouve si différente.
Arrivée à son domicile, elle trouve Léo devant la télévision, ce sale cochon regarde un film X, elle s'apprête à lui dire ce qu'elle pense de lui, quand attirée par la scène débridée du film, elle se reconnait sur l'écran. 

Tout a été filmé, depuis son arrivée, jusqu'à son départ. 

Elle voit la mine horrifiée, dégoûtée de son mari, et pourtant il bande.

- Co... Comment as tu pu ? Tu n'es qu'une salope ? Eructe t-il en hurlant

Emma fièrement se redresse, et lui répond :

- Et alors, c'est pas ce que tu voulais, en m'envoyant là bas ! Tiens voilà ton fichu papier et dégage, tu entends ! A moins que tu veux peut être enculer ta femme avant de quitter les lieux.
Sur ce, elle ôte son manteau devant son époux prostré. Elle se tourne et lui montre lubriquement son anus dilaté, rouge et encore suintant.
 
- Viens, baise moi !!! Tu sais, j'aime ça !

Léo ne reconnait plus Emma, comment est elle devenue en si peu de temps. 

- Tu me dégoûtes, dit il en quittant l'appartement 

Emma se retrouve seule. Elle prend un long bain et se couche. Elle dormira 12 heures d'affilée.

A son réveil, elle appelle le Maître et lui dit

- Je suis à vos ordres, Maître !