SEXE, JOUISSANCE AVEC UN HUISSIER ( partie I)

9H30
 L'homme au costume fripé sonne longuement à la porte, il aime cet instant ou le regard de la personne qui va lui ouvrir, va changer à l'énoncée de son statut. Il aime sentir sa supériorité, lui qui ne mesure qu'un mètre 60 pour 92 kgs, des petites lunettes rondes sur le nez, les cheveux gras, il n'inspire que le dégoût chez les femmes, et il aime le pouvoir que lui donne son métier.
 
Il se prénomme André Legras, il est huissier de Justice.
 
Juliette ouvre la porte, irritée par l'insistance de la personne, immédiatement en voyant l'homme obèse muni d'une grosse sacoche, des papiers dans les mains, elle se doute que cela ne présage rien de bon.
Juliette depuis son récent divorce et  la perte de son emploi, croule sous les dettes. 
-        "Madame Belon Juliette" ? "Maître Legras, huissier de Justice, vous êtes toujours redevable de la somme de 2 598 € sauf paiement immédiat, je me vois contraint de ………….. 
Juliette n'écoute déjà plus, elle retient juste inventaire du mobilier, les larmes aux yeux, elle sait qu'elle ne pourra que subir une fois encore ce coup du destin qui, depuis 6 mois ne l'épargne pas.
L'huissier cesse enfin de parler, il la regarde attentivement, satisfait de l'effet produit, elle doit avoir la trentaine, plutôt jolie, une belle poitrine  se profile sous le tee shirt moulant et la jupe met en valeur ses jolies jambes, elle est rousse, des cheveux bouclés. Il voit qu'elle est sur le point de pleurer et s'en amuse. Il s'est fait tellement de fois, rabroué par les femmes, qu'il prend un plaisir énorme à voir leur peine quand arrive ce moment fatidique. 
-        "Puis je entrer Madame Belon ?", dit il doucement 
Juliette le laisse pénétrer dans le petit logement coquet, elle le voit poser sa sacoche sur la table, il recommence à lui exposer les faits, à quoi bon, Juliette ne peut pas régler quoi que ce soit. 
Son mobilier est quasiment neuf, acheté, il y a 7 mois, juste avant que son mari ne la quitte et parte sans laisser
   d'adresse, depuis elle doit rembourser les crédits, payer le loyer et autres factures. Elle se rend malade à l'idée de tout perdre. 
L'homme adoucit le ton, elle pleure, sa poitrine s'agite doucement, il voit ses larmes sur son visage, elles glissent sur ses lèvres, il remarque comme sa bouche est pulpeuse, les lèvres épaisses, il se dit qu'elle doit sucer divinement avec une bouche pareille.
Il sent poindre un début d'érection, cela fait un bon moment qu'il n’a pas baisé, juste quelques branlettes, devant des films X.
 
Il raffermit sa voix et commence à effectuer l'inventaire, le salon, la salle à manger, il demande à voir la chambre, le lit n'est pas encore fait, posé négligemment dessus une nuisette rouge, il se dit qu'elle a un goût plutôt sexy, tout comme les sous vêtements qui traînent sur la commode.
Juliette voit le regard appuyé de l'huissier sur ses vêtements, immédiatement, elle les enlève et les mets d'un geste brusque dans la petite commode.
Imperturbable, il continue de noter tout  ce qu il y a dans le logement.
Juliette tente d'obtenir un délai supplémentaire, elle fera tout ce qu elle pourra pour régler, elle a juste besoin de temps.
 
Il la regarde :
-        "Vous savez Madame, quand je passe faire l'inventaire du mobilier ensuite, tout va très vite et je ne peux plus rien faire…. Hummm cependant, il y aurait peut être une solution pour que je ralentisse le processus, mais c'est assez délicat, enfin nous sommes entre adultes et gens intelligents,   je n'irai pas par quatre chemins, je peux faire patienter vos créanciers quelques semaines"
-        "Ah Monsieur, vous feriez ça, je ne sais comment vous remercier"
-        "Mais Madame, c'est très simple, il y a évidemment une compensation en nature, vous vous en doutez bien"…. !
 
Juliette ne saisit pas trop ou l'homme veut en venir, puis elle comprend, son regard en dit long sur « la compensation en nature », elle est atterrée par l'individu
-        "Jamais, vous entendez …. JAMAIS" ! Crie t-elle
-        "Très bien Madame, je ferais donc en sorte que vous n'ayez plus rien dans les prochains jours, faites moi confiance pour que tout aille vite" ! Ajoute t-il dans un rictus horrible
-        "Au plaisir, chère Madame, voici mes coordonnées, si vous changez d’avis".
 
L'homme très dignement, quitte l’appartement laissant Juliette anéantie, elle s'écroule sur son lit et pleure longuement.
La matinée s'écoule interminable, elle ne pense qu'à cet atroce petit bonhomme, à sa proposition malfaisante.
Son repas est composé d'un yaourt, le superbe frigidaire, qui va bientôt lui être enlever, trône dans sa cuisine désespérément vide.
Elle cogite depuis des heures, puis soudainement prend son portable et la petite carte de visite. Comme endormie, elle fait le N° et annonce d’un trait, qu'elle est d’accord, il lui dit juste : « Je serais là à 18h00 précises »
 
Elle raccroche et pleure à nouveau, il lui reste 1 heure avant qu'il arrive !
 
Elle panique, mais pourquoi, comment a-t-elle pu l’appeler ? Est elle devenue folle…..
Elle se dit qu'elle va lui annoncer qu'elle a changé d'avis dès qu'il sera là.
C'est conforté dans cette nouvelle idée, qu'elle attend l'huissier.
 
18H00
Il sonne longuement, elle sursaute.
Elle ouvre, il sourit, toujours cet affreux rictus. Plus de sacoche, juste un grand plastique à la main. Il entre et entreprend de vider le sac, une bouteille de champagne, des toasts d'un traiteur réputé à mettre au four, une délicieuse odeur envahit la pièce…
Juliette est surprise, elle reste bouche bée. Il lui demande un seau rempli de glace, elle s'exécute. Sur son ordre, elle met les petits fours à chauffer, enfin ils se retrouvent côte à côte dans le salon, une coupe de champagne dans les mains. Juliette ne peut s'empêcher d'avaler les petits fours, son modeste repas est loin, elle a faim. Il la regarde manger, puis il lève son verre et trinque avec elle, en lui disant : « à nous ! »
Juliette avale d'un trait la coupe, elle se prépare à lui avouer qu'elle a changé d'avis, les petites bulles de champagne lui donnent chaud, déjà il remplit son verre à nouveau, pour se donner du courage, elle ingurgite le délicieux breuvage en une fois. L'homme lui pose à peine ses lèvres sur le verre, il veut garder ses idées claires. Doucement il caresse le genou de la jeune femme, aussitôt, elle réagit, tente de retirer sa main.
Elle ne boit jamais d'alcool, les deux grandes coupes lui rosissent le teint, elle a chaud, la situation va trop vite pour elle, il remplit à nouveau son verre.
-        "A notre santé, dit il, je suis certain que nous allons bien nous entendre"

Il fait tinter les verres, fait mine de boire, Juliette avale encore pour se donner une contenance. Ses idées s'embrouillent, elle oublie un instant ce que désire l'homme qui trinque avec elle. Elle le regarde, les yeux embués,
c'est vrai, il est repoussant, elle sent la main qui court sur sa cuisse, et pourtant elle ne le repousse plus.
L'homme s'aperçoit qu'elle ne réagit plus à sa caresse, il force le passage entre ses cuisses là ou la peau est si chaude, il l'entend murmurer
 
-        "Nonn,  s'il vous plait" !
 
Mais l'homme n’a pas l’intention de s'arrêter, il a envie d’elle, de la voir nue, de la sentir, de la lécher, de la baiser….
A son tour, il chuchote :
 
- "Déshabille toi, je veux te voir nue"
 
A moitié ivre, l'alcool lui tourne la tête, elle refuse mollement, alors il s'énerve
- "Je suis patient mais n'exagère pas, magne toi et fous toi à poil" ! Dit il d'une voix glaciale
Ses yeux se remplissent de larmes, elle passe le tee shirt au dessus de sa tête, les seins laiteux s'offrent dans un balconnet rouge, qu'elle dégrafe,  il en bave d’envie, mais se retient encore de ne pas la toucher. Il veut prendre son temps, ils ont toute la nuit, d'un signe, il lui dit d'ôter la jupe, elle obéit, ses gestes sont maladroits, la tête lui tourne. Elle n'a plus qu un petit string rouge qui peine à cacher son imposante touffe rousse comme ses cheveux. Elle est à moitié avachie sur le canapé, il décide de le retirer lui-même, il s'agenouille devant elle et enlève la fine culotte.
La voici nue.
Il la détaille attentivement, ses seins tombent un peu, ils sont bien lourds, les tétons roses très pâles saillent de manières indécentes. Le ventre est plat, sa chatte très poilue, lui pensait qu'elle serait épilée, il est surpris. 
Il lui écarte les cuisses, elle a les yeux mi clos, le champagne la rend inhibé, il s'approche de la toison, elle dégage une légère odeur qui le rend fou, il lui plie les jambes sur le canapé, et avance sa fine bouche sur le sexe offert, il en écarte les lèvres, elle bouge à peine, et lentement, doucement il la déguste, sa langue se promène sur la vulve, il aime les effluves, sa langue s'abreuve du sexe, Juliette se rend compte de ce qu'il lui fait, mais incapable de le repousser, elle le sent dans son intimité, elle voudrait dormir, ne pas le voir, ne pas le sentir…..Mais l'huissier tente de la faire basculer sur le canapé
-        "Fais moi voir ton cul, mets toi sur le ventre"
Juliette gémit, tente un instant de résister, mais l'homme est puissant, d'un geste, il la retourne comme une poupée, elle est la tête dans les coussins, les fesses offertes.
Il regarde son cul, il n'avait pas remarqué, comme elle avait les hanches fortes, un gros cul comparé au reste de son corps, il imagine déjà le moment ou sa bite va s'enfoncer dans ses chairs, il veut y goûter d'abord, sa grosse langue baveuse lui lèche la raie du cul, il écarte bien ses lobes, et s'enfonce dans l'anus fermé, un doigt s'infiltre dans son vagin bien trempé de sa salive. Elle bouge à peine, il continue pendant un moment, la bave lui coule sur le menton, sur les fesses de Juliette, puis précipitamment il se redresse, enlève son pantalon, son slip, elle ne bouge pas, passive elle ne réagit pas, sa posture lubrique fait d'elle une femme qui attend de se faire baiser.
Il tient sa queue dans ces mains, il va l'enculer tout de suite, ce cul, il le veux, il a envie de connaître la chaleur moite et bien serrée de son petit trou qu il va ouvrir, son sexe violacé est dur, il veux la baiser cette salope. 
Il
s'approche et place son gland énorme contre la petite rosette fermé, son sexe en main, l'autre main la tient fermement, pour l'instant elle ne bouge pas mais il sait par expérience que son cul n'a jamais connu la bite.
Il s'avance et force l'anus, Juliette hurle, elle tente de se redresser, ce qui ne fait qu'accentuer la pression du sexe qui s'enfonce un peu plus
 
-        "Chutttt ne bouge pas petite garce, je t'encule, Mmmm tu es si serrée"
 
Il continue inexorablement malgré les cris, il enfonce la tête de la jeune femme dans les coussins, quelques centimètres sont entrés, il pousse à nouveau et la sodomise profondément, sa queue disparaît enfin dans les entrailles de la jeune femme, celle-ci ne bouge plus
-        "Tu vois, c'était pas si terrible, tu as un bon gros cul, il faut te faire baiser par là aussi, Mmmm salope, t'es trop bonne, tu aimes te faire prendre ainsi ? Je vais te baiser toute la nuit, tu peux y compter ma belle"
 
Juliette sanglote doucement, son anus la brûle intensément, jamais personne ne l'a sodomisé, il s'agite comme un forcené et enfin elle l'entend gémir, ce porc jouit et inonde son cul de son sperme ignoble.
Elle crie à nouveau quand il la libère, elle se rue en titubant jusqu'aux toilettes.
Quelques minutes plus tard, elle revient dans le petit salon, il est assis nu lui aussi, de gros bourrelets encadre son ventre, il est gras, poilu sur tout le corps, son sexe pendouille entre ses cuisses, il a une coupe à la main :
-        "Viens vite trinquer avec moi, il tapote pour qu’elle s'assied à ses cotés, elle refuse le verre, elle a assez bu, il sourit, cet horrible sourire".
-        "Tu m'as drôlement fait jouir, tu sais ! Ton tour viendra aussi, je saurais te faire crier"…
-        "Jamais", marmonne t-elle remplie de haine
-        "Tsss Nous verrons ça, ma petite cochonne….. En attendant viens me sucer la queue un peu, histoire de me faire bander encore"
-        "Vous êtes fou" !!!!!! dit elle épouvantée
Livide, il s'empare des jolies boucles rousses et tire ses cheveux pour qu'elle suce sa verge, le nez sur le sexe malodorant, Juliette a une nausée.
-        "Suce moi"
Il lui fait mal, malgré elle, elle ouvre la bouche et avale la bite ramollie, l'odeur est forte, mais lui doit apprécier car rapidement il bande, ce salaud est dur en quelques minutes, il enfonce son sexe dans la gorge de la jeune femme, sa main appuie fortement sur sa tête
-        "Mmmm tu vois que tu aimes ça, une petite pute, voilà ce que tu es…. Viens t'asseoir sur moi ma cochonne, au gros cul"
A nouveau, il s'empare des cheveux, elle crie
- "S'il vous plait, lâchez moi"……
- "D'accord, mais alors tu obéis"… !
Elle l'enjambe, ce qui n'est guère facile, il est gros, elle voit la queue luisante de salive qui se dresse indécente
Il la maintient par les épaules et le pieu pénètre son vagin, elle est assise sur sa pine
-        "Vas y agite toi sur moi, baise moi, donne moi tes grosses mamelle à téter"
Elle ferme les yeux, refuse de regarder l'immonde personnage qu'il est, elle s'agite sur le sexe, ses grosses mains malaxent ses fesses, sa bouche dévore ses tétons
-        "Mmmmm t'es bonne, t'es chaude, ton cul me rend dingue, salope tu aimes te faire baiser par moi, je te plais" ?  crie t-il excité
Juliette feint de l'ignorer, les yeux toujours fermés, elle voudrait que le cauchemar s'arrête, mais son corps réagit malgré elle, elle s'y refuse mais elle sent qu'elle va avoir un orgasme, c'est impossible pas avec ce monstre, ce porc….
 
Pourtant il lui est impossible de lutter, elle jouit, une jouissance totale, elle hurle son plaisir, l'orgasme est intense, ne s'arrête plus……. Enfin elle reprend ses esprits, l'homme radieux la regarde et l'embrasse goulûment elle sent sa langue qui s'enroule autour de la sienne, il bave, il est répugnant, puis il quitte sa bouche
-        "Quel pied tu as pris, salope, je vais te baiser toute la nuit
Il continue à la pistonner, elle n'en peux plus et voilà que ça recommence, de nouveau elle jouit :
-        "Ahhhh nonn Ahhhh" crie t-elle
-        "Ouiiiiii petite pute, jouis encore Ahhhhh moi aussi je viens, je lâche mon foutre plein ta chatte en feu Ahhhh"
Puis épuisés l'un et l'autre, ils ne bougent plus. Juliette reprend place, elle a honte, se dégoûte de lui avoir donner satisfaction, comment ce sale type a pu lui donner tant de plaisir, jamais elle n'a joui aussi fort et deux fois…
 
- " A quoi penses tu ? Va me faire à manger, j'ai besoin de force" !
-        "Je n'ai rien, juste des œufs", répond t elle froidement
-        "Très bien, allez file faire à manger à ton nouvel amant, et……. Reste nue" !
Juliette se sauve dans la cuisine, il voit ses grosses fesses blanches qui s'agitent à chaque mouvement.
La cuisine est face au salon. Sur le canapé, il la voit confectionner l’omelette, l'odeur des œufs envahit l'appartement. Juliette se remémore la dernière heure, elle sent le sperme qui coule, prend un sopalin pour s'essuyer. Il a compris :
-        "Tu restes comme tu es, quand je voudrais que tu fasses quelque chose, je te le dirais, c'est moi qui va te nettoyer", ajoute t-il
Juliette obéit, elle mets l'omelette dans l'assiette et lui amène, il engloutit le modeste repas bruyamment.
-        "Allez au lit, ma grosse truie, j'ai envie de mon dessert, tu sais ce que j aime……… Nettoyer une chatte que j'ai rempli de mon sperme, j adore ça"
 
Il la tire par la main jusqu à la chambre et la pousse sauvagement sur le lit, il lui écarte les cuisses et se jette sur sa chatte béante et dégoulinante.
Juliette est consternée, cet homme est d'une lubricité inouïe.
Sa langue la nettoie dans les moindres détails, il enfonce même son doigt pour récolter le sperme et le lécher, elle n a jamais connu un homme aussi dépravé, il passe sur son clito et s'emploie à le faire gonfler, elle ferme les yeux, la caresse est tellement agréable, difficile de ne pas apprécier…..Inconsciemment ses mains se placent sur la tête de l'homme, elle avance son bassin, elle aime la langue qui s'agite, elle va encore jouir
-        "Ouiiiii, ahhh"
Juliette, la sage Juliette, jouit une nouvelle fois alors que lui avale la cyprine abondante et s'en délecte.
Il la rejoint et s allonge à ses cotés, il veut sa bouche, elle refuse
 
-        "Embrasse moi grosse pute, prend ma langue, suce la" !
Il la regarde la bouche ouverte la langue sortie, il est grotesque, répugnant, elle s'avance et pose sa bouche sur le dard baveux, elle le suce et leur bouche se rejoignent pour un baiser profond qui lui donne la nausée.
-        "Tu es une bonne baiseuse, donne moi une demi heure pour récupérer, et je te baiserais à nouveau", dit t-il en fermant les yeux
Elle aussi est épuisée, elle n'en peux  plus, elle s'endort aussitôt près de cet homme infâme
 

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