Elle rêve d’amour, de romantisme, et pourtant 19 ans, qu'elle est
mariée au même homme.
Le bonheur a duré quelques années.
Il lui a fait 4 enfants. Le dernier a 10 ans, l'aîné en a
18.
Elle aime ses enfants plus que tout, pourtant quelque chose lui
manque…..
Son mari est devenu indifférent, il ne l'approche que le samedi
soir, et tout est réglé comme une horloge.
Un rituel immuable, qui la rend presque folle, il monte alors se
coucher, il se déshabille totalement, lui qui dort les autres jours de la semaine en pyjama.
Il se serre contre elle, lui prend la main, la pose sur son sexe pour qu'elle le caresse. Il se fiche bien qu'elle soit disposée ou non à faire l'amour avec lui, elle est sa femme, et se doit de
faire son devoir conjugal.
Puis son autre main passe derrière la tête de son épouse, il lui
fait comprendre sans dire le moindre mot qu'il veux se faire sucer.
Résignée, elle obtempère, lasse, d'avoir tant de fois, tenter de
lui faire comprendre qu'elle aimerait beaucoup plus, des paroles, des gestes tendres, du plaisir....
Lui ne souhaite pas parler de ces choses là, de
toute façon, il estime qu'à cinquante ans, le sexe ne se
résume plus qu'à l'essentiel, et un rapport hebdomadaire lui suffit.
Elle suce la verge de son époux, pas le moindre bruit, il lui
fera savoir sans parler, s'il désire éjaculer dans sa bouche ou la prendre en missionnaire, pour se vider en elle.
Elle comprend quand elle sent la main qui force sa tête, ce soir,
elle devra avaler son sperme, le liquide séminal de toute une semaine. De ses mains puissantes, il tient fermement les cheveux bruns de sa femme, il accélère le va et vient dans sa bouche et
finit par éjaculer longuement son foutre chaud et épais. Juste un léger râle s'échappe de ses lèvres.
Puis satisfait, il se retire.
Le sperme s'écoule encore sur le menton de son épouse, une
grimace de dégoût se lit sur le visage de son époux, il lui dit
- Essuie toi, voyons, tu vas tâcher
les draps…… Bonne nuit !
Elle s'essuie sommairement avant de se lever, elle passe dans la
salle de bain et se rince la bouche.
Comment les années ont-elles pu transformer leur couple, de
manière aussi pathétique….
Ils s'étaient aimés, la routine de la vie, les soucis, les
enfants, le travail…
Est ce qu il en était pareil pour tous les couples mariés, depuis 20 ans ?
Elle se pose de plus en plus la question, elle a même pensé au
divorce, mais par faiblesse, elle y a renoncé.
Le lundi qui suit, un homme doit venir installer une douche chez
eux, elle ne veut plus d'une baignoire.
Toute l'installation doit être refaite, une semaine de
travaux.
Comme, elle est en congés, elle pourra en surveiller
l'avancement.
Patrick a quitté la maison de très bonne heure et les enfants
sont passés les uns après les autres, dans la salle de bains, puis ils ont tous quitté la maison, pour se rendre à l'école.
Elle est seule, enfin.
Véronique décide de faire une toilette rapide à son tour. Elle
ôte sa chemise de nuit, elle est nue devant le miroir, elle examine attentivement son corps, elle a eu 4 enfants mais elle est toujours désirable, juste quelques kilos en trop sur les
hanches.
Sa peau est douce, ferme, seuls les seins tombent très
légèrement, elle se caresse doucement, les tétons se dressent aussitôt, elle les passent dans la paume de ses mains puis entre ses doigts, les pincent doucement.
Il y a si longtemps qu elle n'a pas eu de plaisir avec son mari,
elle a bien tenté de se caresser seule, mais elle n'a pas apprécié ce moment de solitude ou son corps ne réclame que caresses.
La sonnerie retentit, Véronique sursaute, elle
enfile en vitesse, le peignoir de bain accroché au porte manteau et descend quatre à quatre l'escalier, pour accueillir l'ouvrier.
L'homme qui se tient devant elle, est très grand au moins 1m90,
un sourire éclatant illumine son visage, c'est un homme de couleur.
Elle salue et le prie d’entrer.
L'homme à la peau noire est d’emblée très sympathique, jovial,
bavard et souriant.
De son coté, Abdou ne peux s empêcher de trouver la femme à son
goût, elle a l'air triste mais très gentille. Il se dit que la pauvre ne doit pas « rigoler » tous les jours.
Presque immédiatement, il lui propose si elle le désire de
l'appeler par son prénom, ce qui sera moins formel pour la semaine à venir…
Etonnée, elle accepte cependant mais se sent obligée de lui
dire,
d'en faire autant et de l'appeler Véronique.
Ils discutent des travaux, elle se sent vite à l aise avec lui,
au bout
d un quart d’heure, elle lui propose même un café avant de
démarrer, il s'empresse d'accepter et la suit dans la cuisine. Une tasse dans la main, ils s'assoient, et sirotent le doux breuvage.
Abdou aperçoit ses jambes entre les pans entrouvert du peignoir,
de jolies jambes toutes lisses, il se dit qu'elle a l'air d’être toute nue, là-dessous.
Véronique surprend le regard, elle rougit et referme brutalement
les pans. Comment peut elle se pavaner ainsi devant un inconnu, elle avale le café d’un coup, pour mettre un terme à ce moment de « pseudo intimité » avec lui. Elle s'étouffe à moitié
et se met à tousser lamentablement
- Tout va bien, Véro ? Je peux
faire quelque chose, s'inquiète t-il
Gênée de se donner ainsi en spectacle, elle tente de reprendre
son souffle alors qu Abdou visiblement ennuyé, tente de lui tapoter dans le dos. La petite séance a pour effet de desserrer le cordon qui ne ferme plus le peignoir, et Véronique qui tousse
toujours ne le remarque pas tout de suite.
Abdou lui ne peux que constater qu'il avait raison, elle est bien
nue en dessous.
Elle est très belle, sa peau toute blanche contraste avec sa
peau
d'ébène, il sent qu'inconsciemment, il commence à
bander.
Véronique enfin se calme, et prend conscience de l'indécence de
sa tenue, le visage rougie par la quinte de toux, elle noud le vêtement hâtivement alors que lui se permet de dire
- N'ayez crainte, je ne vais pas
vous toucher ! ! ! Vous êtes une très belle femme !
Surprise de son audace, elle ignore la remarque. Il comprend son
malaise et sans un autre mot, disparaît dans la salle de bains.
Elle reste seule dans la cuisine, encore secouée par le
compliment, Patrick ne lui dit plus jamais qu'elle est belle, il la regarde à peine.
Dans ses réflexions, elle gagne sa chambre et décide de se vêtir,
étrangement elle cherche avec soin, des habits qui la valoriseront. Elle opte pour une robe assez moulante avec un joli décolleté. Sa poitrine est mise en valeur avec le soutien gorge qui
laisse entrevoir la naissance de ses seins.
Satisfaite du résultat, qui reflète dans le miroir une silhouette
attirante. Elle hausse les épaules, se demandant ce qui lui prend de s'extasier comme une gamine, en se regardant dans la glace.
Elle brosse longuement sa chevelure brune. Et, décide de mettre à
jour son courrier.
Véronique, tente de se concentrer sur ce qu'elle
fait, mais elle n'entend que le gai sifflement de l'homme, qui se trouve à quelques mètres d'elle. Elle pense à son regard envieux quand il la regardait effrontément, oui
c'est bien ça, l'homme avait envie d'elle.
Une femme ressent ça, même si depuis ces dernières années, elle a
oublié ce délicieux sentiment d'être désirée.
Véronique s'agite sur sa chaise, mais que lui arrive
t-il ?
Comme un automate, elle se lève et sans réfléchir se rend dans la
salle de bains.
Les sifflements redoublent d'intensité, arrivée à
la porte, elle regarde l'homme qui est de dos, il est
torse nu, ses muscles saillants l’hypnotisent, il est si puissant, si magnifique.
Abdou qui a senti une présence se tourne, le silence est pesant,
leurs regards se croisent.
C'est Véronique, qui timidement effleure ce torse qui l'attire,
la peau humide est noire de jais, elle sent les muscles de l'homme.
Interloqué, il la regarde, Abdou est un homme qui
aime le sexe, il sent que la femme devant lui est en manque…. Il ne réfléchit pas davantage, il s'approche d'elle, son visage près du sien, ses grosses lèvres écrasent la jolie bouche de Véronique et leurs langues s'emmêlent, Véronique, sous le
baiser profond défaille. Ses jolies mains courent sur la peau du black, alors que lui-même, ose passer sous la robe pour lui caresser les fesses.
Puis tout va très vite, il la veut cette femme, il se détache
d'elle et sans un mot, passe la robe au dessus de sa tête, elle est à demi nue devant lui, c'est elle qui retire les agrafes du soutien gorge, les seins libérés éclatent indécents devant lui, il
plonge la tête avec délice dans cette douce poitrine blanche, le contraste est magnifique, le noir et le blanc.
Comme en transe, elle s'agenouille devant lui, elle a envie de
voir son sexe, elle libère avec empressement une queue d’ébène, le gland rose pâle. Elle est imposante déjà, comme une statuette en bronze. Affamée, elle se jette sur la verge, la
lèche effrontément, il frémit sous la langue douce, humide et chaude.
Elle tente d'engloutir le pieu, il est si gros qu'elle peine à y arriver, il lui dit :
- Chut, nous avons tout notre
temps…….. Montre moi ton lit !
Le tutoiement la sort de sa torpeur, elle réagit, mais que
s'apprête t-elle à faire.
La grande main noire se place dans la
sienne
- Je te suis ma beauté, lui dit il
gentiment, j'ai tellement envie de toi ! ! !
Puis le sourire radieux a raison d'elle, haletante, elle le
conduit sur le lit conjugal…………..
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